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Un visiteur
2,0
Publiée le 26 avril 2019
Bof, bof, divertissement vite oublier. Le scénario est pauvre, ok, y a de l'action, mais l’enchaînement apport plus vers l'ennuie et la délivrance par la fin. Par où la sortie....
Nous restons un peu sur notre fin, pour la finalité de cette trilogie celui ci n'est pas le meilleur opus mais reste correcte dans l'ensemble ! La version que j'ai regardé sur Netflix n'était pas génial niveau traduction.. peut être un peu puriste de ma pars ?
"Le Dernier Pub avant la fin du monde n'est donc pas du même niveau que Hot Fuzz, mais reste un très bon film tout de même. Pour les défauts, en plus des facilités scénaristiques et des éléments prévisibles, on pourra noter un gros manque de développement des personnages. Pour les points positifs, on pourra noter une intrigue captivante qui aborde des sujets intéressants, un bon développement de l'univers, un rythme et une ambiance bien maîtrisés, de bons effets spéciaux, une très bonne mise en scène et un très bon casting. Le Dernier Pub avant la fin du monde conclut donc dignement la Trilogie Cornetto."
Un film complètement barjo où Gary, un quadragénaire immature et alcoolique, réunit ses anciens compères pour achever de faire le tour de 12 pubs de leur ville, le « Barathon de la voie maltée », qu’ils n’ont jamais réussi à terminer. Ses amis viennent à reculons et vraiment pour lui faire plaisir, l’ambiance n’est pas vraiment festive, voire même conflictuelle jusqu’à ce que les protagonistes découvrent qu’ils sont entourés d’androïdes. Démarre alors une deuxième partie du film qui part complètement en vrille. On rigole bien, si on aime les scénarios complètement fous.
Assez incompréhensible venant de l'equipe des excellents Shaun of the dead, Hot Fuzz et Paul... Beaucoup de scènes de bagarres inutiles et longues, aucun sourire ni rire, histoire dénuée de tout sens. Un ratage complet !
Je voyais un film d’un autre genre. C’est totalement nul, abracadabrantesque et incohérent cette histoire d’Aliens au sang bleu. On bascule d’une comédie censée faire sourire voire au mieux rire à de la science fiction grotesque hermétique à l’humour. Que c’est terriblement ennuyeux !!!
Clôture d'une trilogie à l'humour bien déjanté aux répliques qui font mouche, hyper rythmée et emmené par le délirant Simon Pegg en pleine forme, cette tournée beuverie des 12 pubs pour finir torchon carpette serpillière démarre sur de très bonnes bases. Décalage entre l'éternel ado et ses copains d'enfance qui le suivent par charité presque par pitié mais sans envie puis le film au bout de 3 pubs commence sérieusement à faiblir et ronronner. Pas de problème, coup de théâtre avec l'invasion des extra terrestres robotisés et verser dans la science fiction burlesque bien décalée et dans l'action. Rosamund Pike toujours aussi belle et excellente arrive même dans la mêlée et si on n'évite pas le grand n'importe quoi et le too much, c'est quand même drôle, intensif et tonique avec des répliques bien senties. Hélas le film peine à trouver sa fin et sa conclusion et on baisse en rythme, énergie et intérêt avec un épilogue un peu décevant, bâclé et imprécis. Ceci dit ce film atypique reste un moment de comédie bien délirant sans cependant atteindre des sommets sinon par quelques rares fulgurances.
Tout ceci commence comme un très bon film, avec des dialogues entêtés sur une ambiance à la las vegas parano, puis on prend très vite le virage de la science fiction pour atterrir dans une mare aux silures bleus avec des zombies robotisés: Consternant.
Je pense que Le dernier pub avant la fin du monde entre sans problème dans mon top 20 de mes films préférés - que je n'ai pas, c'est donc une façon de parler. Humour, action, acteurs impeccables dans leur rôle... J'adore.
Contrairement à Hot Fuzz et Shaun of the Dead qui parodient le genre policier et film d'horreur avec zombies, ce dernier opus de la trilogie du Cornetto parodie le genre de film d'extraterrestre. On y retrouve par conséquent tous les ingrédients qui ont fait la réussite des deux premiers volets à savoir le duo Simon Pegg et Nick Frost, un humour décalé et une atmosphère de "n'importe quoi" par moment. Cependant, c'est sans doute le moins réussi des trois. A voir quand même pour passer un bon moment.
J'ai beau ne pas être un grand fan d'Edgar Wright, j'ai véritablement adoré "Le dernier pub avant la fin du monde". Ultime volet de la trilogie du Cornetto, ce long-métrage est pour moi le plus abouti des trois tant il est maîtrisé et jouissif de bout en bout. Edgar Wright pastiche ici les films d'invasion et d'apocalypse en nous plongeant dans un trip totalement allumé dont lui seul a le secret. Comme d'habitude, le film est truffé de références savoureuses et de petits clin d'oeil astucieux qui plairont aux amateurs de contre-culture dont Edgar Wright est aujourd'hui l'un des principaux défenseurs. L'idole des geeks n'a rien perdu de ses talents de metteur en scène et de monteur en offrant une oeuvre très aboutie visuellement qui impressionne par sa maîtrise du rythme. Simon Pegg et Nick Frost forment un duo toujours aussi savoureux auxquels se joignent des acteurs de grand talent tels que le génial Martin Freeman ou la très talentueuse Rosamund Pike pour ne citer qu'eux. J'ai vraiment pris un plaisir monstre devant cette comédie qui m'a fais rire aux éclats et dont les fabuleuses répliques resteront gravées dans ma mémoire.
Une comédie britannique rappelant beaucoup « Docteur Who », avec une touche de science-fiction avec ces envahisseurs extraterrestres s’infiltrant au Royaume Uni dans leurs pubs, c’est marrant, un humour kitch, gentil et pas trop méchant.
Film foutraque certes, mais rafraîchissant comme une bière blonde en plein cagnard de comédies stériles, “Le Dernier Pub avant la Fin du Monde“ avance vite et décomplexé, particulièrement à son début où la liesse collégiale procure une ivresse séduisante. La loufoquerie assumée et sans limite apporte à ce pèlerinage « very bad trip » une bonne dose de testostérone noyée sous bibine, pleine d’humour british à la fois efficace comme parfois ridicule et absurde. E.Wright apporte son style très découpé et mise en scène chorégraphiée (jolies scènes de baston), sous une B.O. rutilante, donnant constamment du rythme à son oeuvre hors-norme et communicative. Le retournement de situation à la 35ème minute est complètement inattendu, surprend dans le bon sens, mais tient difficilement la route jusqu’à la fin: autant le film excelle dans les situations humaines grivoisées par l’alcool et les retrouvailles explosives entre vieux potes, autant la partie-satire SF-zombie robotique déçoit par la légèreté et son manque de substance. Le film en devient un peu long, les vannes un peu moins digestes, la gueule de bois faisant surface. Heureusement que le casting remporte la palme de la beaufitude ravageuse et ravagée, trinquant au plaisir du spectateur qui n’en demandait pas tant. “Le Dernier Pub avant la Fin du Monde“ brille par ses excès, son ébriété contagieuse, au risque de se noyer dans son énième bock de bière et frôler la griserie de justesse. On lui pardonnera très vite ses errances tant la joie est partagée et décomplexée.
Dans ce nouveau film d'Edgar WRIGHT, les gags ne fonctionnent pas et le manque de rythme nuit cruellement au contenu de la réalisation finale. Difficile d'adhérer à ce délire 100% britannique, car il y a beaucoup mieux en la matière. Ajoutez à cela une partie science-fiction qui ne tient absolument pas la route et vous obtenez "Le Dernier pub avant la fin du monde". C'est grotesque et même pas drôle !