Quel dommage !! Ce film aurait pu être une tuerie parce que le scénario est d'enfer mais malheureusement cela manque trop de rythme (si on peut dire qu'il y a le moindre rythme !!!) mais sinon l'idée de base est excellente et la fin est géniale (mis à part la dernière scène au cimetière qui est des plus agaçantes !!) A voir une fois mais si vous attendez de vrais frissons et des sursauts vous pouvez remballer !!!
Dans le registre de l’horreur, le cinéma australien a toujours été en dents de scie, pouvant nous offrir le pire (Storm Warning - 2007 & Long Weekend - 2008) comme le meilleur (Wolf Creek - 2005 & The Loved Ones - 2009) et hélas cette fois-ci, on ne sera pas gâté avec The Clinic (2010) qui fait partie de ces petites productions horrifiques aussi futiles qu’inutiles. Premier long-métrage pour James Rabbitts qui peine clairement à nous convaincre avec son film (on est d’ailleurs pas les seuls à ne pas avoir été convaincu puisque le film est disponible depuis 2009 et il reste encore inexploité à ce jour). C’est une habitude dans le cinéma de genre australien de situer les intrigues en plein outback, ici l’histoire se déroule en 1979 (le film est inspiré d’une histoire vraie), on y suit le périple d’un jeune couple qui décide de faire étape dans un motel miteux. Au beau milieu de la nuit, Beth se réveille dans une baignoire remplie d’eau glacée, elle vient de subir une césarienne, son enfant venant de lui être enlevé, par qui ? Pour quelle raison ? Les questions se bousculent dans sa tête et elle ne va pas tarder à faire la lumière sur ce qu’elle a subie. Commençons par les points positifs du film (ils sont peu nombreux), on appréciera le cadre (un ancien abattoir reconverti en clinique clandestine), avec de magnifiques plans et des paysages à perte de vue, ajoutez à cela une sympathique B.O (dont le générique de fin que l’on doit à "Ophelia of the Spirits", un groupe australien). Ce que l’on appréciera beaucoup moins, sans hésiter une seule seconde : son scénario, invraisemblable et irréaliste, pas une seule fois on ne parvient à y croire (les femmes venant de subir une césarienne et qui font un sprint, c’est difficilement crédible), si bien que l’on se contrefout du sort de ces jeunes femmes (ne parvenant pas à être crédibles). Sans oublier le soi-disant twist final qui en fait des tonnes et enfonce encore plus le film dans le grand n’importe quoi. Ce qui devait être au final un sympathique survival doublé d’un thriller psychologique s’avère être tout autre en réalité, une déception pure et simple.
Un petit film d'horreur qui se laisse regarder mais qui ne remplit pas les attentes liées à ce genre de cinéma. En effet, Le réalisateur n'arrive à aucun moment à maintenir un suspens horrifique satisfaisant malgré les quelques bonnes idées fournies par le scénario. Les quelques incohérences ainsi que l'absence de talent des actrices rabaissent encore "The Clinic".
Encore une petite perle du cinéma australien pour ce petit film d'horreur sans prétention qui tient en haleine du début à la fin. Le plus est que l'on entre très vite dans le vif du sujet sans s'infliger les fausses pistes des bruits bizarres ou ombres qui font sursauter et le thème est vite cerné, assez gore dans l'idée mais filmé de façon relativement sage sans exagération d'hémoglobine ou visions hideuses. Le cadre est magnifique avec ces immenses étendues australiennes quasi désertiques et cet immense abattoir à l'abandon reconditionné en théâtre de terrain de survie avec le thème des bébés très poignant. Tabrett Bethell, l' inoubliable et sublime Cara de l'épée de vérité est époustouflante et occupe l'écran par sa présence et son énergie magnétique. Quel dommage de ne pas la voir dans plus de productions ou son charisme, son énergie et sa beauté feraient un malheur. Coup de théâtre final qui nous laisse assez baba et donne à ce film d'horreur une cohérence et une fin intéressante même si l'après scène finale du cimetière aurait pu être mieux exploitée.
Premier film de James Rabbitts, The Clinic est une production australienne qui tente la combinaison thriller/film d'horreur. Moins percutant qu'un Wolf Creek, le métrage dispose en tout cas d'une réalisation solide et d'une photographie agréable. Beth et Cameron sont des fiancés épanouis, et puis il y a ce bébé qui, bientôt, renforcera encore plus leurs liens. En cette belle journée, ils se rendent chez la maman de Beth mais, suite à un imprévu, ils s'arrêtent dans un hôtel pour pouvoir se reposer. C'est le début du cauchemar... L'Australie n'est pas avare de très bons réalisateurs (Peter Weir, Alex Proyas ou Baz Lurhmann) et quelques films récents jouissent d'une notoriété relative mais certaine (Tomorrow When The War Began, The Loved Ones). Ce The Clinic ne sera malheureusement pas une réussite encore moins une claque, la faute sans doute à un cinéaste trop sage (malgré les faits décrits). Rabbitts, d'une part, dispose d'un scripte assez léger (il se cantonne à un traitement simple, il ne dévie jamais, laissant peu de place à l'originalité). D'autre part, il y a des éléments douteux (Cameron, une femme enceinte bordel !, après un accouchement, on est faible nan ?) qui nuisent fortement à la crédibilité d'un film qui se veut réaliste et tiré de la sempiternelle histoire vraie. Enfin, trop de rebondissements tuent les rebondissements. Ceci étant dit, The Clinic est une petite production qui n'est pas mauvaise, la mise en scène excelle dans les plans tendus, elle met en place une ambiance plutôt réussie et, avec l'aide d'une histoire assez glauque, se fait fable sur l'eugénisme. Le casting est correct : feu Andy Whitfield (Spartacus) et la ravissante Tabrett Bethell s'en sortent sans peine. C'est passable. 2,5/5
Excellent film. Les acteurs sont tous extraordinaires, l'intrigue est intéressante, scénario bien construit. Beaucoup de tension, belle bande son, belle photographie. Filmé de manière impeccable. Je suis vraiment surpris et ravi, on entre immédiatement dans l'histoire, jusqu'au bout du film. De plus, une atmosphère froide et étrange parfaitement maîtrisée! Je recommande, 5/5!
Un énième façon "lequel va survivre" (thème très en vogue) avec pour variante des femmes enceintes. Quelques mystères foireux (des chiffres romains ça fout plus les jetons, salle avec biberons vides..) avec un dénouement particulièrement boursouflé dans la connerie.
Beaucoup de tension dans ce film superbement interprété. Le scénario est très prenant pour ma part. Ok d'accord avec les autres com', marathon après une césarienne, bon ok je passe. L'intrigue est bonne, la fin... surprenante. A voir, vraiment.
Film regardable mais qui reste très moyen. L'histoire est assez originale malgré tout mais l'action reste assez lente...on aurait presque envie de s'endormir.
Franchement, très surprise de la qualité de ce film, tant de l'intrigue et du thème (très intéressant et encore peu exploité au cinéma) que de la réalisation. Même s'il commence comme beaucoup d'autre film, les images, la bande-son et l'ambiance vraiment réussies, je ne dirais cependant pas que c'est un film d'horreur mais plutôt d'angoisse. En effet, ce qui fait vraiment froid dans le dos, c'est la possibilité d'un tel scénario, et un film d'épouvante réaliste, ça vaut le détour :) et arrêtons de critiquer l'état physique des personnages après les césariennes, on est tous très contents qu'elles arrivent à courir ! bref, à voir, pas forcément pour se faire peur, mais juste pour passer un très bon moment !