Derniers Avis : Pacific Rim - Page 16

Tout d'abord je dois dire qu'il faut prendre ce film comme il est et ne pas chercher plus loin. Ces effets spéciaux sont juste hallucinant on sent dans ce film avec ces robots surdimensionnés une vrai impression de puissance chez le spectateurs. Certains pensent qu'il n'y avait pas assez de scène d'actions dans ce film pourtant je trouve que le dosage après il faut dire que les moments ou l'on n'est pas plongé dans des combats dantesque on essaie de nous faire prendre à l'histoire seul point faible du film pour moi car malgré tout on sais très bien qu'on est la pour voir des tonnes d'acier défoncé de l'extraterrestre. Et la trame principale sert juste a nous dire qu'il existe une faille qui amène des extraterrestres sur terre... Je trouve que l'histoire aurait pu être bien meilleur de façon a amener a un second film avec de vrai ambitions la on se dit si suite il y a ce seras de nouveau un film juste d'action. C est dommage... Malgré tout Pacific Rim reste l'un des films de 2013 pour moi, ce film m'a coupé le souffle littéralement.

Quand Guillermo del Toro s’attaque à un film de ce genre, on est en droit de s’attendre à quelque chose de particulier. De différent. Mais devant Pacific Rim plus on avance dans l’histoire, plus on va de déception en déception.

D’abord, la base de départ est très simple, mais plutôt bien travaillé il faut l’avouer : depuis des années, les Kaijus, des monstres gigantesques qui débarquent depuis une brèche sous-marine, s’attaque à la Terre sans aucune pitié, bien décidé à éradiquer la race humaine. Après avoir essuyé d’innombrables attaques destructrices, tous les pays du monde se sont associés pour créer l’arme ultime qui pourrait entraver la conquête de ces sales bestioles : les Jaegers. Ce sont des robots tout aussi géants, contrôlés par deux humains qui fusionnent leur esprit, et ainsi font face à armes égales. Même mieux : les humains arrivent à prendre le dessus dans ce conflit qu’ils croyaient perdu d’avance, et repoussent sans cesse les attaques. Tout leur réussi. Jusqu’à ce que des Kaijus plus forts et plus monstrueux ne détruisent presque tous les Jaegers…

La bonne idée de Pacific Rim, c’est d’avoir commencé son histoire sur la fin de vie des Jaegers, plutôt que dans les prémices. L’excellent prologue nous permet de savoir qu’à force de voir des victoires répétées des robots, les pilotes deviennent de vrais stars, et les Kaijus de vulgaires jouets. Un impact qui fait peur, car on sait pertinemment que ça se passerait de cette manière. Alors partir dans cette direction pour exploiter une telle idée, on est preneur. Seulement, elle ne le sera jamais.

A la place d’un propos poussé, voir intelligent, nous aurons droit à tous les clichés du genre. Que ce soit le héros tourmenté par un souvenir du passé mais trop facile à convaincre de revenir au front, un chef d’armée sévère mais en fait pas trop parce qu’il est quand même gentil au fond, ou encore la dose humour (in)dispensable, ici personnifié par deux horribles geek tout ce qu’il y a de pas drôles, on s’enlise dans du déjà vu, qui plus est mal fait.

D’autant plus que les acteurs n’aident pas vraiment à s’attacher à tout ce bazar. Charlie Hunnam, pourtant excellent dans Sons of Anarchy, est ici très mauvais, nous gratifiant de grimaces ridicules et d’une démarche bad-boy inappropriée, et même sa collègue asiatique, Rinko Kikuchi (47 Ronin), ne convainc pas complètement. Seul Idris Elba (Prometheus, Mandela : un long chemin vers la liberté) assure, mais son charisme impressionnant fait déjà la moitié du taf.

Du coup, on est extrêmement déçu de devoir mettre son cerveau sur "off", là où on pensait le réalisateur capable de transcender un tel sujet (Hellboy 2 : les Légions d’or maudites était bien plus jouissif). Alors on attend patiemment ce pourquoi on est venu à la base : des mechas qui fracassent des monstres géants. Et même de ce côté-là, on a envie de chialer. Comptez trois séquences d’action pour deux heures de film. Oui, c’est peu, d’autant que la première n’a rien d’exceptionnelle, et que la dernière lasse plus qu’autre chose.

Reste, en revanche, celle au milieu du film, proprement hallucinante. Une gigantesque baston qui commence sur la baie de Hong-Kong, pour se terminer en pleine ville. Longue, cadré au millimètre près, sans aucune shaky-cam infect (Michael Bay, c’est pour toi, cadeau), avec des plans qui foutent une patate d’enfer, cette scène est LA scène qui marque du film. Accompagné d’une très bonne soundtrack de Ramin Djawadi (Game of Thrones, Dracula Untold), ce passage remet un piquant d’intérêt au film, hélas inutile.

Seulement, on ne peut décemment pas détester Pacific Rim. C’est impossible. Car malgré son manque de rythme évident, ses clichés insupportables ou son humour qui ne fonctionne pas une seconde, on assiste à un spectacle visuel bluffant. Ces multitudes de couleurs chatoyantes dopées aux néons offrent un rendu éblouissant ; ces Jaegers de métal sont stupéfiants de réalisme ; ou de manière plus générale, ces effets spéciaux magnifiques font de Pacific Rim une énorme explosion de rétine sans anesthésie. Une de celle qui fait très mal, alors qu’on est quand même habitué à ce genre de blockbuster. Et rien que pour ça, franchement, l’oeuvre de del Toro est à voir.

Pour les Flemmards : Pacific Rim, c’est une impressionnante claque visuelle, que ce soit au niveau du cadrage, des effets spéciaux, ou du montage, mais c’est hélas vide car sans surprise, et sans puissance émotionnelle.

Dans le cinéma de robots géants il y a les navets comme transformers et puis les beaux films (visuellement) tel que Real Steel et Pacific Rim. Et là on en a pour son argent, c'est beau, c'est grandiose, ca pète de partout. Hyper fun et pas prise de tête. Même à noter, et c'est une qualité... pas d'amourette niaise, ni de scène de sexe racoleuse (truc qui m'énèrve dans les films, on reste dans le sobre mais le sentiment est quand même parfaitement tangible.

Les effets spéciaux sont impressionnants de réalisme. L'histoire est simple mais n'est pas bâclée, même si le film contient quelques clichés. Quel pied!

Le scénario laisse à désirer mais pour expliquer l'arrivée des monstres géants, y'a pas trop le choix. Le cinéma est un spectacle et là, on en prend plein la vue, on est servi en scènes d'action et effets spéciaux réussis. C'est d'ailleurs ce qui sauve un peu le film car la moitié de sa note provient de ses qualités graphiques.

Surgies des flots, des hordes de créatures monstrueuses, les « Kaiju », ont déclenché une guerre qui a fait des millions de victimes et épuisé les ressources naturelles de l’humanité pendant des années. Pour les combattre, une arme d’un genre nouveau a été mise au point : de gigantesques robots, les « Jaegers », contrôlés simultanément par deux pilotes qui communiquent par télépathie. Mais même les Jaegers semblent impuissants face aux redoutables Kaiju. Alors que la défaite paraît inéluctable, les forces armées qui protègent l’humanité n’ont d’autre choix que d’avoir recours à deux héros hors normes : un ancien pilote au bout du rouleau et une jeune femme en cours d’entraînement qui font équipe pour manœuvrer un Jaeger légendaire, quoique d’apparence obsolète. Ensemble, ils incarnent désormais le dernier rempart de l’humanité contre une apocalypse de plus en plus imminente…

Pacif Rim est le dernier bébé de Guillermo Del Toro. Le réalisateur est devenu une nouvelle icône de la culture geek via ses adaptations de Blade, et Hellboy, et dans la création d'univers et de créatures fantastiques. Pourtant au yeux du grand public, il parait encore peu connu, Pacific Rim est le film qui peu le faire découvrir a bon nombre de spectateurs.

Déjà il y a plusieurs mois, la seule évocation de Pacific Rim et de Guillermo Del Toro suffisait à exciter au plus haut point nombre des cinéphiles friands de ce genre de film. Alors, en ce mercredi 17 juillet, date du tres attendu blockbuster, fans de Del Toro, fans de Mechas, fans de tous et de rien etait présent dans les salles obscures...
En opposant aux bestioles venues des flots des robots géants pilotés par des humains, le Mexicain Guillermo del Toro, maître du conte fantastique et psychanalytique (Le Labyrinthe de Pan), réunit à l'écran deux sous-genres de la science-fiction japonaise.

Les 5 dernieres années était longues pour un fanboy, mais avec Pacific rim on les oublies en l'espace de quelques secondes. Quelque secondes qui plonge le spectateur dans un deluge d'éffets spéciaux propres, tres propres.
Éblouis, nous le sommes dès l'introduction avec un premier accrochage entre un Kaiju et le Jaeger de Raleigh Beckett (héros américain de type caucasien lambda interprété par Charlie Hunnam, connu pour son rôle dans
Sons of Anarchy) et son frère Yancy (campé par Diego Klattenhoff de Homeland).
Sous une pluie battante, au beau milieu de l'océan, les deux colosses se rendent coup pour coup dans un déluge de feu, de métal et d'écumes, l'aura fluorescente du monstre, luisante contre l'armure du Jaeger.

Il est évidemment très facile de réduire le huitième long métrage de Guillermo del Toro à une simple "réadaptation" des Transformers de Michael Bay face au mythe Godzilla. Mais Mr Del Toro inspire a plus de complexité scénaristiquement parlant que bon nombres de ses collegues hollywoodien.

Et malgré un budget d'environ 200 millions de dollars, nous n'avons pas réelement devant nous un blockbusters, mais encore ici un comte, comme Mr Del Toro sait les faire. L'intrigue peut paraitre simpliste a ces premiers abords et pourtant, ont peut y voir un message écologique ( oui écologique ) sur le fait que les hommes ne respecte pas la nature, en rapport avec la couche d'ozone, la fonte des glaciers...Vous l'aurez compris, ont est face a du Del Toro, du BON Del Toro.

Mr Del Toro méritait bien une post-production à la hauteur pour ne pas apparaître comme une série B. Et les moyens ont été mis, Warner Bros ayant fait appel à la société ILM (Star Wars, Harry Potter, Transformers, Iron Man, Avengers) pour tous ses effets numériques. Le design des robots et des monstres, tous très différents les uns des autres, est également une franche réussite permettant de distinguer chacun des monstres, mécaniques ou biologiques. Enfin, la 3D, pourtant post-produite, vaut également le coup d’œil

Pacific Rim frappe par son actualité. Le Kaiju devient un objet d’expérimentation pour les scientifiques autant qu’une source de revenu pour les contrebandiers qui vendent leurs organes au marché noir. De même, le film ne se prive pas de dénoncer les gouvernements qui préfèrent la sécurité d’un mur géant au combat pour la liberté. Des thèmes forts, comparable a la chasse a la baleine ( imposant et majestueux monstre des mers, traqué pour sa rareté et ses Os , L'huile...) face au contrebandiers, mais aussi aux choix en temps de guerre.

Un concept intéressant
Quelques bonne idées semées ici et là comme la « Dérive », l'unique moyen de diriger les titans de métal que sont les Jaegers et qui consiste en une fusion parfois dangereuse des esprits (donc des souvenirs) des deux pilotes pour ne faire qu'un dans la tête géante du robot.

Les acteurs

La palme du meilleur acteur revient à Idris Elba, dans le rôle de Pentecost, originellement prévu pour Tom Cruise. Bluffant de sérieux, parfois touchant. il en vient meme a penser, qu'il est le héro du film.

Nos deux pilotes du Gipsy Danger, Charlie Hunnam et Rinko Kikuchi bénéficie d'un traitement correcte, grace a des plan américain d'une tres grande qualité.

La relation conflictuelle entre les docteurs Newton Geiszler (Charlie Day) et Hermann Gottlieb (Burn Gorman), deux spécialistes des Kaijus aux points de vue très divergents, parviennent à divertir le spectateur grace a des scènes droles, bien filmé et surtout écrite avec justesse. Ron Perlman campant le role de Hannibal Chau dispose d'un script qui lui convient, permettant a tous son talent de nous explosé a la figure !

Les acteurs tertiaires ( les pilotes des autres jaegers) sont quand a eux convaincant, mais plus d'intéret aurait été le bienvenue.

La Bande son
La Bande son est plus que correcte, faisant référence au bande son des serie animé japonaise des années 90. Le Theme principal est quand a lui phénoménal. La bande originale de Pacific Rim est signée Ramin Djawadi. Le compositeur de Game Of Thrones et d'Iron Man a convoqué le génial Tom Morello de Rage Against The Machine pour qu'il pause quelques riffs sur sa musique. Le résultat sonne très nineties.

Conclusion : Pacific Rim ne redéfinit pas un genre, mais plusieurs à la fois. Nouvelle incarnation du blockbuster hollywoodien et du cinéma moderne, Pacific Rim vient de marquer de son empreinte le Genre SF. Del Toro trouve l’équilibre parfait entre action, émotion et comédie. Exigeant, désireux d’offrir au spectateur un spectacle de qualité, il se surpasse tant sa mise en scène frôle la perfection. En attente d'une suite, qui est deja dans les tuyaux du coté de Warner.

Twitter : @JorDan_RcD
Senscritique : JordanR1

Quel spectacle !Si le scénario ne brille pas forcément malgré quelques bonnes accroches, le ton et le rythme du film sont parfaitement maîtrisés pour nous livrer un divertissement à l'américaine très réussi.Les effets spéciaux sont grandioses et nous avons vraiment une impression de gigantisme lors des combats entre monstres extra-terrestres et monstres mécaniques.Chaque personnage est suffisamment travaillé pour rendre l'ensemble cohérent et attachant.Une réussite dans le genre.

Franchement, les effets spéciaux sont cool, je l'ai vu sur ordi alors peut être que ca n'a pas été assez bluffant pour moi.Mais 2.5 ça mérite pas vraiment plus, et pourtant je suis très bon public. Cliché sur cliché, des dialogues prévisibles à 1 million de km... Pour autant j'ai passé un moment plutôt sympa en le regardant mais à chaque fois j'ai pas pu m'empecher de me dire que c'était trop trop cliché...:/ Dommage, j'adore l'acteur de Sons of Anarchy

Un film diablement monstrueux et bourrin. Le scénario n'est pas parfait mais suffisamment bon pour qu'il soit assez cohérent. Un casting pas trop mal mais certains acteurs restent un peu neutres dans leurs expressions. Contrairement à certains films américains, l'intrigue se lance déjà dès les premières minutes du film et on entre directement dans l'action. On est servit par de super scènes de combat entre les robots et les monstres. On en prends plein les yeux avec les effets visuels magnifiques et d'une très belle design des robots et des monstres. Il y a un petit moment d'ennuie entre deux scènes d'actions mais c'est supportable. Des beaux décors et costumes. Un blockbuster à voir d'urgence.

Pacific Rim est un pur divertissement, c'est un pur blockbuster, c'est à un spectacle. Donc j'ai été surtout intéressé par les effets spéciaux et l'excellente réalisation de Guillermo Del Toro. Mais le scénario ne suit pas malheureusement, si la forme est assez rafraîchissante, le fond est beaucoup trop cliché, dans les événements et dans les personnages: le mec qui a raccroché depuis longtemps mais qui se laisse convaincre par le capitaine noir (je sais pas pourquoi les mec qui commandent tout sont toujours noir sans être raciste), forcément il a une assistante chinoise et des savants fous. Même leur intonations sont cliché sans parler de leur jeu qui n'est pas spécialement bon. Au final ce film de révèle être sans surprise à cause d'un schéma narratif vu et revu et d'un cruel manque de suspense et de tension. Ce film reste malgré tout très bon d'un point de vue spectaculaire et de divertissement.

Le début du film nous met dans le bain avec une introduction qui met l'eau a la bouche, l'univers est sympa et directement inspiré de la culture japonaise.Malheureusement ce film montre vite ces limites qui se résume a une succession de combat avec des robots contre des monstres géants.Les acteurs ne donne pas vie aux personnages, on trouvera aucune empathie chez eux quand aux monstres on apprendra pas grand chose dessus.Par contre rien a dire sur les effet spéciaux qui sont vraiment top.Globalement déçus, je m'attendais a bien mieux: disons que j'ai passé l'age de me contenté de baston entre robot et monstre géants même quand c'est super bien fait.

Finalement, l'invasion ET n'est pas arrivée par le ciel, mais depuis le fond des océans, d'une brèche interdimensionnelle. D'énormes montres débarquent, un à un, et ravagent des villes, tuent des milliers d'humains. Pour les combattre, les gouvernements s'unissent et fabriquent de gigantesques robots, si grands qu'ils doivent être pilotés par deux personnes dont l'esprit est suffisamment proche pour qu'il puisse fusionner (comme deux frères ou un père et son fils).Becket est l'un de ces pilotes d'exception, mais il abandonne lorsque son frère est tué lors d'une mission.Cinq ans ont passé et les gouvernements ont décidé d'abandonner les robots au profit de la construction de grands murs... qui ne tiennent pas devant les monstres.Stacker, qui commandait le programme de défense avec robots, face à cette décision, décide d'entrer en résistance (?) et retourne chercher Becket. Son plan : fermer la brèche à coup de bombe atomique.Becket se retrouve à piloter avec une parfaite inconnue (alors qu'on nous a expliqué qu'il fallait un lien fort comme entre deux frères ?).Pendant ce temps-là, les deux huluberlus scientifiques de la mission découvrent que les ET sont vraiment méchants et que ça va être la fin du monde si on ne les arrête pas.Alors... pourquoi les ET envoient des monstres à intervalles de plusieurs mois laissant les humains s'organiser contre eux ? Pourquoi Becket peut piloter avec une inconnue juste parce qu'on sait bien qu'ils vont tomber amoureux l'un de l'autre ? Pourquoi les gouvernements abandonnent le projet de robots ?Pourquoi je me pose des questions alors qu'il n'y a aucune réponse ?L'esthétique du film est soignée : les robots, les monstres, le complexe militaire de la résistance...Pour changer un peu, on est à Hong Kong et pas à New York (les ET ont vu les films de monstres géants et ne commettent pas ce genre de faux pas). Le pilote tête brûlée qui va se sacrifier est un peu concon au départ, la jeune femme dont le héros va s'éprendre est une super pilote même sans avoir jamais piloté et sa famille est morte quand elle était petite et elle veut se venger, le chef de la résistance est trop impassible et...Une accumulation de tous les clichés qu'on peut attendre pour faire de ce film de robots et de monstres un... film de robots et de monstres, sans rien qui puisse nous surprendre et nous faire dire "ah, tiens, c'est pas mal, ça".J'ai pu voir ici ou là des avis enthousiastes car les robots et les monstres sont réussis et se foutent bien sur la gueule, donc j'imagine que ça peut faire rêver si on aime le genre.Perso, je sais que mon esprit a lâché en cours de route et est allé voir ailleurs... -- 21/7/2013

Le coup de bâte avec un bateau à place de la bâte est déjà culte. Les monstres sont superbement réussis. Un vrai bon moment de Hard Rock cinématographique.

Un melange de Godzilla, evangelion, real steel et autre transformers, avec des effets speciaux époustouflant. D'accord un scénario 100% ricain. C'est sûr que ça ne plaira pas a certaines personnes, mais pour les fans de science fiction et de manga, je recommande fortement !!!

Le film avait lors de sa sortie vu la critique être d'autant plus sévère que les bandes-annonces avaient été prometteuses. Je vais être obligé d'être d'accord avec la déception que ce long-métrage a suscité. En fait le film peut-être analyser selon deux critères : le critère visuel et le critère scénaristique. Si l'on prend le premier on est vraiment admiratif de l'esthétisme déployé. Les robots (jaeger) et les monstres (kaiju) sont vraiment beaux à voir et les visuels que ça amène à l'écran sont très réaliste et donnent des combats très spectaculaires. Le combat à Hong-Kong est en cela vraiment très impressionnant notamment quand on voit des containers et un porte-containers utilisés comme des pierres ou des bâtons. Après, cette créativité esthétique des créatures sert normalement un scénario, or ici ce dernier est loin d'égaler l'aspect visuel. L'histoire utilise tous les clichés du film catastrophe et du film militaire avec une histoire simple (la terre est menacée par des monstres et des soldats, dans des immenses robots, combattent ces derniers) avec des personnages très stéréotypés : le jeune rebelle à l'autorité, le vieux sage combattant, les scientifiques ici fondus dans le personnage bouffon de rigueur... Bref on est dans une intrigue très balisée à un point tel que l'histoire en devient risible et parfois dans certaines séquences (hors combats) presque irritantes de ridicules ou d'inanité. Du coup on se retrouve devant un film visuellement impressionnant, mais scénaristiquement mauvais et malheureusement on ne le répétera jamais assez, mais un bon film, quel que soient ses qualité visuelles et de réalisation, c'est une histoire avant tout. "Pacific Rim" est un blockbuster, donc un film très spectaculaire qui vise un très large public, mais cela n'aurait pas dû lui servir d'excuse pour accoucher d'une intrigue aussi simpliste, à la limite de l'escroquerie. Donc on passe donc un bon moment quand on assiste aux combats, mais on subit les scènes entre ces combats en les espérant les plus courtes possibles pour se régaler de nouveau devant les prouesses visuelles. Un film qui aurait donc mérité un investissement dans l'histoire équivalent à celui de la création visuelle. À voir donc pour la beauté des créatures et des robots, ainsi que pour leurs combats.