Derniers Avis : David et Madame Hansen - Page 16

Pour son premier film en tant que réalisateur, Alexandre Astier (créateur/acteur de la série Kaamelott), a peut être voulu trop en faire. Mise en scène, scénariste, composition de la musique et rôle principal. Il s'est sans doute (sûrement) un peu trop éparpillé. Résultat : tout est raté. C'est vraiment très mal écrit. Pas de suspens, pas de dramaturgie, pas d'humour, pas d'émotion. La mise en scène est d'une platitude sans nom. La direction d'acteur inexistante. Ce n'est pas qu'Isabelle Adjani soit mauvaise...
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Dès que j'ai vu Alexandre Astier asséner sa première réplique j'ai su que ce film allait être un monumental désastre.
Le problème est que cette personne n'est pas un acteur, il joue dans ce thriller psychologique comme dans Kaamelott, c'est à dire pince-sans-rire, toujours à dire des répliques condescendantes et sensées être drôle. Le soucis est qu'il doit jouer un nouvel embauché à l'hôpital arrivé depuis 6 jours et déjà blasé, dès sa première réplique il ne colle pas au rôle, ce n'est pas plausible.
La pauvre Adjani joue comme la caricature de Florence Forrestie, à dire des répliques absurdes, et désobligeantes.
Le ton pseudo comique du film ne sied pas du tout à un thriller psychologique, et anéanti toute velléité à transmettre la moindre émotion.
Ce film m'a rappelé l'horreur sordide que Patrick Sébastien avait pondu, "T'aime" ou il arrivait à réconcilier un violeur attardé mental et sa victime, pour qu'elle tombe finalement amoureuse de lui, et trouve que son viol n'était finalement pas si grave. Ici Sigmund Astier parvient à soigner une personne gravement traumatisé, en fermant par une bache la piscine ou la fille d'Adjani s'était noyé, et à rouler à 250 sans accident. Et au final pas besoin de ces médoc pour soigner les traumatismes juste une balade à toute vitesse dans un bolide haut de gamme.

Au final on se demande l'intérêt de l'histoire avec la copine de Astier et son frère dont le père est mort. Le sujet est mis de côté vers la fin comme les deux protagonistes dans le film, sans qu'un lien soit fait avec le reste.

On se noie dans des dialogues sans queue ni tête et mise en abime sans fond étant la marque de Kaamelott, et totalement mal à propos dans ce film.

Le scénario est téléphoné, dès la première réplique de Astier, tellement sur de lui et supérieur aux autres on devine qu'il sera le déclencheur de la guérison de la riche héritière.

Ce film est donc un total échec, de plus il est parsemé de lenteurs et de répliques triviales n'ayant pas leurs places dans un film.

Bon film et sujet original. J'aime beaucoup Alexandre Astier. J''ai apprécié son film et au j'ai decouvert que c'était aussi lui qui a fait la bande son !.....

On connaissait les qualités d'écriture de l'auteur de Kaamelott. Mais on ne l'attendait pas dans le registre du mélo, assumé jusqu'au bout, et tant pis si certains lui reprochent un dénouement prévisible. David et madame Hansen est certes centré sur ses deux personnages principaux, sur leur "duel" souvent cruel, mais il a le bon goût de dessiner un environnement précis, avec des seconds rôles qui apportent un contrepoint et donnent un équilibre à l'édifice qui aurait pu se résumer à un simple affrontement. Les dialogues sont ciselés, cinglants, sous-tendus d'humour et d'absurde. C'est un mélange difficile à obtenir. Le film est sans doute froid mais il palpite sous la peau. Crédible sur le plan médical ? Sans doute pas, mais nous sommes au cinéma, pas chez un spécialiste de l'amnésie. Adjani trouve là un rôle à sa mesure, aussi brillante dans la détresse et l'égarement que dans l'insolence vacharde. Astier a parfois du mal à suivre, comme admiratif de la star. Mais il s'en tire avec les honneurs, avec cette ironie caustique qui lui permet de rivaliser, tout en ayant l'humilité de rester en retrait. Globalement, c'est de l'assez belle ouvrage.

La culture du navet... Alexandre Astier partage avec Patrick Sébastien la même vulgarité, la même prétention dans l'idée de croire qu'ils ont tout les talents... Leur amour du peuple (de l'argent du peuple surtout), les a détourné depuis longtemps de "l'individu", seule la masse les interesse... Alors quand il s'agit de s'attaquer à un art ou il est demandé de rendre compte de l'être humain, ça se gate... Patrick Sébastien avait signé avec "T'aime" l'une des oeuvres les plus laides, ingrates, dégoutantes de bêtise... Il se voyait en psychiatre, cheveux long et biker qui révolutionnait la psychanalyse par des méthodes musclées permettant de regler des trauma de viols en quelques idées "humanistes" tellement plus vrai que celle de l'autre imbécile d'intello élitiste de barbu qu'est Freud... Astier c'est le même combat; les temps ont un peu changé, le psychiatre est remplacé par l'ergothérapeute... Et lui, en une nuit il va vous révéler le trauma, le chasser de la vie de sa patiente et en plus la guerir... On hallucine devant tant de bêtise crasse, d'absence totale d'inhibition... Ces deux grands réalisateurs ont été formé à l'ecole de la beauferie et du calibrage ulcérant, TF1 pour l'un et M6 pour l'autre... Deux extrèmes d'une culture télévisuelle débilisante... ça rend assez triste de voir une actrice que l'on a aimé soutenir une telle médiocrité en se vautrant dans l'obscénité d'une telle réalisation... Sous un oeil mesquin tout est mesquin et c'est bien la seule leçon de cinéma que l'on peut tirer de ce nanar consternant et franchement antipathique... PS: en effet, très bizarre cette succession de spectateur qui ont ouvert un compte entre le 27 et le 29 aout uniquement pour crier leur amour à ce chef-d'oeuvre!!!! ça sent le fake, l'intox complètement en phase avec la grossièreté du film...

On m'a toujours dit qu'un film est bon si il arrive à transmettre des sentiments. David et Madame Hansen est un film pas forcément adulée par les critiques, pourtant Adjani et Astier forme un duo qui fonctionne très bien, d'excellents acteurs. Ce métrage regorge d'humanité et n'est pas du tout ennuyeux, contrairement à ce que dises certaines mauvaises langues. C'est un film tout simplement touchant, on éprouve de la symphatie pour les personnages, on voudrais que cette histoire soit la notre. La scène de la piscine doit être l'une des scènes les plus incroyables du cinéma.
Sans oublier une réalisation plus qu'acceptable et Fabrice Moindrot un directeur de la photographie encore trop méconnue nous offres une prises de vues de très bonne qualité.

2, 3 vanounettes vraiment marrantes, un certain effort pour faire des plans dynamiques... On s'ennuie comme même un peu. Le rythme lent laisse le temps au spectateur de réfléchir un minimum, ce qui n'est pas commun, mais au final, il ne se passe rien de bien intéressant. On sent quand même qu'Astier s'éparpille un peu trop, la musique qu'il signe également n'est pas toujours appropriée ou fait cheap, dommage car c'est un bon musicien, multi-instrumentiste avec ça. Les performances des différents acteurs manquent d'homogénéité, dommage. Ma tendresse pour Alexandre Astier fait que je n'ai pas envie de détester ce film, mais concrètement je n'ai pas du tout envie de le revoir. Pour les fans d'Astier et d'Adjani, à voir "histoire de", et pas forcément au cinéma.

Acteurs bien , dialogues souvent bien senti mais l'histoire n'est pas passionnante et le film est le plus souvent ennuyeux.

J'ai passé un très bon moment avec ce film. Pour les fans d'Astier et de Kaamelott ne vous attendez pas à une comédie ou un film épique, ici il s'agit d'un drame mais parsemé il est vrai de notes d'humour. Adjani joue parfaitement la malade décalée et amnésique mais sans en faire trop et en étant juste. Dommage qu'Astier soit un peu en retrait en début de film mais il se révèle par la suite. J'ai été étonnée de découvrir au générique que c'était lui qui avait composé et orchestré également la musique, cet homme sait tout faire. Pas le film de l'année mais à voir pour le duo Adjani/Astier étonnant et qui fonctionne bien.

Un agréable moment passé en compagnie d'Isabelle Adjani et Alexandre Astier. Ce dernier (rendu célèbre par la série Kaamelott), vient de réaliser son 1er film avec succès. Le film connait un registre à la fois comique et plus sombre à d'autres moments. Toutefois, certains éléments dans le scénario auraient pu être améliorés, notamment à la fin.
Mais le jeu des acteurs (en particulier celui d'Isabelle Adjani) est réussi.
A voir, malgré ce que peut en dire la presse...
A.Astier est à la hauteur...vivement d'autres films.

Je trouve la critique dure et pas tout à fait en relation avec le travail de ce film.
Pour cette raison j'aimerais apposer la mienne, parce que je trouve que le talent en France et peu ou carrément pas reconnu.
Il faut déjà avoir une sacré trempe pour écrire pour Isabelle Adjani qui ne doit pas accepter les rôles facilement. Ensuite il faut aussi une certaine dose de psychologie pour comprendre la relation qui se tisse entre un malade et son responsable.
Evidemment dans la réalité ça se serait pas passé tout à fait comme ça ;) surtout une clinique Suisse ! mais l'idée est originale et ne manque pas de piment dans son développement. Tout en considérant que probablement pas mal de malades dû à un grave choc psychologique pourraient effectivement trouver un réconfort dans une aide personnelle et attentionnée pour la personne.
ça met clairement en évidence les lacunes actuelles dues au manque de temps du personnel soignant auprès de leurs patients, quel interne prendrait aujourd'hui le temps et la patience de s'occuper d'une personne en particulier. Pas que je critique le corps médical mais le système ne permet pas ce genre de tâtonnement aujourd'hui.
Ce film met en évidence plusieurs choses. La relation intime et confortable des acteurs qui se ressent au travers des rôles respectifs, une idée de scénario tout à fait différent de ce qu'on voit d'habitude, un projet abouti pour un producteur acteur musicien les casquettes sont nombreuses, qui n'a pas encore tourné un film de cette envergure et qui en parallèle touche un peu à tout.
Il a notamment composé la musique de son film.
Je pense surtout enfin que c'est un film qui touche un public qui va au-delà de se poser le derrière sur le siège et attend la fin passivement. Il remet en question des choses qui doivent cogiter dans notre tête lorsqu'on s'en va, sinon la mission est échouée.
C'est un film profond qui laisse des émotions dans le fond alors qu'en surface il paraît plus calme, il est juste plus intelligent que la moyenne des films et à juger le nombre d'entrées le 29 j'ose espérer que beaucoup d'entre-nous ont saisi la nuance.
Bon film à ceux qui ne l'ont pas encore vu.

ce film est beau, juste, j'ai passé un très bon moment de cinéma

Original, dramatique et drôle.... Parfois de très bons dialogues, scénario manquant un peu de force, rythme inégal mais d'excellents acteurs/trices: Adjani fait du bon Adjani, Astier et les 2nd rôles sont très bons. Un film à voir sans à priori....

On connait Alexandre Astier bien évidemment pour sa série très populaire, Kaamelott.
On le connait aussi au cinéma, mais plutôt dans des seconds rôles, comme dans les films LOL ou encore Astérix aux Jeux Olympiques.
En plus de cette «vitrine», l’homme a de nombreux talents, de nombreuses casquettes. Déjà, c’est un musicien de formation. Voilà pourquoi il signe lui-même toute la musique de Kaamelott, et aussi de son premier long métrage David et Madame Hansen. C’est aussi un auteur, un scénariste, un incroyable dialoguiste, un monteur et je suis sûr que j’en oublie.
Il est aussi et bien sûr réalisateur, sur sa série Kaamelott en fait.
Jouer et diriger, il connait donc bien. Il a eu du temps pour s’entrainer.
C’est donc tout naturellement qu’il reprend à peu près les mêmes casquettes sur son premier long-métrage, qu’il a écrit, réalisé, mis en musique et monté (il est crédité au générique comme chef-monteur).
Il en est aussi l’un des producteurs exécutifs, tout comme Jean-Christophe Hembert, que l’on connait comme étant Karadoc dans la série Kaamelott, et complice de longue date d’Alexandre Astier.
Voilà donc qui ressemble à un film très personnel. Et ça l’est.
Evidemment, étant un grand fan de Kaamelott, j’attendais Astier au cinéma avec justement les adaptations promises de son inimitable série.
Et comme il aime être là ou l’on ne l’attend pas, et peut-être aussi une façon d’apprivoiser le médium, il a choisit de porter à l’écran cette histoire, cette sorte de road-movie entre un ergothérapeute et une patiente qui souffre d’amnésie passagère.
A l’origine d’ailleurs, ce devait être un film écrit pour Alain Delon. Celui ci était d’ailleurs engagé, le tournage allait commencé mais fut annulé au dernier moment suite à un désaccord entre les deux hommes.
Qu’à cela ne tienne, Alexandre Astier remania le scénario et le rôle pour le confier à Isabelle Adjani.

Pitch : David est ergothérapeute. Il exerce depuis peu dans une riche clinique suisse. Alors que, un matin, il manque une de ses collègues à l'appel, on lui confie une patiente à accompagner pour une course en ville : Madame Hansen-Bergmann. D'abord prudent et respectueux du protocole médical, David se montre procédurier. Mais au fur et à mesure qu'il côtoie sa patiente, sa curiosité grandit : tant de provocation et d'insolence, mêlées à de si soudaines vagues de détresse et de chagrin inexpliquées, ne peuvent cacher qu'un grand traumatisme. Ils ne reviendront pas à l'heure prévue…

Oui, on est loin du ton humoristique de Kaamelott. On est même plutôt dans le drame.
Mais si on remet les choses dans leur contexte, quand on regarde bien l’ambition d’Alexandre Astier sur Kaamelott, qui se dévoile vraiment à partir du Livre IV, on se rend compte qu’il dépeint plutôt des drames humains, l’humour ne surgissant qu’au travers du décalage de certains personnages par rapport à une situation, et au travers des dialogues bien sûr.
Ici Astier nous raconte une histoire plutôt sérieuse. C’est d’abord la rencontre de deux êtres un peu perdus, elle qui a subit un grand traumatisme et sujette à de fréquentes pertes de mémoires; lui qui vient d’arriver dans cette clinique, qui a, bien qu’il dise le contraire au début, du mal à s’intégrer.
Ces deux personnages vont donc s’apporter beaucoup l’un l’autre. Chacun se découvre grâce à l’autre au fil du film.
Il est vrai qu’au départ, David, le personnage d’Alexandre Astier, est un peu en retrait. Plutôt passif même, mené par les caprices de Madame Hansen. C’en est même un peu frustrant pour le spectateur, l’on voudrait un peu plus de conflit.
Mais vers la moitié du film, la tendance s’inverse. Ou plutôt David prend les choses en main.
Une des frustrations du film vient du fait que le mystère autour de Madame Hansen n’est pas installé suffisamment tôt. On se doute bien qu’il s’est passé quelque chose, mais on commence à en avoir des indices que tard dans le film. Peut-être aurait-il fallut une phrase ou une scène pour compléter l’aura mystérieuse de cette patiente.
L’autre légère frustration que je pourrais signaler, on sent parfois un léger manque de rythme. C’est un film assez contemplatif, contemplatif de ses acteurs. Et l’on sait très bien qu’Alexandre Astier aime ses acteurs, il écrit pour eux, n’hésite pas sur les gros plans, les regards.
Dommage qu’on ait l’impression que parfois cet amour des acteurs sacrifie son sens du rythme.
Mais encore une fois, c’est une impression fugace au détour de quelques scènes qui ne gâche en rien la totalité du film.
D’ailleurs, en parlant du scénario, il a le bon goût de ne pas s’attarder sur la résolution du mystère de Madame Hansen. Il en dit suffisamment pour expliquer le personnage, mais sait très bien que son film ne tient pas là dessus.
Ce film, c'est plutôt une rencontre. Une nouvelle rencontre entre une comédienne et son réalisateur, mais aussi entre deux acteurs. Et ça tombe bien puisque l'acteur et le réalisateur sont une même personne.
Le moins que l'on puisse dire, c'est que l'alchimie fonctionne à merveille. Même quand on sent Astier un peu en retrait face à Adjani, il a suffisamment de charisme et de présence pour paradoxalement ne pas apparaître effacé à l'écran.
Elle, elle est formidable. Elle joue avec justesse cette "malade", sans trop en faire, se cachant derrière ses provocations et ses répliques cinglantes, se découvrant peu à peu, fragile.
Astier a eu d'ailleurs une idée de génie, en jouant carrément avec l'image publique d'Adjani pour en faire un élément indispensable à la caractérisation de son personnage : les fameuses lunettes noires. Si au début du film elle se cache derrière, a mesure qu'elle se révèle à David et au spectateur donc, elle les portera de moins en moins.
Quant à Alexandre Astier, son rôle lui est taillé sur mesure (par lui même, oui bon d'accord). Tantôt discret, tantôt s'affirmant et prenant les choses en main, il se révèle touchant, sans trop en faire, dans ce rôle de "guide sur la voie de la guérison" d'Adjani.
Le film est aussi bien desservi, en plus des acteurs, par la mise en scène du Astier réalisateur. Simple, sachant cadrer, sachant filmer sa légendaire actrice, il n'a pas peur d'elle, il la dirige à merveille et la met à nu.
Pas de fioritures, pas d'effets inutiles, tout est au service de l'histoire. C'est sincère et c'en est donc touchant.
Et de même les dialogues, que l’on adore chez Astier, ils sont comme à son habitude fins et réglés au millimètre, comme cette réplique que lui envoie Isabelle Ajani quand il veut lui offrir des fleurs, c’est bateau, c’est du déjà entendu, mais chez Astier, c’est tellement bien placé et tellement inattendu que ça marche à tous les coups. Il en va de même pour le reste du film, quelques répliques cinglantes, quelques bons mots, bref, ce à quoi nous a habitué Alexandre Astier avec Kaamelott. Même si ici, vu le ton du film, c’est par petites touches. J’imagine bien les réalisateurs et producteurs de comédies françaises se l’arracher pour écrire les dialogues de leurs films, avec son nom encadré sur l’affiche...
Et pour parler une dernière fois d'Alexandre Astier et de ses nombreux talents, signalons la musique du film, sans être mémorable comme pouvait l'être la musique de Kaamelott, elle sert parfaitement le film et sait rester discrète, présente quand il le faut pour souligner l'émotion.
Au final, sans être parfait, c'est un très beau premier essai que ce premier long-métrage. On ressort de la salle, sans forcément avoir pleuré ou rit aux larmes, mais au moins touché par cette histoire simple et élégante, et par ce magnifique duo.

Malgré une Adjani relativement juste dans un rôle certes classique pour elle, ce film d' une grande prétention insupporte. Le scénario est ridicule, et Alexandre astier, qui en fait des tonnes, surjoue ehontement. Très dispensable.