Derniers Avis : Parlez-moi de vous - Page 7

Une journaliste Mélina s'appelle Claire à la ville et nous montre la dualité de son personnage. spoiler: Elle vit en ermite, parle au chien, cache de la souffrance sous une bienveillance et une empathie. Apprenant des choses de son histoire elle prend son courage et va à la recherche de ses origines sous des parures et avec ruse. Lucas, Nicolas Duvauchelle qui joue un jeune homme liant et s'est entiché de la nouvelle venue, l'air de ne pas y toucher tente de l'emmener de l'autre côté du 16è, en banlieue et vers le secours pop. C'est comme un enchantement, or, elle ne peut accepter et se prendre au jeu et redoute trop.
Cependant, Claire finit par montrer de la loyauté avec Lucas, lui donne des conseils judicieux et l'aiguille en l'encourageant. Elle entend seulement ne semble pas prête pour s'ouvrir à cet être. La fin laisse un peu sur notre faim car sachant la vérité le personnage principal n'est pas plus épanoui et c'est comme si c'est autocentré et égocentré, savoir mais ne pas se remettre en cause, ne pas s'autoriser à vivre plus que le connu et le terrain conquis alors qu'en parlant aux auditeurs à la radio, elle prône tout le contraire et parle d'avoir des choses à vivre et à développer sans se l'appliquer. Des paradoxes la rendent comique et elle joue bien, excellemment.
Le film de Pinaud est beau et chargé d'émotions spoiler: et la progression et réussite de Lucas est flagrante, il bouge et finalement son projet de faire des photos mène à une expo, Claire en est témoin mais ne sort pas de son couloir....
, bien fait pour une première œuvre, je le conseille. C'est la version commentée et le fait de le revoir après l'avoir regardé au cinéma qui m'ont fait aimer ce film, c'est plein de moments divertissants et les liens entre les personnages nous prêtent à sourire.
j'adore quand il fait le pied de grue devant la porte le soir,
ensuite c'est manqué pour ce beau garçon seulement elle est sans pitié, ne se détend pas, ne s'autorise pas...

je viens de voir avec retar ce film, pas vu à sa sortie . KARINE VIARD duvauchelle tjrs excellents mais rarement je souligne la façon de filmé qui n est pas à la hauteur , decousue , on s attache à l histoire , et les acteurs comme certains très bons comediens suave le film,. il n y p

Un film émouvant, bien joué sur l' idée de savoir tourner la page , de s' ouvrir , bref de franchir le pas pour avancer .

Un film où rien n'évolue et qui finalement n'aboutit à rien. C'est la première fois que Karin Viard peine à me convaincre. On dit que pour ce rôle austère et peu crédible, elle se serait inspirée de l'animatrice radio Pascale Clark. Ceci explique sans doute cela...

Un sujet déjà souvent abordé et un scénario qui manque de développement du coup les étoiles vont surtout à Karin Viard qui assure une grosse performance et porte le film.

Karine Viard nous emmène avec justesse et légéreté dans son monde sans amour des enfants abandonnés. Beaucoup de sensibilité et belle photographie pour un film surprenant par le nombre de thème abordé : l'abandon, la création, l'amour, l'écoute, la manipulation.

Un petit film d'auteur sensible écrit avec beaucoup de minutie. Karin Viard est touchante dans la peau d'une femme solitaire en carance évidente d'affection. Abandonnée à la petite enfance le personnage principal vit solitaire avec de nombreux problèmes structurants et phobies qui trouve son salut en psy à la radio donnant conseils salvatrices pour ces auditeurs. Même si Karine Viard est excellente et que l'histoire est plutôt touchante, on s'ennui un peu et on reste sur notre fin, frustré.

Karin Viard dans toute sa beauté et sa simplicité. Un film touchant.

Un joli petit film qui traite avec pudeur de l'abandon, de la recherche d'identité et de la douleur vécue par les enfants. Karin Viard est formidable dans son rôle. Par contre j'ai été un peu géné par la prestation de Nicolas Duvauchelle (il parle vite et articule peu ce qui rend la compréhension un peu difficile). A voir.

Film très agréable à regarder sur pour le jeu d'actrice de Karine viard et de Nadia barentin (dans son dernier rôle)

Ce film est tout à fait plat et mou. Les scènes sont très longues, on devine facilement la fin du film, et certaines scènes sont incompréhensibles. Karine Viard est une actrice que j apprécie beaucoup, mais pas dans ce rôle, qui ne lui convient pas. Tout est grossier et caricature, et surtout soporifique.

Film efficace et apaisant. Karin Viard livre une prestation parfaite, entre sensibilité et extrême froideur, elle dose subtilement le tout pour donner du corps à son personnage. L'intrigue est aussi émouvante que divertissante, les seconds rôles ont beaucoup de personnalité et le film réserve quelques moments drôles.

Avec une intonation et un personnage qui semblent involontairement faire écho à une certaine émission diffusée sur Europe 1, le soir, Karine Viard se place dans la peau d’une animatrice de radio. Ce qui aurait pu sembler inventif et divertissant dans la bande-annonce se trouve alors réduit à une auto-séance de psychologie médiocre sur un personnage médiocre. Voilà qui suffirait presque à résumer ce qu’est Parlez-moi de vous, sortie en ce début d’année. Le scénario a l’air profondément personnel, c’est un fait. Il n’est d’ailleurs peut-être pas dénué de bons sentiments mais cela n’a jamais suffit à faire un bon film. En voici la preuve. Tout d’abord, il y a cette histoire de célébrité anonyme qui fait de sa vie une antithèse grotesque : inciter les gens à ce qu’elle-même est incapable de faire. De prime abord, on se dit que cela fait partie du trouble de l’enfance qui a depuis grandi dans la tête de cette femme, puis vient un certain moment du film où il faut se rendre à l’évidence. Le personnage de Claire Martin est sans doute un des plus grands ratés de l’année. Grandement horripilante, voire antipathique, la quarantenaire du film dévoile au grand jour l’imposture de ce Parlez-moi de vous en se montrant comme le stéréotype scandaleusement assumé qui est au cœur de cette histoire. Ainsi donc, Madame ne supporte pas le moindre contact, la moindre poussière, la moindre exposition au public… Voilà qui reflèterait plutôt bien l’image de film-à-bobo que l’on retrouve dans une majeure partie du film, à travers cette psychologie à deux balles et cette femme on ne peut moins crédible, qui tend même à rendre Karin Viard insupportable – avec ses mimiques exaspérantes et surjouées. Parfois même, on s’attend à entrevoir un retournement de situation grotesque façon Ma part du gâteau (ce qui a d’ailleurs failli arriver plus d’une fois). Enfin, il faut aussi préciser qu’en plus d’un manque de maitrise certain du côté de l’intrigue principale – à savoir la recherche d’amour maternel – le réalisateur Pierre Pinaud se sera aussi risqué à introduire une histoire d’amour ridicule et nettement superflue. Outre ce bâclage total du scénario et ses personnages, on retiendra quelques piques qui ont le mérite de faire sourire et… ce sera tout. Si Parlez-moi de vous n’est à aucun moment source d’un quelconque ennui, il n’en demeure pas moins raté sur le fond comme sur la forme. Cependant, on pourra longtemps se souvenir de cette protagoniste, qui compte parmi les plus lamentables de cette année, ainsi qu’un côté « psychologie » digne de la fameuse émission d’Europe 1.

Un joli film sur la vie contrastée d'une femme entre sa vie publique et sa vie privée. Une animatrice radio qui a réponse à tout et qui trouve les bonnes paroles pour aider les autres, mais qui a du mal à se l'appliquer dans sa propre vie. Comme on dit, il est toujours plus facile d'aider autrui que de s'aider soi-même. "Parlez-moi de vous" est un long-métrage assez réussi et qui arrive à faire passer son message comme convenu. Karin Viard comme à ses habitudes, joue très bien (je ne me prononcerai pas pour Nicolas Duvauchelle, qui n'est pas ma tasse de thé) et nous invite dans son univers, entre animatrice radio et fille en recherche de mère, on assistera à quelques scènes émouvantes.

C'est vide et plat. On a connu Karin Viard et Nicolas Duvauchelle dans des rôles meilleurs.