on comprendra que "l'autre côté du périph..." c'est la banlieue.... et non Paris ! Question de point de vue, donc. Au moins le titre affiche la couleur et s'y tient. Mais trés peu pour moi. Clichés à gogo, mauvais plagias des films américains, gags qui tombent à l'eau. un... navet ? dirons nous....
Un divertissement sympathique avec un duo qui marche. Malgré cela ça reste un film gentillet sans rien d'exceptionnel, le film surfe sur la vague du succès d'omar sy.
C'est gentillet, on passe un moment agréable. Après l'histoire duo de flics que tout oppose est un peu réchauffée et j'en ai marre de voir Omar Sy en faux mec des cités, j'aimerais vraiment voir s'il peut être bon aussi dans un autre registre.
C'est sympa mais pas très frais. Le duo de flics que tout oppose n'est pas très original, même si ce duo fonctionne. Laurent Laffite est parfait dans son rôle et certainement la révélation de ce film. Omar Sye aussi, même si on peut justement lui reprocher d'être toujours dans celui du banlieusard découvrant la capitale et les beaux quartier, prétexte pour démonter les clichés Paris/Banlieue .... Pour rappeler un certain "Intouchables". C'est le scénario qui veut ça bien sûr mais nous attendons de voir cet acteur césarisé dans un autre rôle. Il serait dommage qu'il s'enferme dans ce rôle.
Le propre d'une comédie est de faire rire au minimum et bien là c'est raté.Mr Sy joue très mal, le scénario si il existe est pitoyable, les blagues enfin si on peut appeler cela "humour" ne font même pas sourire .
Le duo constitué et la thématique jouait la carte de l’éclaboussure sociale sur enquête patronale. C'est juste anarchique ou décousu. Mais pas insupportable.
Un film qui tenait à cœur d'Omar Sy mais au final le film est assez pauvre. Les sketchs sont sympa mais toujours la même histoire. Le réalisateur tourne comme son ancien film "Cyprien" du navet. Si vous avez rien d'autres à voir n'y allez pas.
Sympathique... sans plus. Deux bons acteurs mais un scénario un peu mince. Et les clins d'oeil appuyés vers "Beverly Hills Cop" ne font pas d'Omar Sy l'Eddie Murphy des années 80...
David Charhon, réalisateur du pathétique « Cyprien », adaptation cinématographique des sketchs d'Elie Sémoun en rôle-titre, sorti dans l'indifférence en 2008, tente de rattraper le coup et met en scène le « buddy movie » « De l'autre côté du périph », ersatz de « L'arme fatale » à la sauce frenchy, avec au générique deux acteurs nouvellement hyper bankables, l'intouchable Omar Sy et le prometteur Laurent Lafitte, de la Comédie Française.
Synopsis (source : Allociné) Un matin à l'aube dans une cité de Bobigny, près d'un vieux tripot clandestin, est retrouvé le corps sans vie de Eponine Chaligny, femme du très influent Jean-Eric Chaligny, premier patron de France, au centre d'un climat social extrême qui secoue le France depuis quelques semaines. Ce matin-là, deux mondes radicalement opposés vont alors se croiser : Ousmane Diakité, policier de la section financière de Bobigny et François Monge, capitaine de la fameuse police criminelle de Paris. Leur enquête va les emmener d'un côté à Paris et son syndicat patronal, de l'autre en banlieue de Bobigny et ses affaires clandestines. Tour à tour, de l'autre côté du périph.
Mathieu Kassovitz regrettait l'année dernière, à peu près à la même période, la « partouze artistico-commerciale », dont est actuellement l'objet le cinéma français, expression qui voudrait que la conception d'un long métrage repose désormais uniquement sur la présence de « stars ultra bankables » au casting. « De l'autre côté du périph » est l'archétype même de ce type de film, à l'existence justifiée seulement sur la présence de têtes d'affiche à l'écran.
Soyons honnêtes : le buddy movie de David Charhon a raté la catégorie « film de l'année », et n'est pas THE comédie poilante prête à renouveler le genre. Jouant la carte de l'opposition des classes sociales entre les deux protagonistes principaux, « De l'autre côté du périph » est très (trop!) caricatural, et n'égale sûrement pas les modèles américains cités, de « L'arme fatale », à « 48 heures », en passant par « Le flic de Beverly Hills », et même « Le professionnel » avec notre Bebel national.
Partant d'un matériel de départ faiblard – scénario « prétexte » à un gag movie plus qu'autre chose – Charhon multiplie maladroitement les clichés sur la banlieue, et tout autant sur les nantis parisiens (les patrons = tous des salauds, bin voyons !).
En dépit des nombreux défauts sus-cités, il faut tout de même reconnaître que certaines scènes font mouche (le passage « à poil » dans le club clandestin) et que la complicité entre Omar Sy et Laurent Lafitte est réelle pour le plaisir du spectateur.
Les acteurs, parlons-en. Fidèles à leur réputation, nos deux flics alignent punchlines sur punchlines, et dégagent, il est vrai, une certaine fraîcheur dans leur jeu. Le rire d'Omar est toujours aussi communicatif lorsque la bonne humeur combinée au self-control de Laurent Lafitte permet de relever le niveau.
Bilan : Une comédie mollassonne maladroitement inspirée par les buddy movies us. Charhon réalise un film au scénario pantouflard et dénué d'âme. Bravo quand même pour la prestation du duo Sy / Lafitte, dont l'union fait la force ici.
Ousmane, flic banlieusard de Bobigny se retrouve confronté à un crime sur sa commune. Il voit débarquer un capitaine de renommée internationale qui prend l'affaire à son compte ! Les deux hommes que tout oppose vont faire bon gré mal gré équipe ensemble, et apprendre à s'apprivoiser l'un l'autre...
On passe un bon moment, et meme si on n'évite pas les clichés, voire meme qu'ils sont décuplés, on comprend bien vite qu'on peut faire le meme métier et l'aborder de bien des façons différentes suivant d ou l'on vient !!! Pas mal au final : 15/20 !
J'ai bien aimé le duo d'acteurs avec chacun leur style et leur genre. En revanche, je suis plus septique sur le scénario. Je ne le trouve pas très original et plutôt pleins de clichés bien que ce soit tous ses clichés qui sont les plus drôles. Pour vivre près de la banlieue proche de Bobigny, je suis assez surpris de retrouver certaines choses que je vis. J'ai passé un bon moment et j'ai eu l'occasion d'avoir un pote qui vous attire toutes les problèmes de la planète. Dur, dur à tenir !