Derniers Avis : David et Madame Hansen - Page 8

Une très jolie histoire,et Adjani fait d excellentes répliques! Les fans d Astier ne seront pas trop déçus.

Un bon petit film agréable et très bien joué, Astier , Adjani et tous les autres seconds rôles sont bien dans le ton et bien dirigés par Astier. Le scénario et l'intrigue sont un peu light, la mise en scène un peu classique, propre mais sans rien d'exceptionnel. Cela aurait aussi pu être un bon polar TV. On passe un bon moment.

"David et madame Hansen" est une très bonne surprise. Une heure et demie de pure jubilation nous est offerte. Ce thriller psychologique est un vrai bijou, sans aucune fausse note. Du début à la fin suspense et élégance se conjuguent à merveille. Faire jouer en même temps une grande diva du cinéma et des acteurs inconnus, il fallait le faire ! La maîtrise des flash-backs est un art difficile, Alexandre Astier est un maître en la matière. La photo est très étudiée, mais ça ne se voit pas, le résultat est superbe. Reste à attribuer une note à ce film, je pense que la note 5 étoiles doit être réservée aux très grands films, ceux qui font réfléchir sur la condition humaine, ou qui marquent un tournant dans l'histoire du cinéma. Ma note 4 étoiles est donc une recommandation sans réserve à voir ce film.

Source : Plog Magazine, les critique des Ours
=> http://lescritiquesdesours.blogspot.fr/2012/09/david-et-madame-hansen.html

Le premier long métrage d'Alexandre Astier est bien moins sombre que ne le laissait entendre la bande-annonce. En effet, le second degré et l'humour caractéristique d'Alexandre Astier viennent ici alléger ce film mystérieux à l'histoire tout de même plutôt sombre (lorsqu'arrive le dénouement, celui n'a beau de pas tant nous surprendre - des indices sont parsemés ici et là - il est néanmoins très fort et plutôt triste). Les personnages de David et de Madame Hansen sont incroyablement bien écrits et interprétés, et le duo fonctionne bien. Les contacts progressifs de ces deux êtres qui "s'apprivoisent" me rappelle le premier "moment de grâce" du film Intouchables, lorsque Omar Sy pose sa main sur le cou de François Cluzet pour le calmer lors de sa "première" crise. En cela, l'affiche ne ment pas, c'est en effet une "rencontre touchée par la grâce" à laquelle nous assistons, qui dure 1h29, et qui se fait dans un même rythme lent, posé, calme, calculé. Les personnages secondaires sont également intéressants, à commencer par la fiancée de David et surtout son jeune frère Hugo (souvent bien plus sensé que ses aînés), mais également les personnages de fond comme les collègues de David (Sébastien Lalanne notamment est très drôle, et cela sans effort).
Je ne peux que vous inviter à aller voir ce premier film réussi, à la fois drôle, mystérieux, touchant, et fort.

David, ergothérapeute débutant dans une somptueuse clinique privée en Suisse, se voit confier pour la journée Madame Hansen, capricieuse bourgeoise traumatisée à la suite d’un mystérieux accident… Entre le jeune homme et la grande dame, les rapports vont être complexes.

Ne tournons pas autour du pot : il n’y a rien à sauver dans ce film réalisé et joué par Alexandre Astier. Monsieur "Kaamelott" se prend pour Orson Welles et se regarde filmer avec une complaisance insupportable. Dans le rôle de Madame Hansen, Isabelle Adjani promène son visage de vieille poupée botoxée, inexpressif, déshumanisé, générateur d’un véritable malaise pour le spectateur. Les dialogues sont plats, la photo est moche, l’intrigue cousue de fil blanc : "David et Madame Hansen" est une caricature de film français, qui rappelle les pires titres de la filmographie d’Alain Delon et Jacques Deray dans les années 80… C’est dire !

(source: http://www.rtbf.be/info/chroniques/chronique_cherchez-hortense-jean-pierre-bacri-imperial-hugues-dayez?id=7833201&chroniqueurId=5026033 )

Chiant, monotone, prévisible j’aurais aimé m’endormir, j’aurais eu la sensation de ne pas perdre mon temps. La prestation d’Astier est décevante. Autant il donne du charisme et de la profondeur au personnage d’Arthur dans « Kaamelot » autant là il est nul et inexpressif. Adjani fait de l’Adjani, après quoi, trente ans de carrière, on attend un peu mieux, non ?

hélas, hélas, hélas... Une deception. Il est certainement difficile de passer au long-métrage qui est un exercice bien différent du programme court qu'astier réussissait parfois avec brio

Un film à huis clos, difficile donc de ne pas tourner en rond. Tout est centré sur le rôle d'Isabelle Adjani et sur l'origine du trouble psychologique de la patiente qu'elle interprète. On aurait pu s'ennuyer, si ce n'était pas joué par Adjani.

Pour son premier film à lui, Alexandre Astier se débrouille plutôt bien! Un film qui traite du trauma sans tomber dans le cliché, une histoire qui bouge tout le temps et au final, même si ce n'est pas le film de l'année, cela reste un très bon moment de cinéma.

Ça pourrait être d’une grande banalité : une caricature de star qui « se la pête » face à un Homme dans toute sa splendeur (coincé dans les obligations sociétales, qui ne prend pas une seconde pour mettre des mots sur ce qui lui arrive pour analyser, qui ne sait jamais dire non…) ; un trauma à l’origine évidente… Mais tout en finesse et en humour le décalage entre le paraître et la profondeur humaine des êtres se révèle de situation cocasse en situation cocasse. Qu’on ne s’y trompe pas : la vraie guérison, la vraie révélation ce n’est pas celle de Mm Hansen-Truc mais bien l’éclosion de David. Moi je trouve attachants tous ces personnages, mais pour ça encore faut-il avoir un soupçon de notion d’humanité… et si pour certains oser suivre son chemin (pas les rails qui nous pré-guident mais notre vraie nature) est d’une grande banalité, trop peu le fond pour qu’on n’ait pas plaisir à le regarder.

A quand, à nouveau, un vrai rôle pour Isabelle Adjani, sans lunettes noires, sans citations de ce qu'elle est, ou est censée être ? A quand un Bruno Nuytten à la caméra, amoureux de sa légendaire actrice, certes, mais gardant pour autant le sens de "la profondeur de champ" ? Alexandre Astier est-il un cinéastes superficiel ou intimidé ? Pouvait-il tenir les promesses de la bande-annonce de son premier long-métrage ? Un personnage, Madame H.-B., mi-alien dangereux mi-E.T. que l'on va aider à "téléphoner maison", un thérapeute qui rêve pour lui-même d'un grand lâcher-prise, une fiancée-boulet bonne à être abandonnée au bord de l'autoroute, un p'tit frère étrange, dont les talents de dessinateur pourraient servir... Où est l'aventure annoncée, le suspense terrible, la révélation tsunamique? La piscine accouche d'une souris, le drame de Madame Hansen, certes atroce, est hélas d'un convenu... Il m'a semblé voir un pré-film, dans lequel je ne pouvais plonger par manque de profondeur, malgré la magique Isabelle...

J'étais pas loin de m'endormir, c'est creux, plat, ya rien à part 2/3 dialogues marrants. Yavait pas de quoi faire un film je pense.

Pour son premier film Astier ne se débrouille pas mal du tout. Premièrement, il a Adjani en garce insupportable mais sensible, ce qui aide beaucoup. Mais aussi, son scénario à des bases solides pour émouvoir le spectateur sans tomber dans le cucul, et tout en restant fluide. C'est un bon début et on attend la suite de ce qu'il peut faire, avec joie.

Pour ceux qui aiment l'humour de kamelott, c'est fantastique !

J'ai rien compris à ce film x'D. Enfin, disons que je n'ai pas vu l'intérêt. Malgré quelques situations cocasses, c'était déconcertant le trauma de Madame Hansen. Du coup, on ne résout rien je trouve, ils ne portent de l'intérêt qu'au côté environnemental, ils font plus de la psychologie cheap qu'un vrai processus de guérison. Et les acteurs. Oh ce que le petit gamin était mauvais... J'ai cru qu'ils récitaient leurs dialogues sérieusement, aucun naturel sauf ptete chez Adjani :'/. Et Alexandre Astier... ben je ne suis pas une grande fan de "Kaamelott", mais je pense qu'il est meilleur scénariste qu'acteur, voilà... Bref, compliqué pour pas grand-chose.