En général, les films d’animation de science-fiction sont plutôt à chercher du côté du Japon. En effet, les Japonais ont montré depuis longtemps un goût pour la technologie à travers ces métrages, qu’ils soient fictifs ou réalistes. Mais, dans le cas des films post-apocalyptiques, il s’agit surtout d’un rapport à l’histoire. Par exemple, le manga Gen d’Hiroshima qui a été adapté en film d’animation, relate le bombardement d’Hiroshima et ses conséquences désastreuses plusieurs années après. Dans le reste du monde, les films post-apocalyptiques abondent, dans les années 1970 et surtout 1980 après le succès de Mad Max. Cependant, dès qu’on parle de films d’animation, l’Occident est un peu plus frileux. On pourra citer le cas du très bon Wizards en 1977 – Les sorciers de la guerre – de Ralph Bakshi. Et surtout, nous pourrons évoquer et analyser l’excellent Quand souffle le vent – When the wind blows dans sa version d’origine –, film d’animation britannique réalisé en 1986 par Jimmy T. Murakami, qui obtint le Grand prix du long-métrage au Festival international du film d’animation d’Annecy en 1987.
Ceci est le début de ma chronique. SI vous souhaitez lire la suite, je vous invite à vous rendre sur mon site larenedairain.fr :)
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