Avis : 30° Couleur - Page 10

Un grand merci à Zamba qui a réussi à me distraire! cela faisait longtemps que je n'avais pas rit à gorge déployée dans un cinéma! 3 étoiles pour l'humour.
Néanmoins un grand regret que la thématique du carnaval ait été insuffisamment exploitée, il manque un brin de pédagogie et quelques sous-titres pour saisir l'essence même du film; les jours gras, le "vaval" qui brûle, les "macoumè" (brillamment représentés par E. MONTOUTE), le défoulement total... les martiniquais s'y sont retrouvés, les autres...
L'intrigue du film, farfelue au possible et ponctuée de clichés à la peau dure a fini d'ébranler un scénario déjà bancal, c'est dommage!
Une demi étoile pour les belles images et un casting que j'ai trouvé intéressant.

Lucien Jean Baptiste a passé un cap dans la réalisation. Le film est BEAU, bon, triste, plein de bonne humeur. ça fait du biennnnnnnn et pourtant je ne suis pas antillais. Alors allez y touuuuuusss.

Franchement pas terrible, scénario faiblard et ennuyeux.

Un film fort touchant humain et authentique! felicitations a toute l equipe du film pour cette leçon de vie!

je suis fan !!! c'est "intouchables" dans un autre genre. Super, drôle, émouvant ! bien mieux que la bande annonce !!! A voir !!!

j'ai ri et j'ai été émue !!!! un film sympathique et touchant, j'aime beaucoup.

Bon film.
L'histoire du personnage principal se déroule en bordure du Carnaval Martiniquais, ce qui évite une certaine monotonie. Le film est plus profond qu'il n'y paraît, et les blessures de chacun apparaissent petit à petit. Cependant, il faut éviter de le regarder au premier degré, et de s'en offusquer !
Le réalisateur a joué de certains préjugés vis-à-vis des antillais ( qui sont tenaces), et a usé de la caricature, sans en faire trop : juste ce qu'il faut, il faut savoir lire entre les lignes. C'est un film, qui ne force pas le spectateur à se prendre la tête. Pour ceux qui soit-disant ont été gênés par "l'accent" des acteurs, pitié ! Les répliques étaient parfaitement compréhensibles, et l'accent pas très marqué. Et non, tous les antillais non pas un accent "marqué" : je vous invite à voyager un peu ;)
Il faut saluer la ténacité dont fait preuve le réalisateur, dans le panorama cinématographique : Le film noir français ( ont contraire du cinéma noir américain) est plus que boudé. Souhaitons-lui plutôt, bonne continuation et qu'il s'élève de plus en plus dans son art.

Une bonne analyse communautaire et une comedie universelle. Le choc des cultures Paris vs Fort de France.

Une nullité ce film : un reportage sur le carnaval dans les îles, en l'occurence un max de travestis imbibés d'alcool...
Une incompréhension totale sur cette ineptie, à moins de maîtriser les "pratiques obscures", et peut-être trouver un quelconque sens à ce montage !!!

excellent !!! ce film met du baume au coeur !! moment de pur bonheur !!! une belle réalisation !!! une vrai comédie !!! il n'y a que les mauvais penseur qui seront capable d'y voir de mauvais clicher !!! ceux qui aimes les Antilles et les antillais aimerons ce film !!!

Un film émouvant, profond, excellent ! j'ai pleuré tout le temps !

Effectivement, ce n'est pas la première étoile, mais c'est un film qui fonctionne sur l'émotion qui est immense. Quel plaisir de voir autre chose que les plages et les belles doudous. La Martinique donne envie, le carnaval aussi. Allez y avec le cœur ouvert car tout n'est pas dans le film à vous d'y penser après.

Une parodie insupportable d'une Mque stereotypée et fausse, un Carnaval representé uniquement par une armée vulgaire et grotesque d'hommes deguisés en femmes, censés agresser le personnage principal mais qui aggressent finalement le spectateur, qui se demande pourquoi devrait-t-il supporter une telle torture jusqu"à la fin.

Arnaque de première, cela devait être drôle et bien deux heures après on a pas rigoler une seule fois, c'était pathétique, autant Première Etoile c'était frais, là on se demande de quoi ça parle au final ... Gardez votre argent pour autre chose ...

C'est le meilleur film antillais que j'ai vu depuis la Rue Case-Nègre d'Euzhan Palcy.
Il illustre le vécu de bien des antillais.