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2,0
Publiée le 27 janvier 2022
Enième comèdie romantique US sur l'apprentissage du cèlibat et de ses femmes new-yorkaises qui ont l'âge d'avoir des problèmes et du vague à l'âme! D'abord se soigner la gueule de bois, se faire ravaler la façade ou soigner le moral par le moral avant la magie des trucs, à savoir ce qu'on doit trouver pour être heureux! S'il n'y avait pas l'humour poids lourd (et vulgaire) de Rebel Wilson, on serait tentè de dire que Dakota Johnson, Leslie Mann et Alison Brie sont dans leur èlèment! Ça se laisse regarder à condition d'accepter le côtè dèjà vu et la morale bien lisse! Si vous souhaitez être dans la peau d'une cèlibataire qui veut tout contrôler mais qui ne peut pas, mieux, si vous êtes en pleine phase d'exploration ou en pleine crise existentielle, alors "How to Be Single" est fait pour vous! Ceux qui cherchent dèsespèrement à se caser sont ègalement la bienvenue! Notice dèdièe, avec èmotion, à mon èpouse qui a vu ce calque de "Sex and the City" dans l'avion vers Atlanta...
J'avoue être assez partagé. D'un côté, vraiment rien d'exceptionnel dans la forme et surtout pas mal de lourdeurs, voire de vulgarité dans les dialogues, diminuant sensiblement notre capital sympathie pour l'œuvre. De l'autre, sous ses airs presque badins, insouciants, « Célibataire, mode d'emploi » se révèle être une peinture assez juste du célibat, que ce soit à travers le quotidien des quatre jeunes femmes, leurs envies... Non pas que je me retrouve totalement dans ce qu'elles font ou ressentent, mais on sent un minimum de vécu et, surtout, on a l'excellente surprise d'éviter un spoiler: quelconque discours moralisateur selon quoi il n'y a rien de mieux qu'être en couple et que tout vient à point qui sait attendr e, avec même quelques choix inattendus spoiler: (non, la jolie Alison Brie ne tombera pas dans les bras du beau barman qui était pourtant prêt à abandonner son mode de vie « une nouvelle nana par soir ou presque » rien que pour elle) . Si les scènes de cette dernière sont d'ailleurs rarement bien intégrées au récit, le charme (discret) vient aussi des actrices : Dakota Johnson est craquante, Rebel Wilson déchaînée et Leslie Mann délicieuse, même si son « récit » est clairement le plus attendu et surtout le moins intéressant. On en regrette d'autant plus cette volonté de « trash » presque omniprésente et ne rendant clairement pas service à un titre qui, avec autrement plus de subtilité dans son traitement, aurait pu être vraiment réussi : il faudra se contenter d'un film « moyen ».
Outre Dakota Johnson juste sortie de la soupe populaire "50 nuances de Grey" le reste du casting est composé de pros du genre. Un casting cohérent version assurance tous risques. Résultat la marque de fabrique tout de suite placé dans le titre se confirme donc avec un scénario assez convenu à trois petits détails près. Une vulgarité moins assumée que dans un Judd Apatow, une bonne dose de charme à la "Sex and the City" et surtout (le bonus) une conclusion qui évite le happy end habituel pour tous les personnages. Par contre la puissance comique repose un peu trop sur Rebel Wilson mais ça reste une comédie très sympa qui se regarde sans déplaisir.
Rebel Wilson tout en vulgarité, Dakota Johnson tout en nunucherie pour cette comédie qui fait vaguement sourire deux, trois fois et qui n'est qu'une compilation de clichés guère flatteurs pour les femmes (ni pour les hommes d'ailleurs). Tant qu'à faire dans le trash, il fallait y aller franco. Là, on a juste une sorte d'hybride maladroit. Une comédie sentimentale mineure.
Si l'objectif était de donner un mode d'emploi pour être célibataire, c'est raté. On suit les aventures d'Alice (Dakota Johnson) en s'ennuyant passablement. De temps en temps on voit surgir Robin (Rebel Wilson) qui n'apporte strictement rien au film. Ses répliques sont même assez insupportables. Soudain, surgit un espoir quand retentit Welcome To The Jungle des Guns N'Roses. Je me suis alors dit que la bande originale allait rattraper le coup. Beaucoup plus tard on entend Can't Take My Eyes Off Of You de Gloria Gaynor chantée par la maman disparue d'une jolie petite fille adorable. Mais ça ne suffit pas à compenser les errements inutiles de cette comédie qui se cherche. À éviter, sauf pour les vues de New York.
un scénario déjà limité et pas toujours cohérent mais tellement convenu : du déjà vu, de l'insignifiant en pagaille, du superficiel à la volée, juste ce qu'il faut de vulgarité et surtout rien de drôle... d'un ennui, d'une platitude et d'un inintérêt total.
Après les comédies « En cloque, mode d’emploi », « Bébé, mode d’emploi » et « 40 ans, mode d’emploi », Hollywood nous sort « Célibataire, mode d’emploi ». Cette comédie n’est en fait qu’une version puissance trois de toutes les comédies romantiques où une fille cherche l’homme de sa vie…. Ne vous fiez pas au synopsis qui fait de ce film une expérience inédite sur les choses de l’amour et de la drague pour les hommes et les femmes. Ce n’est en fait qu’une banale comédie romantique où trois nanas larguées essaient de façon différente de fonder une famille (soit en trouvant le gars, soit en ayant un bébé). Les mecs ne sont là que pour servir de faire-valoir. Je ne critique pas ce dernier point étant donné que les films avec les mecs en tête d’affiche c’est 90 % de la production cinématographique. Non, ce que je critique c’est l’absence d’originalité de cette comédie à base de bande de filles, un genre qui était inédit il y a quinze ans, mais qui est maintenant presque un sous-genre de la comédie. En plus, le film prétend pointer du doigt les injonctions de la société vis-à-vis des femmes : trouver l’âme sœur, marier l’âme sœur, avoir des enfants avec l’âme sœur, mais en fait il ne fait que pousser les intrigues dans le sens de ces trois quasi-obligations sociales (bon sauf vers la fin pour un personnage pour être totalement honnête !). Sinon tout le reste est cousu de fils blancs et les happy-ends amoureux restent quand même majoritaires en dernier ressort. Le film est divertissant, mais son aspect transgressif n’est finalement rien d’autre que du marketing malhonnête qui ne correspond pas vraiment au contenu du film et à sa bande de gentilles new-yorkaises blanches hétéros de classe moyenne à la recherche de l’amour. Niveau originalité c’est l’encéphalogramme plat ! Pour se distraire devant un spectacle gentil et sans surprise.
Célibataire, mode d’emploi est le type même de la comédie romantique américaine totalement dans l’air du temps et très oubliable. L’œuvre de Christian Ditter est parfois amusante mais aussi régulièrement vulgaire et un peu lourde. La seule véritable originalité du film tient dans son discours sur le célibat qui présente celui-ci comme étant une option parmi d’autres et le couple comme n’étant pas obligatoirement la meilleure solution. Dommage qu’un tel discours soit illustré par un film aussi lambda.
Cette comédie romantique en mode chorale débutait d'une manière très sympa, jovial et légère. J'ai pas vraiment compris son virage un tantinet trop sérieux et cérémonieux qui flingue tout le second degré et la bonne humeur d'ensemble ... Des coupes dans le scénario n'aurait pas été de trop selon moi. Certains passages sont toutefois plutôt cool à défaut d’être originaux. Le casting est très ordonné, chacun s'octroie sa petite séquence et à se jeu c'est Rebel Wilson qui chope la timbale. Elle égaye le contenu de part sa loufoquerie et ses bêtises, elle déboîte ! Pour conclure, How to be single est agréable à voir, je crois que tout est dit !
Bien plus que le titre pourrait nous laisser penser à une comédie (une de plus) dans le genre, la fin mérite toute la patience, sans en souffrir, car le scénario est très bon, et surtout le quatuor de filles, à commencer par Dakota Johnson est remarquable ! (Elle, vous l'avez vu notamment dans 50 nuances, et la reverrez bientôt) Un choix quasi parfait de ces 4 ! Les gags sont drôles sans avoir besoin d'excès comme dans Very Bad Trip par exemple....la démonstration hommes/femmes à partir des cacahuètes est simplement géniale ! Quant au final, un panorama fantastique censé apporter tout le sens du film:nous mettre en accord avec soi-même !! **
Fil centré sur des célibataires New York. Très franchement le noter à 2,5/5 est presque trop. Le film n'importe rien d'original. C'est plus que conventionnel. Heureusement il y a quelques passages assez drôles mais cela ne forme pas un film de qualité. Au final, rien à tirer d'extraordinaire dans ce film.
Comme souvent dans ce genre de comédie, le délire est faussement prude au début et véritablement puritain à la fin. Gags lourds et branchés en-dessous de la ceinture au début qui vire en romantisme à la guimauve et sans intérêt à la fin. Le casting n'est pas toujours à la hauteur. Pour revivre les délires de 4 célibataires à NYC, on reverra Sex & the City.
La seule chose que je retient de ce film, c'est quelques dialogues succulents. Le problème du film est qu'il a voulu faire réaliste, en nous brossant une poignée de personnages qui ne vivent pas l'amour mais la rupture. Oui problème, parce que ça met le film sur une dynamique faussement joyeuse, ou faussement triste, ça reste entre les deux. Cela a pour effet de provoquer une certaine forme de malaise, on ne sait jamais comment se sentir. En plus il y a trop de personnages, on n'arrive pas à s'attacher à eux, qui eux mêmes n'arrivent pas à s'attacher à leurs compagnons. Au fond le film est assez pessimiste sans pour autant l'assumé, ce que je n'aime pas trop. Et bon mise à part quelques dialogues, c'est creux, et revus, sauf que là c'est assez triste. Pas le genre de film à voir quand vous sortez d'une rupture c'est sur.
Un film gentillet qui se laisse voir tranquillement un dimanche pluvieux . Quelques scènes et répliques font mouche même si le thème abordé à déjà été abordé 500 fois et le scénario reste classique et souvent prévisible (quoique j'ai eut une ou seul surprises ) . Le film doit quand même beaucoup à l énergie et la bonne humeur communicative de l actrice Rebel Wilson qui a elle seule tire le film vers le haut . Le reste des acteurs n est pas mauvais non plus et ils font le taffe. Bref on est loin du chef d oeuvre mais ça se laisse bien voir quand même .