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conrad7893
305 abonnés
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0,5
Publiée le 27 octobre 2014
Un film d'action pas à la hauteur, avec une histoire qui aurait pu déboucher sur un bon film, surtout avec la présence de DE NIRO et de Forest WITHAKER mais la réalité en fut autrement. un film sans intérêt.
Soyons clairs : dans Freelancers (ou Indépendants), le héros n'est ni Robert De Niro (valable, sans plus) ni Forest Whitaker (super dans son rôle, d'importance finalement peu élevée dans le film), mais bien "Curtis '50 Cent' Jackson", comme le nomme Allociné. Curtis James Jackson III en policier, c'est paradoxal, comme on peut le se dire dès le début, voire avant même d'avoir décidé de regarder ce film. En effet, ce type est la caricature-même du rappeur-racaille américain. Par conséquent, qu'il joue le rôle d'un policier est tout ce qu'il y a d'ironique, si ce n'est carrément détestable. Je me suis dit que lorsqu'on l'a débauché pour jouer dans ce film, il avait accepté pour le rôle du flic corrompu. Mais, en fait... vous verrez bien en voyant le film ! Sachez que j'ai trouvé qu'Indépendants (traduction littérale du titre "Freelancers") est un bon film policier, doté d'un suspens à la hauteur, et monsieur "50 Cent" n'y est pas pour rien, bien au contraire. Je suis allergique aux rappeurs qui se prennent pour des tueurs, mais il faut dire une chose pour eux : en tant que rappeurs américains, ils en font trop, c'est une évidence, mais s'ils en font trop, c'est qu'ils sont capables de "faire ce trop" : ils sont donc tout à fait capables d'être des acteurs valables. Cf Eminem dans 8 Miles, et 50 Cent ici...
C'est rare que je regarde un film uniquement pour un acteur en particulier exception faite de quelques héros de mon enfance comme Stallone ou Schwarzenegger. Mais là, j'étais intrigué par la confrontation De Niro-50 Cent avec Forest Whitaker comme arbitre. Il y a chez De Niro, même dans ses films mineurs, un éclat dans son regard montrant qu'il ne s'en fout pas. Je n'ai pas vu ça chez beaucoup de monde. Il a du texte. Il le joue en faisant du De Niro certes, tics et sourires en coin habituels, mais il donne toujours le sentiment de s'amuser sur un plateau. De prendre du plaisir. Et pas seulement pour encaisser son cachet. Après, on peut discuter, comme avec son copain Pacino, de la façon dont il choisit ses rôles depuis, grosso modo, le milieu des années 90. Mais il a le respect du métier, peut-être pense-t-il à tous ceux qui galèrent pour trouver du boulot dans le cinéma, et pour ça chapeau. Cette parenthèse refermée, on a là un polar urbain n'arrivant pas à la cheville de ceux de Fuqua ou Ayer qui réussissent mieux que personne à capter la moiteur d'une banlieue chaude avec leur caméra. Ce qui ne veut pas dire que Freelancers/Unités d'élite est raté. Il n'est juste pas très crédible. On ne me fera jamais croire que tous les flics américains sont pourris jusqu'à la moelle. Qu'il y en ait quelques uns de racistes ou qui soient tentés de piquer dans la caisse occasionnellement, oui. Comme il y en a dans tous les métiers. Mais pas à ce point. A quatre-vingt-dix-neuf pour cent, ils respectent le badge qu'ils portent autour du cou. A moins que je ne sois particulièrement naïf. Je doute néanmoins que le réalisateur ait mené une quelconque étude sur la question dans les commissariats de police US. Je n'ai pas non plus très bien compris comment ces petits délinquants ont pu aussi facilement se faire enrôler par la police ni pourquoi les femmes paraissent uniquement être là pour écarter les cuisses lorsque les héros sont fatigués après une dure journée à sniffer de la coke. Mais la vengeance de Malo est plutôt bien mise en place. Bien, qu'au final, il se met au même niveau que ceux qu'ils dénoncent. Faire le bien et protéger la population pour un policier, ça peut aussi fonctionner. Il devrait y penser.
Un gros casting qui sauve un peu le film car même si ça se laisse regarder sans problème le sujet étant déjà tellement exploité que j'ai eu du mal à vraiment accroché.
Franchement je m'attendais à pire, mais faut dire que je m'étais arrêté au nom de 50 Cent sur l'affiche en omettant le reste d'un casting plutôt clinquant (De Niro, Whitaker entre autres). C'est d'ailleurs ce qui sauve le film qui n'arrive pas à se défaire des codes du genre
Un vrai petit à la mise en scène mal fichue, même pas le rythme des clips videos, dont il veut s'inspirer ,une image peu soignée, voir sale . Pour un scénario complétement farfelu, des flics trop ripoux , qui se prenent de la coke dans leur voiture de service, racistes à l'extrème, tous pourris. Que des invraisemblances, . On se demande ce que vient faitre De Niro, si ce n'est pour apparaitre au côté de 50cts et se donner un air Djeuns. Nul.
Rien qu’à voir le synopsis et l’affiche, je pensais fortement que ça aller être de la merde. Et j'en étais pas loin même si ce n'est pas affligeant non plus, c’est juste du vu et revu tourné avec une autre sauce, ça en divertira sûrement quelques uns. Comme d'habitude, on fait face à bon cop, bad cop, mais multiplié par trois cette fois...enfin c’est ce qu’on croit dès le départ, en fait l'histoire est encore plus simple puisqu'il s'agit juste de six mauvais flics (recrues & formateurs). Et oui, les recrues aussi deviennent des pourris de leur plein gré en ne respectant pas l'insigne, contrairement à "Training day" par exemple. On comprend alors directement l’intrigue du film qui tourne autour de la trahison et on connaît, une fois de plus, la fin avant qu’elle arrive. 50 cent devrait songer à faire de la publicité pour Colgate, on ne voit que ça pendant tout le film. On passera sur De Niro et Whitaker qui acceptent un peu tout et n’importe quoi depuis le temps, on s'est malheureusement habitué.
Une sorte de police parallèle où des flics ripoux peuvent gérer leurs petites « affaires » entre eux sans être jamais gênés par qui que ce soit : sujet légèrement déjà vu mais néanmoins intéressant si traité avec tact et intelligence. Et c'est là que « Unités d'élite » pose un problème : il n'a très clairement pas les moyens de ses ambitions. Souvent filmé comme un clip sur fond de musique de rap assourdissante, le film apparaît vite bancal et sans la moindre portée artistique, aussi bien dans son scénario banal que ses répliques faiblardes, Jessy Terrero se rêvant en nouveau Sidney Lumet alors qu'il a tout juste le niveau pour réaliser des DTV avec Steven Seagal. D'ailleurs, ce titre c'est un peu ça : un DTV, mais avec Curtis « 50 cent » Jackson à la place de Seagal (pas sûr qu'on gagne au change, c'est dire!), où Forest Whitaker et Robert De Niro viennent arrondir des fins de mois visiblement difficiles. On a vu pire, mais il y aura toujours mieux à faire que découvrir cet indigent polar.
Un direct-To-DVD avec Robert De Niro et Forrest Withaker, voilà qui avait déjà de quoi mettre l'eau à la bouche. Le spitch pouvait rappeler des films comme "Training day", "Au bout de la nuit" ou "L'élite de Brooklyn"... malheureusement le film n'atteint jamais le niveau de ces films. Le problème c'est que le film présente trop de petites invraisemblances parsemées un peu partout... 3 délinquants qui deviennent flics, un jeune flic véreux qui fait attention à la déontologie dse dealers ?! Absence de discrétion totale... Sans compter des personnages qui n'apparaissent que 2mn malgré un potentiel certain (celui joué par Vinnie Jones, le flic raciste). Le racisme primaire et cliché prend également trop de place, ça manque cruellement de finesse. On se demande ce qui a plu à De Niro et Withaker... Néanmoins le film évite le naufrage complet grâce à eux, ils offrent un minimum syndical que beaucoup aimerait avoir pourtant. Ensuite si le scénario est bancal, l'intrigue principale est assez prometteuse pour qu'on s'y arrête. En résumé il manque une seule chose à ce film (mais de taille) c'est un vrai réalisateur qui apposerait sa patte et un vrai fil directeur.
Forcément avec des acteurs à 50 cents on va pas bien loin. sérieusement il faut qu'il arrêtent avec les rappeurs acteurs, même dans les films ils faut qu'ils soignent leurs images. Houla la la je suis un vrai bad boy mais je suis pas un salop, je trafique, je tue mais j'interdis aux dealers de vendre la drogue aux enfants... Bref un scénario bidon et De Niro il a encore besoin de fric pour jouer dans ces merdes?
Tout est surfait, surjoué et clichesque dans ce film, à commencer par Mr 50cents qui n'est pas un acteur et qui croit en être un, du rap de pacotille distillé à tout bout de champs, du racisme noir-blanc traité au ras des pâquerettes, de De Niro qui prend son chèque en faisant quelques grimaces, d'un forest withaker obèse et aux fraises, de vinnie jones qui prends une petite fessée et qui chougne comme un bébé et d'un scénar sans queue ni tête avec une fin de merde; aller je me remate Les Ripoux, ya pas trop d'action mais c'est marrant.
Sans offrir la moindre originalité scenaristique le long métrage demeure divertissant et efficace grâce à une esthétique relativement appréciable, a des personnages facilement identifiables, des scènes d'action contrôlées et un trio d'acteur véritablement convaincant.