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    Bellflower
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    3,7
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    157 critiques spectateurs

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    Jean-françois Passé
    Jean-françois Passé

    117 abonnés 231 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 avril 2012
    voilà un film qui dérange un peu , et perturbe, nous faisant lâcher avec nos repères spatiaux temporels quand ceux du héros , si on peut appeler le personnage principal ainsi , explosent suite à un accident de la circulation . Et tout s'enchaîne de manière dramatique jusqu'à la fin ou reviennent sur l'écran des instants romantiques du début ..un bel essai du réalisateur qui joue aussi le protagoniste .
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 avril 2012
    Pas de budget, pas de scénario, et pourtant le film est... bluffant. A condition d'apprécier l'ambiance pop 80's, et de ne pas être contre les ados attardés, on est complètement embarqués par cet univers à la fois jubilatoire, poétique, excessif. Les images sont peut être sur-stylisées, mais j'ai trouvé que ça rendait bien. Les acteurs amateurs sont parfaits. On est pas loin du chef d'oeuvre mais quelques flottements et excès dans le style méritent une étoile de moins. En tous cas ce jeune réalisateur a du talent à revendre, il est à surveiller.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 1 avril 2012
    très bon film. Original tant dans les feed back que dans l'utilisation d'une caméra de poing, pour montrer le rapport intime entre les protagonistes. histoire loufoque en apparence mais classique sur le fond : l'amour la haine la jalousie la camaraderie vision peu amène des USA . La violence traverse le sujet. Ca nous sort des super productions US.
    Fbienne D
    Fbienne D

    16 abonnés 95 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 avril 2012
    A part manger des crickets, boire de l'alcool en (très) grande quantité et faire l'amour avec le ou la partenaire de sa ou son meilleur(e) ami(e), ces jeunes là n'ont, semble-t-il, rien à faire. Ils sont plutôt borderline et mal à l'aise avec la violence qui les habitent. Leur héros reste Mad Max, son lance flammes et ses équipements rétro-futuristes. C'est ce que j'ai retenu de cet excellent film, qu'on dirait filmé avec un iphone, option pellicule vintage. Eh oui, excellent, car le ton est juste, le rythme tendu et les héros convaincants. Alors, c'est ça, la jeunesse d'aujourd'hui ?
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 1 avril 2012
    Bellflower, comme la banlieue de Los Angles où vivent nos deux héros, Woodrow et Aiden, membre du gang "Mother Medusa" et surtout fans de Mad Max et du seigneur Hummungus, qui passent leurs journées à se préparer à l'apocalypse et à la fin du monde en construisant et mettant au points des machines qui crachent le feu et notamment un lance-flamme "fait maison" qui fait toute leur fierté.
    La bande-annonce aura tenu toutes ses promesses pour ce film légèrement schartbé mais non dénué d'une certaine poésie et d'un esthétisme dont seuls les premiers films indépendants ont le secret.
    Car il s'agit bien là d'un premier coup d'essai plutôt réussi pour Evan Glodell qui aura joué, réalisé, scénarisé, produit et monté cette histoire de potes que notre jeune cinéaste aura pris soin de chapitrer comme un roman, avec son prologue, son épilogue et toutes les étapes Up & Down façon parcours initiatique bien qu'il n'en soit pas vraiment question ici.
    Malgré un rythme assez lent, Bellflower a quand même pas mal d'énergie à revendre et on se laisse prendre aisément dans ce délire qui part de manière plutôt potache pour dériver peu à peu dans le tragique : Evan Glodell parvient à créer son ambiance année 70-80 un peu mode Peace & Love et son mélange de romantisme et de violence n'est pas pour déplaire.
    Il y a du Drive ou du Blue Valentine dans ce film, mais en beaucoup plus trash, dans le mauvais sens du terme, une mise en scène plus saccadée et une photo beaucoup moins belle. On pourra en tout cas lui accorder une excellente bande-son, très pop et année 80 donc, signé Jonathan Keevil et Kevin MacLeod.
    On regrettera enfin une certaine décadence permanente pendant tout le film qui voit nos personnages se dégrader et anéantir toute la sympathie qu'on pouvait leur porter au début du film. Entre pétage de plombs et hallucinations en tout genre, l'histoire part en live et l'hystérie n'épargne personne.
    Si dans certains films, les protagonistes fument clopes sur clopes pour tenter d'atténuer leur anxiété, ici ce serait plutôt bières sur bières, du petit déjeuner au souper !
    Un résultat au final convaincant pour un budget ridicule de 17 000 $....réalisateur à suivre.
    La_Mort_Dans_L_Oeil
    La_Mort_Dans_L_Oeil

    28 abonnés 248 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 avril 2012
    sérieux, laissons la maturité aux abonnés de l'ennui... waouh... merci mec pour ton film qui m'a calciné la rétine et rayé les tympans. Tu as craché le feu direct dans mes bronches, tourné les boutons du thermostat au-delà du raisonnable, combustion instantanée... l'écran s'est enflammé comme deux ou trois cœurs, la pellicule s'est déformée, gondolée sous l'effet de la chaleur de l'incendie, tordu comme dans un rêve bizarre et alcoolisé, nos visions anamorphosées, hypostasiées, explosées, injectées à grandes rasades de mélanges instables à base de bière, whisky, kérosène, virée au Texas, séries B., trahison amoureuse ; tu as passé le romantisme au lance-flammes pour le flinguer, mais il passe, intact, au crible d'une amitié renversante de sincérité... coup de cœur... moi aussi c'est pour la vie... alors faisons un pacte de sang : ne nous décevons jamais ok ?
    Christoblog
    Christoblog

    825 abonnés 1 673 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 mars 2012
    Voilà bien le genre de film que j'ai aimé mais que je me garderais de conseiller à mes amis. Trop risqué.



    En résumé, deux pauv'gars dans le fin fond de l'Amérique, fans de Mad Max, rencontrant deux filles plutôt mignonnes, buvant, fabriquant des lance-flammes, des voitures hors-norme et globalement, glandant.



    Un premier film. Une image un peu cradingue et en même temps un STYLE. Une sorte de Blue Valentine trash.



    J'avais lu pas mal d'articles avant d'aller voir ce film, mais aucun ne m'avait préparé à ce qu'il est vraiment : une très belle histoire d'amour naissant (sous de mauvais auspices, mais avec une délicatesse quasi-printannière), dégénérant, se ramifiant, et explosant. Une sensibilité à fleur de peau, une urgence qui fait sonner le film comme un A bout de souffle wild west, des tics clippesques que certains trouveront horripilants, mais qui forment un véritable puzzle émotionnel, une interprétation du tonnerre, et tout l'enthousiasme d'un premier film - une sorte d'éjaculation cinématographique précoce.



    Le réalisateur joue le premier rôle, le film a couté 3 $ (ou à peine plus) et le tournage a duré 18 mois, Bellflower présente donc tous les attraits et tous les défauts du premier film si mérité. Le réalisateur veut y mettre toutes ses bonnes idées, et pondre le chef d'oeuvre ultime. Du coup, la fin du film qui aurait méritée d'être concise et cut, se perd en un salmigondis crypto-prophétique : c'est dommage.



    En tout cas , j'ai trouvé l'expérience étonnante et très intéressante. Je ne suis pas le seul, mais nous ne serons pas nombreux. D'autres critiques de films indé US sur Christoblog : http://www.christoblog.net/
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 31 mars 2012
    Pour son premier film, Evan Glodell écrit, réalise, produit et joue. Comme Welles ou Tarantino avant lui mais la comparaison s'arrête là. Ici, le résultat ressemble quand même méchamment à s'y méprendre à de la branlette... Au niveau de la forme, le rendu visuel du film est bien joli mais c'est vraiment de la frime. Même chose pour la BO, pourtant excellente. Et puis surtout, il y a de gros problèmes au niveau de l'écriture : le film est super bavard, avec des dialogues souvent creux qui n'apportent absolument rien aux personnages ou au développement d'une quelconque intrigue et avec un vocabulaire sacrément limité (dude, cool, sweet, awesome... répétés au moins 350 fois). Dommage, Glodell avait plutôt pas mal réussi à planter le décor de l'amour naissant et assez déjanté entre Woodrow (Evan Glodell himself) et Milly (Jessie Wiseman) dans la première partie (même si on s'emmerde un peu) mais, une fois cet amour brisé en mille morceaux, il laisse volontairement planer le doute sur la véracité de ce qu'on voit à l'écran (les évènements montrés à partir de l'accident de Woodrow sont-ils réels ou complètement fantasmés ?), comme s'il ne voulait pas aller au bout de ses idées ou, pire, comme s'il n'en avait aucune. Là où il séduit, par contre, c'est dans la description de ces deux amis, Woodrow et Aiden (Tyler Dawson), qui vivent à fond dans leur univers ludique, faisant abstraction des contingences de la vie matérielle (mais comment financent-ils tous leurs trucs ?) mais se heurtant de plein fouet aux dures réalités de la vie amoureuse. Voilà, "Bellflower" est plutôt raté et c'est con parce qu'il y a assez de folie et de références sympas dans le projet ("Mad Max 2", of course) pour qu'on ait envie d'accompagner l'auteur et ses potes dans leur délire. Allez, on va dire que Glodell mérite une nouvelle chance. Sur un second film plus affirmé ou peut-être même encore sur celui-ci, à redécouvrir en DVD. Qui sait, ça peut devenir culte...
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 30 mars 2012
    Choc visuel et cinématographique, BELLFLOWER a de quoi rendre schizophrène les plus sensible! Au départ le film à des airs de film d'amour mais qui à la fini par glacé le sang... A l'image de la Medusa, ce bijou du cinéma indépendant américain est tout juste démentiel; A Voir absolument
    Archibald T.
    Archibald T.

    19 abonnés 209 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 30 mars 2012
    L'image caractéristique de la fotopovera (lomography avec couleurs saturées) ne suffit pas à sauver un film si pauvre en dialogues.

    On s'ennuie terriblement ici.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 29 mars 2012
    Le cinéma indépendant américain est plein de surprises. Quand elles ne sont pas toujours bonnes (le trop calibré Made In Sundance), elles peuvent s’avérer parfois franchement excitantes. Bellflower fait partie de cette dernière catégorie. Le postulat scénaristique de départ est simple. Deux amis essaient de construire une voiture futuriste et inquiétante, la Medusa. L’un d’eux va pourtant nouer une relation amoureuse qui va déclencher toutes une série de conséquences. Derrière ce récit, le métrage va surtout pousser une logique d’apocalypse jusque dans ses derniers retranchements. Elle innerve, en effet, le film sous des conjugaisons diverses donnant un cachet radical au projet.
    La suite est ici : http://critiqueconnection.wordpress.com/2012/03/29/bellflower/
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 28 mars 2012
    vraiment nul de bout en bout, ennuyeux et sans intérêt, c'est la première fois que je mets 0.5 étoile a un film c'est dire a quel point il est nul car je suis vraiment bon public.
    une véritable arnaque!
    ouadou
    ouadou

    83 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 27 mars 2012
    S'achetant une étiquette culte sans aucune raison, ce film n'est qu'un petit film vidéo mal fichu, très pompier, bien lourdingue. Avec des références qui l'étouffent, des acteurs sui surjouent, des plans mille fois vus et revus. C'est sans intérêt. C'est du très très mauvais cliché de Arty sundance mal digéré et mal fichu avec un montage "pseudo" déstructuré qui tente de combler le scénario.
    ffred
    ffred

    1 692 abonnés 4 014 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 mars 2012
    Voilà un film qui ne laisse pas indifférent. On en sort d’abord un peu perplexe. Hésitant entre grosse daube ou chef d'oeuvre. On ira pas jusque là mais le fait est que plusieurs jours après il fait encore son effet et que j'y pense encore. Financé avec des bouts de ficelle (ça se voit à l'écran), ce premier film est le bébé d'un jeune homme qui a la foi : Evan Glodell tient les postes de réalisateur, scénariste, producteur, monteur et le rôle principal. On est jamais aussi bien servi que par soi-même. Visuellement on se demande s'il n'en fait pas parfois trop. Entre l'objectif tâché, le point qui ne se fait pas, le flou, les ralentis, les accéléres...l'exercice de style pourrait tourner à l'écoeurement mais on finit par s'y faire. Cela donne finalement son identité propre au film. Le scénario est très intrigant. Ca commence plutôt doucement, aux limites de l'ennui mais l'histoire monte en puissance avec le début de l'histoire d'amour. Cela part alors complètement en vrille...
    La suite sur : http://lecinedefred2.over-blog.fr/article-bellflower-102339381.html
    beautifulfreak
    beautifulfreak

    109 abonnés 343 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 mars 2012
    J'étais curieux de voir cet "OFNI" (objet filmique non identifié) décrit comme "une bombe!" par la critique et dont l'affiche titille nos fantasmes cinéphiles. D'un point de vue formel c'est une réussite, le réal se sert de son budget limité (17 000 dollars) et de son scénario minimaliste pour livrer une romance pré-apocalyptique (le préfixe me semble judicieux car si le film fait référence à Mad Max, nous ne sommes pas pour autant dans un monde dévasté. Ou alors c'est une dévastation sentimentale) singulière, l'image est jaune sale (il y a même du sable sur l'objectif) et l'atmosphère semble toxique mais dans le fond c'est assez limité, je ne dirais pas que c'est creux mais ça tourne un peu en rond et il y a beaucoup de remplissage. Un tel concept, c'est trop peu pour un long métrage. Alors pour combler les vides narratifs, le film prend des poses de ciné indépendant qui se veut culte. Nous sommes dans le flou artistique, tant dans l'image (la caméra est bricolée comme la voiture des protagonistes) que dans l'esprit. A part le réalisateur, y a t-il un pilote dans la bagnole?
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