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Un visiteur
1,0
Publiée le 30 août 2013
J'aime bien tous ces films un petit peu triste, ou l'on pleure... Film qui parle de maladie, de joie, .. C'est un scénario qui semble plutôt intéressant , de mêler deux sentiments bien différents ! Et bien non ! Il n'y a pas vraiment de scénario, l'histoire tourne en rond... J'était prête à m'arrêter au bout de 30 minutes mais j'ai tous de même continuer jusqu'à la fin au cas ou.. En effet à la fin les choses bouge un peu, mais une fin bien sur trop évidente , on s'en doute déjà ! J'admet que certains passages de ce film sont tous de même émouvant.. . Je pourrais quand même rajouter que les acteurs sont sans doute choisis par leur statut social , ils ne sont pas si mauvais , mais un petit peu bizarre de voir Carole Bouquet dans le rôle d'une toxico , à l'accent bourgeois ! Un côté un peu trop "bobo" et des scènes inutiles .. Trop de clicher , un scénario inexistant .. Il est inutile pour vous de regarder ce film l'histoire n'est rien de plus que ce qu'il y a de marquer dans le résumé, vous avez lu le résumé ? Et bien voila rien de plus à rajouter. La maladie n'est pas correctement exploité, une fin trop évidente ! Ce n'est que mon avis ..
J'aurais pu être intéressé par l'histoire mais le traitement à base de déambulations, plans fixes, retours arrière, dialogues bilingues et musiques dissonantes me laisse incroyablement perplexe. Seule Carole Bouquet sauve un peu tout cela. Vraiment pas touché, mauvais film.
Lors d'une interview accordée à Justine Lévy et son compagnon - réalisateur du film - Patrick Mille, une question a été posée. Je cite : "un film fait par le compagnon de Justine Lévy elle même fille de Bhl, film produit par le fils de Carole Bouquet qui elle même joue le rôle de la mère et enfin film interprété par Izia Higelin, fille de Jacques. Ne pensez vous pas qu'on vous le reproche ? Patrcik Mille a répondu, je cite : "on ne dit pas à un charcutier de père en fils que lui aussi il est charcutier et que c'est un peu facile ...." Justine Lévy a dit "comprendre mais qu'elle n'allait pas s'empêcher d'écrire parce que c'était la fille de". Très bien. C'est fort intéressant d'entendre les artistes en interview, ils disent des énormités souvent. C'est bien pour cela que grâce à papa maman, ils ne sont pas obligés de pousser trop loin le cursus d'études parce papa maman seront là pour leur ouvrir les portes. Toutes les portes. Je souhaite rebondir sur les deux réponses tout de même. Justine Lévy écrit des choses si futiles que je trouve l'idée même de faire un film, très risquée. Son livre étant d'un ennui mortel, il me semblait complexe de le voir en images. C'est fait ! "merci" chéri on dit ! Quant à l'histoire du charcutier, cela demande un vrai travail, une vraie maîtrise. Devenir charcutier c'est aussi avoir un commerce, le tenir, des horaires difficiles, connaître ce que l'on sert, prépare. Vivre en décalé (sans sniffer contrairement au ciné !). On ne dit pas à un fils de charcutier qui a décidé de suivre le même chemin que son père, que c'est un peu facile. Non car ça ne l'est pas. DU TOUT. Facile. Et évidemment on gagne moins d'argent. Ce qui est d'ailleurs injuste car la somme de travail le mérite amplement. En revanche, faire du cinéma c'est facile et en plus quand on a pas envie de bosser à l'école c'est un choix qui peut s'offrir à vous puisque nous apprenons quand même régulièrement que beaucoup d'acteurs ont arrêté les cours avant le BAC. Et quand papa et maman sont dans le gratin si familial du cinéma, depuis des années, c'est simple de tremper ses lèvres pour ensuite y poser ses pieds. Donc jouer, si le ralisateur dirige bien ses acteurs, ce n'est pas dur. Editer chez Stock son premier roman demande de toute façon un piston. D'autant plus que les premiers romans de Justine Lévy ne sont pas des pièces incontournables de la littérature, loin de là. Tout comme ne l'était pas "mauvaise fille" Izia Higelin, insupportable chanteuse carburant à la coke au minima, se retrouve donc dans un film. Peut-être pas grâce à son papa mais elle permettra aux ados délurés qui écoutent ses disques criards de remplir les sièges des cinémas. Izia est d'ailleurs la preuve même qu'il est tout à fait possible de faire quelque chose de sa vie sans bosser à l'école. Elle le dit elle même qu'elle était mauvaise. Et papounet, évidemment, par hasard comme Lou Doilon et Daho, a entendu sa fille chanter et paf! un album de signé. Quand on connait un peu les misères actuelles de l'industrie du disque, ça laisse rêveur. Bref ! Carole Bouquet est mourante. Bob Geldof s'exprime mal. Izia est plutôt bien (comme quoi il vaut peut être mieux qu'elle fasse du cinéma) mais celui qui assure le mieux s'appelle Arthur Dupont. Fis de ? ah. Je ne sais pas. Mais il est bon. Bon garçon !
Une mère des années 70 élève (peu) sa fille. Quelques années plus tard, la fillette devenue adulte s'occupe (beaucoup) de sa mère atteinte d'un cancer. Elle tombe enceinte alors que l'état de sa mère s'aggrave. Soit. Mais "Mauvaise fille" n'a ni le comique d'Absolute Fabulous" ni la grâce mélancolique et légèrement burlesque de "Copacabana". Certes Izia Higelin a du talent, certes Bob Geldof est attachant en rock star vieillissante, certes, il y a parfois de la justesse dans cette peinture et quelques scènes réussies de complicité entre les deux femmes, l'une malade mais qui a le courage du pied de nez, l'autre qui fait ce qu'elle peut... Mais "Mauvaise fille" devient très vite agaçant par cette peinture d'un monde où tout le monde est artiste (je suis écrivain, tu es acteur, il est rock star, elle est... tout simplement so arty!) et vit d'amour et d'eau fraîche entre une escapade à Arles, une autre au bord de la mer, car c'est tellement chouette au fond la liberté ! Et le bâts blesse d'autant plus douloureusement que tout cela est mis en scène avec une grande sagesse, et beaucoup de platitude, ce qui fait que cette fameuse liberté apparaît furieusement encadrée...
Rien, il n'y a rien à part des "filles de..." et des "fils de ....". (il ne manque que nicolas bedos). Une absence se fait également remarquée : celle d'un scénario !
Une belle histoire mais très mal racontée et assez mal jouée. Moi qui pleure ou rit à la 1ère émotion, je n'ai rien ressenti, pas une larme même au moment de la mort. Personne n'a remarqué que Carole Bouquet respire alors qu'elle est sensée être morte?
Film sans intérêt qui ne donne pas envie de lire le livre. Une Carole Bouquet pareille à elle même une réalisation moyenne, le film nous montre encore une fois une jeunesse pathétique, désoeuvrée ayant besoin de ses parents, une jeunesse sans cesse bourrée bref une caricature.
Non, ça ne marche pas. C'est censé être frais, joyeux, touchant. Mais ça traine, ça hysterise, ça pleurniche... Désolé pour Izia Higelin mais elle n'est pas crédible. Pas plus, pas moins que Carole Bouquet et le pauvre Bob Geldorf... Tout ça donne un cinéma de bobos pour les bobos et c'est gonflant...
Une illustration magnifique de la génocratie ambiante. Une affiche taillée pour les médias (qui lui a bien rendu) pour un film hélas qui ne laisse aucune trace.
Quelle déception ! Voilà un film sans émotion avec des acteurs qui n'ont rien donné d'eux-mêmes, le personnage de Louise est mal joué.....et on comprend mal le César du meilleur espoir féminin ??? Là franchement les bras m'en tombent !
Mauvaise fille n'a qu'une chose de juste : c'est mauvais. Des longueurs, des scènes morbides qui n'apportent rien. Seul le père est touchant; mais le sujet du père culpabilisé qui compense : du déjà vu et en bien meilleur! Bref, passez votre chemin!