Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
3,5
Publiée le 19 janvier 2012
Certains diront que le scenario n est pas tres fouillé pourtant c est une tres belle histoire, tout en finesse. Superbe actrice, que l on suit avec plaisir tt au long du film. a voir!
un joli film une nouvelle fois superbement interprété par une Karin Viard pleine de justesse. beaucoup d'émotion se dégage des personnages. une belle histoire qui nous emporte vers nos plus lointains souvenirs.
J'aime bien le personnage au départ mais ça ne dure pas : 10 minutes après le début du film on sombre dans les lenteurs et les drames familiaux si chers au cinéma français. L'horreur habituelle...
On se concentre sur un drame humain intéressant, notamment de par la justesse de son héroïne, mais la fin nous restera en travers de la gorge, n’étant pas exactement une ode à l’espoir. Un principe qui marche bien donc, reposant sur une psychologie assez poussée, même si le fond est autrement plus classique.
Une comédie pleine de longueurs, avec comme personnage principal une femme qui a la phobie des bactéries et qui est une sorte de doctoresse à la radio. Un jour, elle part à la recherche de sa mère qui vit non loin de chez elle et l'a abandonnée lorsqu'elle était enfant. Trop de longueurs et une histoire qui tourne en rond avec énormément de scènes inutiles qui nous font décrocher de l'intrigue principale et de la romance qui aurait pu prendre une meilleure place.
Un sujet sensible que le fait de grandir sans ses parents génétiques, cette histoire touchante repose entièrement sur les épaules de K. Viard. A la fois chaleureuse, tournée vers les autres en animatrice radio et distante voire glaçante dans sa vie privée. On aurait toutefois espéré davantage de développement.
Karinz Viard peut se donner à coeur joie dans son personnage public sympathique et de bons conseils, mais ultra névrosée et coincée dans sa vie privée, qui cherche sa mère dans un milieu à l'opposé du sien. Voilà, on sera en permanence dans les extrêmes, et ça ne marquera pas l'histoire du cinéma...