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    Bellflower
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    3,7
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    157 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 24 mars 2012
    « Bellflower », ou un énième film Sundance prisé par certains amateurs de cinéma indépendant, mais qui s’avère malheureusement médiocre malgré une ambition et un talent certains. Un petit peu comme le récent « Martha Marcy May Marlene » : les deux films ont d’ailleurs en commun une tension et une nervosité de plus en plus fortes au fur et à mesure que leurs personnages s’enfoncent dans leur délire respectif. Malheureusement, Evan Glodell (scénariste, réalisateur, acteur, monteur et producteur du film) cherche à chaque plan à faire grossièrement ses preuves, nous vendant constamment son savoir-faire et son audace. Forcément sombre et violent, mais à l’esthétique forcément cool et faussement sale, accompagné d’une B.O comme on en a déjà entendu des dizaines dans ce genre de films, « Bellflower » tente de surprendre, de proposer quelque chose de nouveau, mais n’arrive qu’à recycler des éléments pas toujours fameux (avec des personnages principaux fans de « Mad Max », il fallait se méfier). Evan Glodell laisse la fin de son film ouverte, laissant en suspens, dans un final horrifique franchement insupportable de surenchère dépressive, les éternelles questions de l’amour et de l’amitié. Tout ça pour ça.
    lionelb30
    lionelb30

    446 abonnés 2 604 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 avril 2012
    Film assez marquant avec une histoire, des images et des comediens atypique mais au bout du compte pas trop credible , assez confus a la fin et sans reel interet.
    zhurricane
    zhurricane

    84 abonnés 1 336 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 décembre 2012
    Tient en ce moment je suis habitué à voir des films dont le fond est ennuyant, mais la forme prodigieuse. C'était le cas avec Take Shelter, ça l'est aussi avec ce Bellflower. En effet qu'est ce qu'on s'ennuie, il se passe rien de bien folichon. La mise en scène et la BO sont d'une beauté irréelle, mais cela ne suffis pas pour faire un bon film. Et comme pour Take Shelter, le réalisateur à du talent et est à suivre. Bref au final ce film est juste beaucoup plus ambitieux que Take Shelter, mais sa reste indigeste.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 avril 2012
    Petit budget, mais grand film. Les 25 dernières minutes sont les plus belles que le cinéma ait connu.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 2 septembre 2012
    Wooh ! Quelle claque visuelle, quelle musique, quel scénario. Ça commence par un film de geek, avec une histoire d'amour un peu déjanté, et ça finit en apocalypse. Très beau film Indé, à la photographie magnifique, aux acteurs de qualité, et au scénario bien ficelé. Juste un bémol, les dialogues sont un peu pauvre, il manque quelque chose, un peu de belle réplique sur la vie, et la société, un peu de Tarantino ! La il y a surtout des "fuck","like", "you know", de l'américan bullshit quoi.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 4 avril 2012
    [...] Sous les arcades métalliques de la machine hurlante, à l'oubli mérité de la chaleur insistante qu'il ne faut pas comprendre, réside la trahison de ta minuscule promesse, feux lointains, mèches éteintes où se meurent les amours qui n'ont pas débutés. Tu jouis de soubresauts lubriques avec cet homme, sale énergumène méphitique à la conformité attristante ; comme la toute nouvelle putain de la rue d'en face, tu te courbes à la jouissance de vos ébats et fais de moi le point noir à l'horizon cassé par la lumière. Je ne crois qu'en l'obscurité à présent […]
    gemini-hell
    gemini-hell

    26 abonnés 395 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 mars 2012
    « Bellflower » possède certainement l’habillage parfait pour se placer dans la catégorie du film d’auteur indépendant et branché : images volontairement trash aux couleurs saturées, illustration musicale très tendance (et excellente sélection par ailleurs), du sang, de la sueur, de la mécanique et des flammes. L’œuvre souffre néanmoins d’un scénario assez conventionnel (une histoire de potes une histoire de fesses sur fond d’hypothétique fin du monde), faiblesse renforcée par une galerie de personnages peu ambitieux, puérils et dont on peut légitimement se demander de quoi ils vivent. Intéressant mais bancal, ce premier film de Evan Glodell nous révèle cependant une jeune actrice qui a beaucoup de présence et de caractère : Jessie Wiseman.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 7 avril 2012
    1er film très bien ficelé, prenant le parti de faire réfléchir le spectateur sur ce qui est la réalité et ce qui est fantasmé.
    Atmosphère romantico-apocalyptique accrocheuse jusqu'au terme de ce film
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 31 mars 2012
    Pour son premier film, Evan Glodell écrit, réalise, produit et joue. Comme Welles ou Tarantino avant lui mais la comparaison s'arrête là. Ici, le résultat ressemble quand même méchamment à s'y méprendre à de la branlette... Au niveau de la forme, le rendu visuel du film est bien joli mais c'est vraiment de la frime. Même chose pour la BO, pourtant excellente. Et puis surtout, il y a de gros problèmes au niveau de l'écriture : le film est super bavard, avec des dialogues souvent creux qui n'apportent absolument rien aux personnages ou au développement d'une quelconque intrigue et avec un vocabulaire sacrément limité (dude, cool, sweet, awesome... répétés au moins 350 fois). Dommage, Glodell avait plutôt pas mal réussi à planter le décor de l'amour naissant et assez déjanté entre Woodrow (Evan Glodell himself) et Milly (Jessie Wiseman) dans la première partie (même si on s'emmerde un peu) mais, une fois cet amour brisé en mille morceaux, il laisse volontairement planer le doute sur la véracité de ce qu'on voit à l'écran (les évènements montrés à partir de l'accident de Woodrow sont-ils réels ou complètement fantasmés ?), comme s'il ne voulait pas aller au bout de ses idées ou, pire, comme s'il n'en avait aucune. Là où il séduit, par contre, c'est dans la description de ces deux amis, Woodrow et Aiden (Tyler Dawson), qui vivent à fond dans leur univers ludique, faisant abstraction des contingences de la vie matérielle (mais comment financent-ils tous leurs trucs ?) mais se heurtant de plein fouet aux dures réalités de la vie amoureuse. Voilà, "Bellflower" est plutôt raté et c'est con parce qu'il y a assez de folie et de références sympas dans le projet ("Mad Max 2", of course) pour qu'on ait envie d'accompagner l'auteur et ses potes dans leur délire. Allez, on va dire que Glodell mérite une nouvelle chance. Sur un second film plus affirmé ou peut-être même encore sur celui-ci, à redécouvrir en DVD. Qui sait, ça peut devenir culte...
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 24 novembre 2012
    Un très bon premier film pour Evan Glodell avec en plus un minimum de budget. Un univers assez fou pour ces jeunes qui n'ont visiblement plus d'espoir en la société actuelle (américaine). Quelques petites longueurs très largement effacées par l'action finale plutôt crash. Avec du recul le scénario prend vraiment de la dimension. On regrette un peu le côté "il faut que ce film devienne culte" qui je pense, freine un parfois la folie de certaines scènes.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 23 mars 2012
    On pourrait qualifier "Bellflower" de film fou, un vrai long-métrage aussi ingénieux que original. Pour sa première réalisation, Evan Glodell met le feu et pas uniquement avec sa voiture Medusa tout droit sortie de "Mad Max 2" ou son lance flamme, mais aussi dans nos rétines et nos neurones tant le scénario se révèle être à la fois merveilleux, mature et horrifique. Qualifié de film sentimental pre-apocalyptique, la vraie apocalypse a bel et bien lieu, dans l'esprit torturé de Woodrow, jeune homme quelque peu timide et dépressif depuis que sa belle lui a fait un coup de p*te. La première partie du récit retranscrit une histoire d'amour, belle, trop belle à vrai dire mais c'est pour mieux contraster avec la seconde partie ou l'ensemble flirte avec le film d'horreur. "Bellflower" s'amuse à mélanger les genres et à jouer sans cesse avec le spectateur pour qu'au final, il n'y qu'une règle: c'est le spectateur qui décide des actes de Woodrow et de ses amis. Ces différents niveaux de lecture donnent un aspect extrêmement profond sur une histoire pourtant basique qui, traitée autrement, n'aurait pas eu la même intensité que ce qu'à fait Glodell. Un aspect très intéressant du film correspond à l'imaginaire des deux amis Woodrow et Aiden, nourris par les scènes épiques et le goût de l'apocalypse de "Mad Max 2", et en particulier pour le grand méchant du second opus de George Miller, le seigneur Humungous, colosse masqué qui fait régner la terreur sur les terres du Wasteland. Les compères, persuadés que l'apocalypse est imminente, travaillent jour et nuit sur la fabrication d'un lance-flamme ainsi que sur la création d'une voiture capable de cracher des flammes. Le fait que ces éternels adolescents, ancrés dans l'innocence et le manque de responsabilités de leur vie, soient ratrapés par la triste réalité donne un aspect dramatique intense pour au final poser plus de questions que de donner des réponses, le spectateur décidant lui-même si les évenements perpétués sont réels ou se passent dans l'esprit de Woodrow.
    Une qualité à souligner est le faible budget avec lequel Glodell a tourné son film. 17 000 dollars environ, ce qui prouve que même avec un faible budget, tant que la créativité et les idées sont de mise, la capacité de faire une petite pépite de cinéma est là, "Bellflower" en est la preuve. La passion pour le septième art d'Evan Glodell se ressent d'ailleurs durant le film, l'acteur citant, évidemment, "Mad Max 2" mais on peut retrouver aussi des inspirations autres comme Hitchcock dans la manière à faire durer le suspense lors des dernières minutes et encore David Lynch ou Fincher dans la gestion du réel/illusion.
    Les effets de caméra (soulignons que Glodell a crée lui même les caméras!) donnant un aspect vintage, aux couleurs chaudes saturées et à un esprit complètement apocalyptique, reste aussi un facteur important quant à l'ambiance du film.
    Pour un premier long-métrage, "Bellflower" est une grande réussite, un exercice de style maîtrisé et passionant. Un vrai film d'amour dédié au septième art!
    NewBoorn
    NewBoorn

    61 abonnés 576 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 avril 2012
    Ce premier film au budget incroyablement petit est une véritable petite bombe, aussi imparfaite soit-elle. L'acteur réalisateur tente par tous les moyens de rendre son film culte, façon "Drive", mais se loupe un peu dans la finition. Mais il faut se rendre à l'évidence, j'ai adoré cette réalisation, très classe, qui a son propre style ( citons comme exemple l'image un peu flou qui finalement devient une qualité, cette ambiance d'apocalypse qui plane, les incroyables défouloirs des deux compères où l'on en prend pleins les mirettes... ). Un nouveau visionnage m'enchanterait vraiment, et vivement le prochain film !
    Jean-françois Passé
    Jean-françois Passé

    122 abonnés 231 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 avril 2012
    voilà un film qui dérange un peu , et perturbe, nous faisant lâcher avec nos repères spatiaux temporels quand ceux du héros , si on peut appeler le personnage principal ainsi , explosent suite à un accident de la circulation . Et tout s'enchaîne de manière dramatique jusqu'à la fin ou reviennent sur l'écran des instants romantiques du début ..un bel essai du réalisateur qui joue aussi le protagoniste .
    beautifulfreak
    beautifulfreak

    114 abonnés 343 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 mars 2012
    J'étais curieux de voir cet "OFNI" (objet filmique non identifié) décrit comme "une bombe!" par la critique et dont l'affiche titille nos fantasmes cinéphiles. D'un point de vue formel c'est une réussite, le réal se sert de son budget limité (17 000 dollars) et de son scénario minimaliste pour livrer une romance pré-apocalyptique (le préfixe me semble judicieux car si le film fait référence à Mad Max, nous ne sommes pas pour autant dans un monde dévasté. Ou alors c'est une dévastation sentimentale) singulière, l'image est jaune sale (il y a même du sable sur l'objectif) et l'atmosphère semble toxique mais dans le fond c'est assez limité, je ne dirais pas que c'est creux mais ça tourne un peu en rond et il y a beaucoup de remplissage. Un tel concept, c'est trop peu pour un long métrage. Alors pour combler les vides narratifs, le film prend des poses de ciné indépendant qui se veut culte. Nous sommes dans le flou artistique, tant dans l'image (la caméra est bricolée comme la voiture des protagonistes) que dans l'esprit. A part le réalisateur, y a t-il un pilote dans la bagnole?
    Aaaarrrrrgh
    Aaaarrrrrgh

    22 abonnés 180 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 février 2018
    Voila un film indépendant qui en a sous le capot ! A la fois producteur, scénariste, réalisateur et acteur, Evan Glodell visiblement polyvalent ( et sans doute un peu perturbé ), est parvenu à retranscrire l'amour, la passion, la haine et la folie avec une maîtrise exemplaire. Doté d'une BO envoûtante et d'une ambiance post apocalyptique du même acabit, Bellflower se paie en plus le luxe de ne pas ou peu traîner en longueur.
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