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Dialogues insolents, avalanche de gags incorrects, nudité, scatologie : on reconnaît le style Judd Apatow (...). Mais les personnages se révèlent d'une épaisseur inhabituelle (...). On apprécie la réflexion sur l'éternelle insatisfaction de l'Homo occidentalus.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Au fur et à mesure que le film avance, l'humour régresse pour atteindre le niveau qui est le sien dans la cour de récréation d'une école primaire. Seul le charme de Paul Rudd, l'acteur le plus sympathique actuellement sur le marché, empêche l'amusement de virer à l'irritation.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Il y a quelque chose de pourri au royaume de l'écriture, une paresse scénaristique embarrassante lestée de gags éculés. (...) Avec ses faux airs de Brendan Fraser nourri à la bière, [Ken Marino] est délicieux en gros beauf friqué. Pour le coup, on en redemande.
La critique complète est disponible sur le site Première
(...) il n'y a que clichés, bêtises et vulgarités dans un scénario qui ressasse des mauvaises grasses et vulgaires plaisanteries mille fois sollicitées par ce type de production.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Télé 7 Jours
Cette virée chez les babas et aussi cool que sympa.
Télérama
Dialogues insolents, avalanche de gags incorrects, nudité, scatologie : on reconnaît le style Judd Apatow (...). Mais les personnages se révèlent d'une épaisseur inhabituelle (...). On apprécie la réflexion sur l'éternelle insatisfaction de l'Homo occidentalus.
CinemaTeaser
C'est Paul Rudd qui trinque le plus, servi par les monologues embarrassants.
L'Humanité
Malgré une indéniable bonne volonté et quelques rares gags réussis, la farce manque de saveur.
Le Monde
Au fur et à mesure que le film avance, l'humour régresse pour atteindre le niveau qui est le sien dans la cour de récréation d'une école primaire. Seul le charme de Paul Rudd, l'acteur le plus sympathique actuellement sur le marché, empêche l'amusement de virer à l'irritation.
Les Fiches du Cinéma
Dans cette comédie de moeurs qui ne s'assume qu'à moitié, David Wain peine à retrouver l'énergie qui habitait son sympathique "Les Grands frères".
Première
Il y a quelque chose de pourri au royaume de l'écriture, une paresse scénaristique embarrassante lestée de gags éculés. (...) Avec ses faux airs de Brendan Fraser nourri à la bière, [Ken Marino] est délicieux en gros beauf friqué. Pour le coup, on en redemande.
Studio Ciné Live
Voir sur le site Studio Ciné Live.
Metro
Le réalisateur David Wain cultive les clichés sur le Woodstock spirit comme ses personnages la marijuana. Lourdingue.
Ouest France
(...) il n'y a que clichés, bêtises et vulgarités dans un scénario qui ressasse des mauvaises grasses et vulgaires plaisanteries mille fois sollicitées par ce type de production.