Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Paris Match
par Alain Spira
Cette "grammaire intérieure" est déclinée avec brio.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Critikat.com
par Benoît Smith
Bergman offre d'une part une empathie avec la souffrance de l'enfant, sa perception cruelle des troubles qui l'entourent, d'autre part un regard extérieur lucide sur son état, sa réclusion volontaire au caractère quasi monstrueux.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Arnaud Schwartz
Nir Bergman signe, à hauteur de visages d'enfants, un joli film intimiste, plein de cette secrète douleur d'exister.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Metro
par Mehdi Omaïs
Nir Bergman signe une quête initiatique assez classique dans la forme. Mais qui, en naviguant entre rire et émotion, ne laisse pas indifférent.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Télérama
par Guillemette Odicino
Cette adaptation fidèle du livre de David Grossman capte, dans des couleurs ensoleillées et une reconstitution soignée, la résistance d'un être fragile dans une société qui a érigé le silence en morale. Ce joli film rappelle aussi que grandir, c'est construire son propre monde.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Un peu long, mais attachant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir le site du Point.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Julien Englebert
En se focalisant sur un enfant israélien qui refuse de grandir, Nir Bergman pose de pertinentes questions sur l'existence humaine et sur le jeune état d'Israël. Mais lorsqu'il s'agit d'y trouver une réponse, il sombre dans le désespoir.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Ariane Allard
Une curieuse proposition, frôlant le pataquès mais traversée de fulgurances. (...) Dommage (...) que Nir Bergman s'appuie sur une grammaire primaire du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Isabelle Danel
Malgré des qualités d'écriture, l'histoire D'Aharon (...) ne dépasse pas la déclinaison d'un thème rebattu au cinéma. On oscille ici entre le nostalgico-niais et le mélancolico-tendre.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Marjolaine Jarry
Dommage qu'une voix off trop littéraire éteigne la liberté de ton si particulière dont le réalisateur faisait preuve avec son précédent film, le vibrant "Broken Wings".
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
"La Grammaire intérieure" semble sortir d'un autre âge du cinéma israélien. Celui d'un cinéma "bien fait", avec une reconstitution historique soignée, une observation psychologique juste, un jeu d'acteurs convaincant, mais un cinéma qui sent terriblement la naphtaline.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Au mieux, ce film pas très original rappelle qu'Israël est aussi un pays méditerranéen.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Autant le livre, sorte de plongée en apnée dans les méandres d'un univers parallèle, est fascinant, autant le film est, à ce même égard, décevant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Paris Match
Cette "grammaire intérieure" est déclinée avec brio.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Critikat.com
Bergman offre d'une part une empathie avec la souffrance de l'enfant, sa perception cruelle des troubles qui l'entourent, d'autre part un regard extérieur lucide sur son état, sa réclusion volontaire au caractère quasi monstrueux.
La Croix
Nir Bergman signe, à hauteur de visages d'enfants, un joli film intimiste, plein de cette secrète douleur d'exister.
Metro
Nir Bergman signe une quête initiatique assez classique dans la forme. Mais qui, en naviguant entre rire et émotion, ne laisse pas indifférent.
Télérama
Cette adaptation fidèle du livre de David Grossman capte, dans des couleurs ensoleillées et une reconstitution soignée, la résistance d'un être fragile dans une société qui a érigé le silence en morale. Ce joli film rappelle aussi que grandir, c'est construire son propre monde.
Le Figaroscope
Un peu long, mais attachant.
Le Point
Voir le site du Point.
Les Fiches du Cinéma
En se focalisant sur un enfant israélien qui refuse de grandir, Nir Bergman pose de pertinentes questions sur l'existence humaine et sur le jeune état d'Israël. Mais lorsqu'il s'agit d'y trouver une réponse, il sombre dans le désespoir.
Positif
Une curieuse proposition, frôlant le pataquès mais traversée de fulgurances. (...) Dommage (...) que Nir Bergman s'appuie sur une grammaire primaire du cinéma.
Première
Malgré des qualités d'écriture, l'histoire D'Aharon (...) ne dépasse pas la déclinaison d'un thème rebattu au cinéma. On oscille ici entre le nostalgico-niais et le mélancolico-tendre.
TéléCinéObs
Dommage qu'une voix off trop littéraire éteigne la liberté de ton si particulière dont le réalisateur faisait preuve avec son précédent film, le vibrant "Broken Wings".
Cahiers du Cinéma
"La Grammaire intérieure" semble sortir d'un autre âge du cinéma israélien. Celui d'un cinéma "bien fait", avec une reconstitution historique soignée, une observation psychologique juste, un jeu d'acteurs convaincant, mais un cinéma qui sent terriblement la naphtaline.
L'Humanité
Au mieux, ce film pas très original rappelle qu'Israël est aussi un pays méditerranéen.
Le Monde
Autant le livre, sorte de plongée en apnée dans les méandres d'un univers parallèle, est fascinant, autant le film est, à ce même égard, décevant.