3 ans après nous avoir fait découvrir le très sympathique et néanmoins réussi premier film à savoir La première étoile, revoici Lucien Jean-Baptiste dans une nouvelle comédie plein de tendresse et de rebondissement, certes il faut souligner que le film est moins bien réussit que le précédent mais il en demeure pas moins sympathique. Revoici donc Lucien Jean-Baptiste dans le rôle d’un parfait français qui a réussi mais qui se retrouve confronté à son histoire de famille, là où le premier film avait réussi à créer un choc de culture très réussi, ici on se retrouve dans la situation inverse à savoir que le personnage principal effectue un retour en source sur sa terre natale. Autant le dire que notre première déception vient de ce côté-là car on regrette le manque d’originalité et que le coté comique est beaucoup moins au rendez-vous que pour La première… bien que certaines scènes valent le déplacement, le film est plus porteur d’émotion du à son sujet qui porte moins à rire (le titre fait allusion à la machine à laver, car le personnage semble avoir été pendant 15 ans dans une machine à laver sans s’être arrêté et avoir oublié toutes son passé). 30° couleur est surtout réussit au niveau des personnages, très attachants à commencer par le personnage principal qui est coincé mais qui va apprendre à se révéler tout au long du film, le reste des personnages respirent la joie de vivre à commencer par Edouard Montoute que l’on voit que très rarement volant même par moment le devant de la scène pour notre grand plaisir. Aucun des comédiens ne tombent dans le portrait de la communauté. L’ensemble du film jouit d’une mise en scène intéressante et d’un découpage qui remonte le niveau des derniers films français qu’on a pu voir. La couleur est prépondérante ici à tel point qu’elle émerveille chaque scène et permet de nous faire voyager le temps d’un film, on a l’impression que le décor, la culture... Des Antilles se livrent pour la première fois à nous. On regrette que le scénario soit l’élément le moins abouti, contenant deux histoires indépendantes (drame sociale et comédie de mœurs), certes ces deux histoires sont bien aboutis mais n’arrivent à se croiser et à trouver un aboutissement. Le film est tout fois une formidable réponse aux interrogations que certaines personnes peuvent se poser au moment où la France est confrontée à des questionnements identitaires à l’occasion d’une échéance électorale.
S'il respire la chaleur des Antilles, les couleurs d'un peuple loin de la France, il n'en est pas pour autant bafoué. On reste sur une simplicité scénaristique, mais on se laisse aller au plaisir de la divagation...
Une petite comédie très sympathique qui ne laissera pas un souvenir marquant... mais qui aurait pu avoir un beau petit succès. Le film enchaîne des scènes où ça braille, ça hurle, ça gigote sans véritablement servir un scénario. C'est brouillon, désordonné et à côté de cette agitation inutile un personnage principale et sa fille qui sous-jouent complètement. D'un côté des Martiniquais qui hurlent du matin au soir et de l'autre des Martiniquais vivant en métropole qui font la gueule et ne décrochent pas un mot. Direction d'acteur facile qui a dû se résumer à: " toi tu joue un Martiniquais alors tu gueule comme un veautout le temps et vous Lucien et Loreyna vous faites rien et vous dites rien, vous faites juste la gueule, c'est tout. Allez hop on tourne !
C'est vraiment dommage car le sujet permettait de faire beaucoup mieux mais n'a pas été exploité. On passe un bon moment malgré tout.
On s'ennuie très rapidement dès qu'il met les pieds en Martinique. J'ai arrêté au bout de 20 minutes. 1 étoile et demie. Il n'aura pas su aller chercher la 2eme étoile lors de ce second opus , mais simplement une demie supplémentaire.
J'ai vraiment aimé ce film car j'ai été touchée par cette approche réelle, efficace et touchante de certains aspects de notre culture antillaise. Je dois tout de même souligner le fait, que la réalisation a vraiment fait des progrès depuis la Première Etoile, que j'avais déjà bcp aimé et le jeu des acteurs est aussi bien meilleur... Mon seul regret, c'est qu'il ait fait si peu d'entrées au Box Office.
Un joli film sur les traditions martiniquaises. On y voit quelques clichés mais qui sont finalement tellement vrais. Plein de sensibilité, le réalisateur nous emmène là où il le voulait. On passe un agréable moment en dépit de l'interprétation désastreuse de la jeune Loreyna Colombo, sûrement la fille ou la nièce de quelqu'un bien placé, qui devrait arrêter le cinéma. Un bon film.
nul et archinul, tellement mauvais que j'ai du arrêté en plein milieu du film, impossible d'en regarder d'avantage, lucien jean-baptiste était mieux inspiré dans son premier film "la première étoile", ici on est dans le cliché gros comme une montagne, c'est bavard, exubérant, embrouillé, confus , mal interprété, en tête de liste édouard montoute qui en fait des tonnes dans le genre mauvais goût et grotesque, lucien jean-baptiste s'ennuie dans son propre film, quelle image donne-t-il des antilles françaises? on y voit des gens qui crient dans tous les sens, qui s'agitent tout le temps, une scène fait penser à une mauvaise copie du film d'ettore scola "affreux, sales et méchants", bref si ce film avait été réalisé par un blanc on l'aurait parlé de racisme ou de lourde caricature, dans un genre proche, le film "case départ" était fait plus intélligement
Très difficile à comprendre l'image qu'ils veulent donner. Le cliché des métropolitains prétentieux, snobs et associables, et des DOM TOM, idiots, non civilisés et feignants. J’espère juste que c'est ce que pensent les uns des autres. Mais Marie-Sohna Condé devrait ce démarquer des cette mascarade car elle seule arrive à transmettre des émotions.
Heureusement qu'il y a zamba pour nous faire rire car sinon ce film aurait été pas terriblee, l'acteur principal est fade et joue pas terrible, la premiere partie est très drôle et la seconde est plus dans le drame et la mélancolie; il aurait du prendre thuram pour le rôle principal.