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Votre avis sur Un Bonheur n'arrive jamais seul ?
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Excellente comédie romantique ou on ne s'ennuie pas une seconde.Je conseille
Caine78
Bon, bon : il faut reconnaître que James Huth a fait quelques progrès depuis « Brice de Nice » (une régression eut été très inquiétante!), sa volonté de renouer avec le charme des grandes comédies américaines étant louables. Encore faudrait-il s'en donner les moyens, car si certaines scènes et répliques prêtent à sourire (notamment grâce à un Maurice Barthélémy en meilleur ami pas toujours fiable), tout comme un côté « show » loin d'être déplaisant, cela reste quand même assez faible dans tous les compartiments, l'ensemble manquant singulièrement de saveur et s'oubliant extrêmement vite, loin de la saveur et du charme recherché, l'humour, sans être vraiment lourd, ne fonctionnant que rarement. Cela aurait encore pu passer si l'alchimie entre Sophie Marceau et Gad Elmaleh avait fonctionné, hélas : si celle-ci est irrésistible d'élégance et de beauté, son partenaire n'est clairement pas à la hauteur du projet. On a (vraiment) vu pire dans le genre (les références à « Casablanca » et le beau « Sunday King of Love » d'Etta James, ça fait toujours plaisir), l'entreprise ayant au moins le mérite d'avoir un peu d'ambition et de tenter des choses : très passable, à moins que les charmes de la belle Sophie (comment vous en vouloir?) ne soit trop forts pour que vous résistiez. Vous voilà toutefois prévenus.
Gad Elmaleh, Sophie Marceau, Maurice Barthélemy : avec un tel casting (malgré la présence de François Berléand et Macha Méril, aux filmographies assez éclectiques), on se doute bien que nous allons avoir affaire à une comédie populaire. Avec son couple principal plein de charme, James Huth réussit une comédie romantique assez plaisante souvent amusante
spoiler:
(les multiples accidents arrivant à Charlotte ou les mésaventures de Sacha avec les enfants ou le bricolage amènent souvent des rires)
. Mais le cinéaste ne s’arrête pas là et offre des moments de mise en scène intéressants (le travail de cadrage et de l’espace sur certains plans assez longs et souvent larges spoiler: ou le magnifique jeu sur les ombres dans le spectacle créé par Sacha et Laurent
) tout en rendant hommage aux films et réalisateurs qui l’ont inspiré (Casablanca, West side story, Chantons sous la pluie, Frank Capra…). Un bonheur n’arrive jamais seul n’est donc pas une œuvre cherchant à marquer l’Histoire du cinéma mais est, malgré tout, un film très agréable avec des personnages attachants qui arrive un peu à dépasser son statut de comédie romantique calibrée pour plaire au grand public.
. Mais le cinéaste ne s’arrête pas là et offre des moments de mise en scène intéressants (le travail de cadrage et de l’espace sur certains plans assez longs et souvent larges spoiler: ou le magnifique jeu sur les ombres dans le spectacle créé par Sacha et Laurent
) tout en rendant hommage aux films et réalisateurs qui l’ont inspiré (Casablanca, West side story, Chantons sous la pluie, Frank Capra…). Un bonheur n’arrive jamais seul n’est donc pas une œuvre cherchant à marquer l’Histoire du cinéma mais est, malgré tout, un film très agréable avec des personnages attachants qui arrive un peu à dépasser son statut de comédie romantique calibrée pour plaire au grand public.
GyzmoCA
James huth fait des films moyens et celui ci est dans la lignée. Les acteurs sont moyens ... J ai jamais trouvé que sophie marceau était une grande actrice. Elle a du mal à donner de l émotion .... Ça était dur de regarder jusqu a la fin .....
Une comédie romantique quelconque et hyper clichée qui s'appuie quasiment entièrement sur quelques pitreries de Gad Elmaleh et une intrigue sans grand sens.
gabdias
Malgré de grandes faiblesses notamment certains gags censés être burlesques et qui sont dispensables, une certaine alchimie sort de ce film où S.Marceau illumine l’écran et G.Elmaleh n’est pas inintéressant. Un film qui sait se faire aimé avec des artifices plutôt classiques mais qui s’engrènent bien ensemble.
Sympathique comédie romantique, très classique dans sa trame - et même légère au moment de conclure - qui bénéficie d'un casting pertinent, jusque dans des seconds rôles apportant tous leur pierre à l'édifice. La transposition du récit des Aristochats au travers du coup de foudre entre les personnages de Gad Elmaleh et de Sophie Marceau lui confère une plus-value, de même que les diverses références musicales. Agréable sans être renversant.
Jolie comédie romantique avec le bon mix de comédie et de romantisme. Des personnages que tout oppose succombent au coup de foudre, et on y croit ! Pour Sacha (Gad Elmaleh), la vie se déroule sans contraintes. Une soirée idéale se passe avec une bonne bouteille, son piano (dont il joue super bien) et une nana : "Le cul haut, pas de QI, l'équation parfaite pour une histoire sans lendemain." Pour Charlotte (Sophie Marceau), la vie se passe avec ses trois enfants dans les beaux quartiers, financée par l'argent de son mari (François Berléand) dont elle est séparée. Leur seul point commun : le film Casablanca. Serait-ce un hommage à la ville de naissance de l'acteur principal ? En tout cas, je le mets dans ma liste de films à voir. Les scènes d'amour alternent avec les scènes d'humour : "J'ai été trois fois champion d'Europe de peau douce." Les enfants adoptent ce nouvel homme dans la vie de leur mère et lui donnent un surnom : Sushi. Surnom qui là aussi résonne comme un clin d'œil à Chouchou. De même que le passage à New York semble comme une annonce de la carrière américaine de l'humoriste. Au milieu de ce joyeux capharnaüm, surgit une scène d'une intensité émotionnelle rare, tandis que Sacha explique à sa grand-mère juive que Charlotte (qui n'est pas juive) est la bonne, et qu'il va aller s'installer avec elle en banlieue : "Choisis bien ta banlieue, ne m'oblige pas à prendre un train qui part vers l'est." Larmes garanties. Une réussite !
Romance entre Gad Elmaleh et Sopie Marceau. Ce n'est pas totalement crédible et l'humour n'est pas brillantissime ni très recherché mais il y a de bonnes musiques et j'ai aimé les quelques tours de magie. Sans plus.
rafraichissant, plein de surprises, pétillant... une vraie surprise, les acteurs sont impeccables (petits comme grands), réalisation impeccable, histoire qui tient la route, vraiment excellent, à la fin, on en redemande...
vidalger
Sophie Marceau est toujours aussi jolie et reste la plus sexy des actrices françaises. Point final. Pour le reste, cette comédie romantique fabriquée pour les soirées familiales de TF1 avec les ingrédients supposés du succès commercial manque de surprise, d'originalité et de nerf. Le scénario ultraprévisible, les plans pépères du cinéma de papa, les dialogues niaiseux
nous font bailler dès les premières minutes. Il ne suffit pas de tapisser les murs d'affiches de films cultes, de coller une bande originale jazzy pour se hisser au niveau des Capra ou Minelli!
nous font bailler dès les premières minutes. Il ne suffit pas de tapisser les murs d'affiches de films cultes, de coller une bande originale jazzy pour se hisser au niveau des Capra ou Minelli!
Réalisateur aussi imparfait qu’inclassable, James Huth continue son petit bonhomme de chemin dans le cinéma français et réalise l’exploit rare de s’attaquer à un genre nouveau à chaque film… sans pour autant gommer les défauts de sa mise en scène et de sa direction d’acteur. Car, de la comédie pure ("Brice de Nice") au western ("Lucky Luke") en passant par le film horrifique pour ado ("Hellphone"), on retrouve toujours un ton original et une volonté de casser les codes mais également (mais surtout ?) ce rythme inégal, ces gags maladroits qui ratent leur cibles et ces acteurs laissés en roue libre. En s’attaquant au genre ultra-codifié de la comédie romantique, le réalisateur reste fidèle à ses habitudes. Ainsi, "Un bonheur n’arrive jamais seul" a beau nous surprendre par son ton atypique (une place prépondérante est accordée à l’humour avec des gags amusants bien qu’un peu "gros" par moments) et une certaine originalité dans le traitement des seconds rôles (le meilleur ami n’est pas forcément un gentil confident désintéressé, l’ex-mari tyrannique n’est pas un salaud fini…), il se vautre dans les poncifs les plus éculés du genre sans forcément jouer avec (l’humour pour amadouer les enfants, la BO too much, l’inévitable rupture sur un malentendu suivie d’une réconciliation enflammée…), donne dans le bobo parisien (les goûts artistiques du couple vedette, la fuite à Broadway tellement arty bling-bling…), souffre des habituelles baisses de rythme et autres maladresses inhérentes au réalisateur (les réactions épidermiques de Sacha face aux enfants, sa grand-mère malade…) et laisse de côté de nombreuses sous-intrigues pourtant prometteuses (les enfants de Charlotte sous-exploités, son premier mari très limité, la mère de Sacha évacuée en 2 scènes, le producteur québécois sans intérêt…). Plus grave, le film restera certainement comme "la comédie où Sophie Marceau n’arrête pas de se casser la gueule". Ce running gag, amusant au début puis rapidement lourdingue, reste très symptomatique de l’univers du réalisateur, souvent trop cartoonesque (on retiendraégalement les envolées de Sacha hors du lit ou les différentes destructions dont il est responsable). Malgré ses nombreux défauts, "Un bonheur n’arrive jamais seul" reste cependant tout à fait regardable notamment grâce à ses seconds rôles (François Berléand, Maurice Barthélémy, Michaël Abiteboule, Macha Méril, François Vincentelli, Jack Lang en caméo…). Et puis, le film ayant été clairement calibré pour ses deux stars (Gad Elmaleh en roue libre, qui confirme son statut d’acteur surévalué, et Sophie Marceau pétillante mais dont la volonté de casser son image est un peu trop visible), qui sont au centre de toutes les attentions du réalisateur (à coup de gros plans, de sourire au ralenti, de jeux de lumière…), les fans seront forcément ravis. Mais, ça aurait pu être tellement mieux.
Une pochade sentimentale décevante réalisée par l’auteur de Brice de Nice qui est loin de retrouver son niveau d’antan. Le scénario est vide : un homme et une femme que tout est censé séparer se rencontrent, tombent amoureux au premier regard, rencontrent une suite de petits ennuis bien compréhensibles, s’en extirpent d’une manière totalement invraisemblable et vont ainsi jusqu’au happy end inévitable… Sophie Marceau est toujours très belle et bonne comédienne et Gad Elmaleh lui donne une réplique plus qu’honorable… La personnalité et le jeu des acteurs sont bien le seul atout de ce film par ailleurs trop inconsistant et prévisible…
La mayonnaise ne prend pas . Dans la salle certains ont ri..mais franchement on ne s'emeut pas le moins du monde pour cette histoire d'amour entre Soplie et Gad . C'est plat .. Les enfants sont touchants ..ce sont les seuls ....Sophie marceau demeure très belle et le temps ne laisse aucune trace sur elle , Gad Elmaleh a toujours ses beaux yeu bleus ..mais bons , comme comédiens y a mieux .
Qu’ont en commun Brice de Nice, Hellphone, Lucky Lucke et Un bonheur n’arrive jamais seul ? La réponse est simple, ils ont tous été réalisés par James Huth. Ainsi, de par les antécédents plus que moyens du réalisateur, il était normal de craindre pour son dernier bébé. Allait-il aussi essuyer des critiques médiocres et s’enfoncer dans un box-office déjà tant dominé par les productions américaines à fort budget ? Fort heureusement, il y exception à la règle. A-t-il appris de ses erreurs passées ou a-t-il complètement changé son équipe de production ? Là n’est pas la question, à nous d’analyser cette comédie française, sortie sur les écrans courant juillet 2012, mettant en vedette le drôlissime Gad Elmaleh, qui commence à enchaîner les rôles outre-Atlantique (Tintin, Jack et Julie), ainsi que Sophie Marceau, dans un tandem que tout oppose mais que tout va réunir. L’histoire est très simple de premier abord, tout le scénario se base sur le coup de foudre. Notre cher humoriste, qui enchaîne les aventures d’un soir, tombe sous le charme de la belle, bien évidemment ex-femme de son patron, à travers une scène qui joue volontairement la carte du cliché, entendons par là regards qui se croisent sous une pluie diluvienne, premiers sourires, suivi d’un petit rayon de soleil. Un choix qui, si l’on réfléchit, s’avère plutôt bon, pour corroborer avec l’ambiance du film, tout en montrant que cette histoire ne peut que fonctionner, « comme dans les films ». L’humour, quant à lui, est très efficace puisqu’il occasionne de nombreux fous rires dans la salle, un peu en raison des mimiques elmaliennes, mais aussi pour ses gags, aussi inattendus que recherchés. Cependant, le titre, ce qu’il mentionne avant tout, c’est la présence de nos chers enfants. Le contact entre les acteurs passe bien, quelques plans sont tout à fait corrects, l’homme qui les détestait apprend à les apprécier pour finalement les aimer. Un changement de cap complexe mais bien retranscrit. Multipliant également les références cinématographiques (on ne compte plus les posters de Casablanca, de West Side Story ou de Chantons sous la pluie, ainsi que les clins d’œil à Alien ou à Jurassic Park), l’équipe s’amuse à parsemer son récit d’images tant agréables que savoureuses. Jusque là, le film semble parfait. Quelques tâches viendront toutefois polluer un scénario pourtant bien travaillé. Première, et non des moindres, le film est trop long. Plus de deux heures pour une petite comédie vite faite, bien emballée, ne se range très certainement pas du côté des points forts, de même que la longueur de certains plans, davantage soporifiques que dynamiques. Le personnage de François Berléand, élément perturbateur de tout un récit, se révèle froid, agaçant et sans intérêt. Rajoutons-y quelques blagues par-ci par-là, qui tombent à plat, et qui renforcent cette volonté de trop bien faire. En bref, cette production made in France nous fait passer un agréable moment, un bonheur [partagé qui] n’arrive [malheureusement] jamais seul…
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