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Si certaines séquences frôlent un doux manichéisme, "God Bless America" évite également la débandade finale en donnant, même dans ses ultimes minutes, dans un jusqu'au-boutisme rare.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
[Pour] Sans en avoir l'air, "God Bless America" fait donc office de signe des temps, comme Point limite zéro avant lui : en temps de crise, l'idéalisme et la probité se parent de couleurs inédites.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La charge contre l'Amérique et son mode de vie (la télé réalité en tête) est aussi implacable que savoureuse. De la vraie bonne production indépendante qui n'oublie pas d'être aussi un vrai (bon) film de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
On regrettera la première scène, d'une violence gratuite, ou, disons, "tarantinesque", mise en jambes aux antipodes de la suite, où le réalisateur aux critiques percutantes ne prêchera peut-être que des convaincus, mais drôlement brillamment.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
(...) une croisade qui se garde bien de départager les bons des mauvais. Si tant est qu'ils existent. C'est terriblement dérangeant, comme du poil à gratter.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
(...) si la croisade de Frank et de Roxy s'avère d'abord salutaire, à la manière d'un rêve de défoulement qui aurait vraiment lieu, elle finit par tourner un peu à vide.
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
La dénonciation d'une civilisation déviante - bien que véhiculée par un réalisateur et des acteurs reconnus pour leur esprit satirique - n'est pas forcément claire.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Cette comédie anti-politiquement correcte dézinguant la télévision commerciale a le charme de la contre-culture des années 1970. D'un autre côté, le film est aussi binaire que ce qu'il dénonce et un peu plombé par les discours moralisants du justicier.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Vraie catharsis, le film n'est pas le brûlot punk auquel il aimerait qu'on l'identifie (...) "God Bless America" apparaît davantage comme le rejeton de la sous-culture qu'il entend précisément dénoncer.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Mais ce rythme à la fois macabre, libérateur et amusant exige une écriture à la hauteur, sans répit, à jets continus. Or, le script ne tient pas le tempo, ne bat la mesure que sporadiquement.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le couple de justiciers, pris dans une spirale de violence, évoque alors l'équipée sauvage de "Tueurs-nés", d'Oliver Stone, en moins speed et en plus amusant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
[Contre] Sur ce pitch explosif, distillant à première vue une verve corrosive et malpolie, God Bless America rentre ensuite insidieusement dans le rang par le truchement d'un discours réactionnaire et schématique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
(...) si le massacre généralisé se révèle salvateur, si l'humour et la cruauté font mouche, l'ensemble s'étouffe vite dans son propre cynisme et ne fonctionne pas sur toute la durée.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Mais le spectacle énergiquement emballé de sa croisade cathartique finit, hélas, par tourner en rond, au point de recourir au plagiat pur et simple (allô, "Network" ?) pour enfoncer des portes déjà ouvertes depuis longtemps.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
La satire mordante et grand-guignolesque tourne court : "God Bless America" flingue à tout-va afin de faire oublier ses logorrhées sentencieuses et sa mise en scène flemmarde.
En résulte un film ni réellement dérangeant, ni vraiment drôle, et d'une laideur visuelle confondante. Parvenir à nous faire regretter "Chute libre" de l'inénarrable Joel Schumacher : il fallait le faire.
20 Minutes
On s'amuse comme des fous à la vision de ce brûlot détonant et déconnant réalisé avec un budget de misère.
Mad Movies
Si certaines séquences frôlent un doux manichéisme, "God Bless America" évite également la débandade finale en donnant, même dans ses ultimes minutes, dans un jusqu'au-boutisme rare.
Metro
Trash et jouissive, cette comédie indépendante américaine mise tout sur le politiquement incorrect et la provoc. Efficacité garantie !
Critikat.com
[Pour] Sans en avoir l'air, "God Bless America" fait donc office de signe des temps, comme Point limite zéro avant lui : en temps de crise, l'idéalisme et la probité se parent de couleurs inédites.
Ecran Large
La charge contre l'Amérique et son mode de vie (la télé réalité en tête) est aussi implacable que savoureuse. De la vraie bonne production indépendante qui n'oublie pas d'être aussi un vrai (bon) film de cinéma.
L'Express
On regrettera la première scène, d'une violence gratuite, ou, disons, "tarantinesque", mise en jambes aux antipodes de la suite, où le réalisateur aux critiques percutantes ne prêchera peut-être que des convaincus, mais drôlement brillamment.
Ouest France
(...) une croisade qui se garde bien de départager les bons des mauvais. Si tant est qu'ils existent. C'est terriblement dérangeant, comme du poil à gratter.
Paris Match
Malgré une mise en scène plutôt low cost et quelques faiblesses, cette comédie subversive parvient à remplir son contrat d'exutoire.
Charlie Hebdo
(...) si la croisade de Frank et de Roxy s'avère d'abord salutaire, à la manière d'un rêve de défoulement qui aurait vraiment lieu, elle finit par tourner un peu à vide.
CinemaTeaser
La dénonciation d'une civilisation déviante - bien que véhiculée par un réalisateur et des acteurs reconnus pour leur esprit satirique - n'est pas forcément claire.
L'Humanité
Cette comédie anti-politiquement correcte dézinguant la télévision commerciale a le charme de la contre-culture des années 1970. D'un autre côté, le film est aussi binaire que ce qu'il dénonce et un peu plombé par les discours moralisants du justicier.
La Croix
Sorte de Bonnie et Clyde parodiques, Frank et Roxy déchaînent une violence trop stylisée pour effrayer vraiment.
Le Journal du Dimanche
Cette odyssée sanglante totalement foutraque dénonce une société américaine qui perd les pédales. Subversif et jouissif.
Le Monde
Vraie catharsis, le film n'est pas le brûlot punk auquel il aimerait qu'on l'identifie (...) "God Bless America" apparaît davantage comme le rejeton de la sous-culture qu'il entend précisément dénoncer.
Libération
Mais ce rythme à la fois macabre, libérateur et amusant exige une écriture à la hauteur, sans répit, à jets continus. Or, le script ne tient pas le tempo, ne bat la mesure que sporadiquement.
Première
Un pamphlet gore qui explose beaucoup de cervelles mais aurait gagné, au final, à solliciter un peu plus celle des spectateurs.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné live
Télérama
Le couple de justiciers, pris dans une spirale de violence, évoque alors l'équipée sauvage de "Tueurs-nés", d'Oliver Stone, en moins speed et en plus amusant.
Critikat.com
[Contre] Sur ce pitch explosif, distillant à première vue une verve corrosive et malpolie, God Bless America rentre ensuite insidieusement dans le rang par le truchement d'un discours réactionnaire et schématique.
Positif
Il y a pourtant plus simple que les armes de poing, et Bobcat Goldthwait aurait pu y songer : c'est d'éteindre la télé.
TF1 News
(...) si le massacre généralisé se révèle salvateur, si l'humour et la cruauté font mouche, l'ensemble s'étouffe vite dans son propre cynisme et ne fonctionne pas sur toute la durée.
TéléCinéObs
Mais le spectacle énergiquement emballé de sa croisade cathartique finit, hélas, par tourner en rond, au point de recourir au plagiat pur et simple (allô, "Network" ?) pour enfoncer des portes déjà ouvertes depuis longtemps.
Les Fiches du Cinéma
La satire mordante et grand-guignolesque tourne court : "God Bless America" flingue à tout-va afin de faire oublier ses logorrhées sentencieuses et sa mise en scène flemmarde.
Les Inrockuptibles
En résulte un film ni réellement dérangeant, ni vraiment drôle, et d'une laideur visuelle confondante. Parvenir à nous faire regretter "Chute libre" de l'inénarrable Joel Schumacher : il fallait le faire.