Derniers Avis : Deepwater - Page 13

Ayant des connaissances travaillant sur des plateformes pétrolières, c'était forcément un film que je voulais voir d'autant que les premières critiques étaient plutôt élogieuses. Et je dois dire que je n'ai pas été déçu : très réaliste (puisque s'appuyant sur les faits réels), le film retrace la plus grave catastrophe pétrolière que les Etats-Unis aient connue a ce jour et outre le fait d'avoir pris le temps d'installer les protagonistes, il montre bien les causes qui ont mené au désastre (sous traitance, rabotage des coûts, prises de risque aléatoires etc ...). Un film instructif et très spectaculaire ...

Bon film. Le fait que les faits se sont réalisés donne plus d'intensité au film. K.Russel à pris quelques rides mais est toujours un aussi bon acteur. De l'émotion avec de l'action.

Un bon film catastrophe mené habilement par le cinéaste Peter Berg !! "Deepwater" est inspiré de faits réels mené en trois étapes, l'avant, le pendant et l'après incendie sur la plateforme pétrolière "Deepwater Company". L'avant est raconté de façon documenté sur les techniques de travail de la plateforme et la présentation des personnages, dont celui de Mark Wahlberg marié et papa, qui travaille dans une équipe sympathique et soudée. Des divergences sur les fonctionnements entre deux responsables joués par Kurt Russell et John Malkovich en désaccords va prendre des risques jusqu'à l'inattendue fuite qui va crée plusieurs explosions sur la plateforme. Ce long métrage prend une dimension angoissante et nous, les spectateurs, on se demande comment ils vont s'en sortir. Peter Berg persiste qu'il est l'un des réalisateurs a suivre que ce soit dans les films de commandes ou l'humanitaires et marque sa deuxième collaboration avec son acteur principal et producteur Mark Wahlberg après l'excellent "Du sang et des larmes". Certes, les explosions sont un peu tirès par les cheveux niveau effets spéciaux mais rien dans l'histoire est artificiel, les personnages sont humains et vraie. Le casting est bon, je le recommande.

Mon avis en quelques mots: 
Film catastrophe mineur, à la limite de la décence.

Décence ou indécence? catastrophe ou pas? réalité fictive ou fiction réelle? Deepwater ne trouve finalement pas vraiment sa place dans une case toute faite, et de fait, ne convainc jamais en totalité. Jouant entre l'humain et l'héroïsme, on ne parvient pas à définir si la réalité est retranscrite avec justesse dans cette adaptation de la catastrophe de la plateforme pétrolière BP en 2010, qui aura couté la vie à 11 ouvriers et causé la plus grosse marée noire et catastrophe écologique de l'histoire des Etats-Unis.

Critique complète sur mon blog au lien suivant:

pas mal pas plus
un moment de distraction sans que l on nous donne une leçon pour une fois afin de digérer sans amertume les pop corns traditionnels

Généralement les films catastrophes sont riches en effets spéciaux mais avec un scénario et une logique pauvre.
Deepwater ne suit pas cette série car il est basé sur sur une histoire vraie. Il peut être considéré comme un film retraçant des faits réels (des explications sur l'extraction du pétrole), des conflits (humains et financiers) pour expliquer la marée noir et l'explosion de la plate forme pétrolière.

un bon film de catastrophe qui peut paraître long au début par son manque d'action mais qui se révèle intéressant de part son histoire (vrai) qui change des autres films de catastrophes.

Franche déception pour ce film catastrophe avec un mark whalberg meme empâté . J'ai trouvé le film Ni prenant , Ni impressionnant . Le rythme est mou et quand la catastrophe arrive on n'en prend pas pleins les yeux bref à oublier

Très bon film malgré quelques scènes avec des plans ou nous voyons les caméras mais sinon très bon film ! 😉😉

Le film s'inspire de faits réels mais il n'en est pas moins qu'un film d'action made in Hollywood dans lequel les valeurs américaines sont exacerbées et où les bons sentiments dégoulinent. C'est d'autant plus dommage que le film n'aborde que la partie de l'affaire se déroulant sur la plateforme en pointant du doigt uniquement BP comme unique responsable des événements; il aurait été intéressant de mettre en lumière ce qui a conduit initialement à une telle catastrophe dans laquelle le gouvernement américain a une lourde responsabilité. En somme, ca se regarde car divertissant, mais on apprend pas grand chose sur ce qui a été une des plus grandes catastrophes écologiques.

Après "Du sang et des larmes" et avant "Patriot's Day", P. Berg et M. Wahlberg poursuivent leur trilogie sur des histoires vraies récentes et dressent en creux le portrait d'une Amérique fragile mais forte à travers ses individualités. Ce récit des causes de la plus grosse marée noire de l'histoire des USA et véritable désastre écologique ne s'appesantit pas sur les conséquences ou les raisons profondes et on peut le lui reprocher. Sauf que Berg assume ce point de départ et préfère pointer du doigt (parfois de façon un peu trop véhémente) les redoutables costards-cravate de BP à l'origine des différentes failles ayant conduit certains hommes à prendre les mauvaises décisions, au nom du profit. C'est un peu facile certes mais néanmoins vrai dans la vie de tous les jours. Berg décide donc de remettre l'humain au centre de tout et dresse le portrait d'hommes (et de femmes) valeureux, qui ont survécu en dépit de l'enfer qui s'et littéralement déchaîné autour d'eux. Il nous immerge aussi dans ce monde proprement hallucinant (les moyens déployés pour l'exploitation d'une raffinerie offshore sont colossaux), détaillant le plus possible les relations entre les persos mais aussi le contexte de cette journée... noire. Les acteurs sont très impliqués et Berg signe quelques morceaux de bravoure ahurissants, ultra-spectaculaires mais toujours à hauteur d'homme. Des hommes que l'on sent souvent dépassés face à l'ampleur d'une telle catastrophe. Un film puissant, grave et très documenté, parfois un peu trop démonstratif mais qui se révèle nécessaire et assez digne dans son hommage aux victimes. D'autres critiques sur

Revenons au mois d’avril 2010, à 400 kms des côtes américaines, dans le Golfe du Mexique, pour suivre la plus effroyable catastrophe pétrolière que les Etats-Unis aient connue à ce jour. Parce que "Deepwater" s’appuie sur l’histoire vraie de la plate-forme de forage semi-submersible à positionnement dynamique nommée Deepwater Horizon. Pour avoir plus de renseignements techniques relatifs à cette plate-forme ultra-moderne, il vous suffit de naviguer sur le net et vous constaterez que les principales caractéristiques reprises dans le film sont rigoureusement exactes (nombre de personnes qui y travaillaient au moment des faits, nombre de propulseurs, etc…). On peut donc affirmer sans se tromper que le travail abattu sur la documentation a été rigoureux, avec entre autres la prise en compte d’un article du New York Times lui-même écrit sur le témoignage de 21 miraculés. Sans compter qu’en se faisant amener sur cette plate-forme reconstruite à 85% pour les besoins du tournage, le spectateur apprend quelques petites choses quant à la difficulté des forages (en l’occurrence en milieu maritime) et leur sécurisation avant exploitation, ainsi que sur les enjeux. Et même si le véritable Mike Williams, le personnage interprété par Mark Wahlberg, est intervenu sur le plateau de tournage en tant que consultant, j’aurai été curieux de voir sur notre site adoré Allociné l’avis d’un salarié de plate-forme pétrolière largement plébiscité par les internautes cinéphiles, à condition qu’il soit rédigé en toute bonne foi et donc de façon très professionnelle. Pourquoi ? Eh bien pour savoir si les choses se passent réellement ainsi (procédures de sécurité, etc…), car quoiqu’on en dise, il y a de quoi être scandalisé par la cumulation de faits qui a rendu cette catastrophe inévitable, à tel point qu’on pourrait avoir du mal à y croire. Cependant, du fait que cet homme ait été consultant, on peut raisonnablement penser que les faits se sont déroulés comme ils nous ont été exposés ici. Bizarrement, je n’ai eu vent d’aucune promotion médiatique concernant cette chronique pétrolière proposée par Peter Berg, tout comme cet incident à l’époque. Je ne me souviens pas en avoir entendu parler, ou alors la couverture médiatique a été si succincte que je ne m’en rappelle pas. Il faut dire que le sujet est quelque peu dérangeant, surtout pour les compagnies pétrolières. En ce qui me concerne, je ne suis allé voir ce film qu’après avoir visionné la bande annonce et vu la note donnée par les spectateurs. Après… surprise totale, que ce soit au niveau du casting, du pitch (bien que nous en connaissons les grandes lignes via le trailer), et du spectacle. Concernant le casting, on a du lourd : d’abord Mark Wahlberg, convaincant dans la peau de ce bon père de famille prévenant et plus qu’accessoirement protecteur alors en poste des systèmes électriques, informatiques et téléphoniques de la plate-forme. Wahlberg nous étonne même sur l’interprétation du choc psychologique, rappelant celle que Tom Hanks a eu l’occasion de tourner dans "Capitaine Phillips". Le réalisateur prend le temps de nous montrer les choses à priori telles qu’elles se sont passées : ainsi sont amenés les personnages les plus éminents, à commencer par Jimmy Harrell (Kurt Russell, pour moi dans un de ses meilleurs rôles) et Donald Vidrine (John Malkovich, formidablement énervant). Ensuite viennent se greffer de très bons seconds rôles, mais bel et bien importantissimes, comme Jason Anderson (Ethan Suplee), Caleb Holloway (Dylan O’Brian), Andrea Fleytas (Gina Rodriguez) et Robert Kaluza (Brad Leland). Et puis vient ce pourquoi le spectateur vient en salle : la catastrophe en elle-même. Elle arrive ni trop tôt, ni trop tard. Juste à point nommé. Un spectacle pyrotechnique rarement vu, superbe, très réaliste. Si époustouflant que vous en aurez le frisson, et que vous en serez décoiffé à la fois par l’image (offrant un spectacle magnifié par certaines prises de vue, tant et si bien que par moments, on ne peut s’empêcher de penser que c’est beau un feu, quand même) et la bande son de très très très haute qualité. Merci aux effets spéciaux qui rendent ce film particulièrement prenant, à tel point que le spectateur va être étonné d’arriver si vite au terme de ce long métrage, lequel est pourvu par ailleurs d’une belle photographie. Catastrophe ou pas, "Deepwater" est un brillant hommage aux hommes qui travaillent sur de telles structures, souvent dans des conditions difficiles (qu’elles soient climatiques ou liées à l’architecture du vaisseau sur lequel il faut sans cesse monter et descendre et dont l’étroitesse des lieux ne permet pas, le plus souvent, de se croiser sur les passerelles). L’hommage n’en sera que plus vibrant au terme du film, avec l’apparition des noms les uns après les autres, accompagnée d’images d’archives, cela sous une chanson superbe de Gary Clark Jr nommée "Take me down". Ce même générique de fin ne manque pas d’achever le travail sur les émotions du spectateur, lequel peut enfin reprendre son souffle, avec les précisions apportées sur les conséquences de ce terrible épisode pétrolier. Je ne saurai rien d’autre que de vous conseiller une chose : allez le voir au cinéma et placez-vous autant que possible vers le milieu de la salle (voire même légèrement sur le centre du premier tiers, mais pas vers l’arrière), ainsi vous ne profiterez que mieux de l’excellente répartition du son.

Un film d'une efficacité redoutable. Tout à fait passionnant et palpitant. Basé sur un accident réel et catastrophique qui rend bien compte des faits et qui nous fait réaliser les conséquences de ce drame.

Le gain à tout prix gagne toujours...
Deepwater est un film d'action efficace en hommage aux victimes de la plateforme BP, qui avait sombré voici quelques années dans un déluge d'hydrocarbure et de dégâts monstrueux sur l'environnement local.
Le film se focalise sur les causes de la catastrophe et sur les conséquences immédiates. La qualité de la réalisation et des effets spéciaux permet au spectateur d'avoir l'impression d'y être.
Mais le film évite très soigneusement de sortir de ce cadre de la description, et n'aborde quasiment pas les responsabilités de la multinationale. L'œuvre aurait pu être plus coercitive et s'attarder davantage sur la gestion de la crise par BP et les autorités américaines. Mais la culpabilisation n'amène pas le spectateur américain à rentrer dans une salle...

Film catastrophe conventionnel, qui donne ce qu'on est en droit d'attendre du genre. Belle reconstitution des décors, assez immersif!