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Au-delà de l'effroyable réalité montrée et du traumatisme physique et psychique dont il rend compte, le film s'interroge sur le lien entre individus dans un contexte de guerre, la manière dont chacun lutte pour sa survie, l'ambivalence des comportements et l'insondable mystère de la noirceur humaine.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
"As If I Am Not There" échappe à la complaisance qui caractérise souvent les voyages cinématographiques en enfer. Le film se pose simplement, sans prétention, comme le tableau bouleversant de la survie d'une femme, et des irrémédiables conséquences de sa soumission.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le film veut dénoncer la sombre réalité de la guerre de Bosnie-Herzégovine. La cinéaste Juanita Wilson, irlandaise, laisse vite de côté cependant les enjeux politiques, mais sa vision, généreuse, favorise la simplification. (...) Tout est abordé (...) avec une gravité convenue et, finalement, trop de légèreté.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
"As If I'm not There" hésite entre deux postures, celle du témoignage froid et implacable, mais aussi celle de la trouble jouissance du film d'exploitation et de série B. Le film ne se remet ni de cette incertitude ni d'effets lourdement appuyés.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le film ne lésine pas sur le dolorisme mais confond souvent courage de dénoncer et grosses ficelles. (...) Le film est juste désarmé face à son sujet – musique symphonique dégoulinante, cadres millimétrés.
Impossible de ne pas louer les intentions de l'Irlandaise Juanita Wilson, (...) mais fallait-il, pour ce faire, privilégier les scènes pénibles (...), basculer dans un "Portier de nuit" soft et s'abstenir de livrer toute réflexion que ce soit sur la violence ?
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
La Croix
Au-delà de l'effroyable réalité montrée et du traumatisme physique et psychique dont il rend compte, le film s'interroge sur le lien entre individus dans un contexte de guerre, la manière dont chacun lutte pour sa survie, l'ambivalence des comportements et l'insondable mystère de la noirceur humaine.
Les Fiches du Cinéma
Sur un sujet fort, Juanita Wilson livre un premier long métrage puissant et personnel.
Critikat.com
"As If I Am Not There" échappe à la complaisance qui caractérise souvent les voyages cinématographiques en enfer. Le film se pose simplement, sans prétention, comme le tableau bouleversant de la survie d'une femme, et des irrémédiables conséquences de sa soumission.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Télérama
Le film veut dénoncer la sombre réalité de la guerre de Bosnie-Herzégovine. La cinéaste Juanita Wilson, irlandaise, laisse vite de côté cependant les enjeux politiques, mais sa vision, généreuse, favorise la simplification. (...) Tout est abordé (...) avec une gravité convenue et, finalement, trop de légèreté.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Le Monde
"As If I'm not There" hésite entre deux postures, celle du témoignage froid et implacable, mais aussi celle de la trouble jouissance du film d'exploitation et de série B. Le film ne se remet ni de cette incertitude ni d'effets lourdement appuyés.
Les Inrockuptibles
Le film ne lésine pas sur le dolorisme mais confond souvent courage de dénoncer et grosses ficelles. (...) Le film est juste désarmé face à son sujet – musique symphonique dégoulinante, cadres millimétrés.
TéléCinéObs
Impossible de ne pas louer les intentions de l'Irlandaise Juanita Wilson, (...) mais fallait-il, pour ce faire, privilégier les scènes pénibles (...), basculer dans un "Portier de nuit" soft et s'abstenir de livrer toute réflexion que ce soit sur la violence ?