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    Le Dernier pub avant la fin du monde
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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 28 septembre 2013
    Un excellent film que nous délivre Edgar Wright pour conclure sa trilogie (hot fuzz, shaun of the dead) qui pour moi restera culte tant l'originalité et la qualité sont aux rendez vous, Pegg et Frost sont tout bonnement énorme dans leurs rôles l'un devenu sérieux avec le temps mais reste ultra protecteur avec son pote, l'autre qui refuse de grandir et veut revivre son ancienne gloire là où il sentait avoir sa place dans cette société, l'humour "so british" et déjanté est toujours fraîche et employé à bonne escient spoiler: quand aux "machins" ils me font penser à une métaphore en gros ceux que la société voudrait qu'on soit des êtres aseptisé, obéissant, n'éprouvant aucun réel choix ni émotions trop forte juste des êtres ayant pour but de suivre la masse tel de gentils moutons(peut-être que j'analyse trop !!! LOL)...

    En gros à voir car bourré de qualité !!!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 27 septembre 2013
    Difficile, très difficile de dire du mal de la troisième collaboration sur grand écran du trio magique Wright-Pegg-Frost, même si "Le dernier Pub avant la Fin du Monde" n'atteint pas les sommets de "Shaun of the Dead" ou "Hot Fuzz". D'emblée, on est frappé par les ressemblances avec "Shaun of the Dead" dont "Le dernier Pub..." reprend complètement la trame, à quelques nuances près : course-poursuite avec des assaillants hostiles (ici, les aliens ont remplacé les zombies), amitié virile, introspection et réflexion sur le sens à donner à sa vie. C'est sur ce dernier point que la nuance est d'importance : là où Shaun, quasi trentenaire, regardait (avec pas mal de réticences et par la force des choses) vers l'avenir (vie de couple, responsabilités...), Gary King et ses amis, eux, quadras, ont pas mal l'œil dans le rétro. Comme leurs personnages, Wright et Pegg ont vieilli (mûri ?) et ils brossent à travers cette bande de cinq potes un portrait touchant de quadragénaires, un portrait aigre-doux où les souvenirs de bons moments côtoient les espoirs déçus, les échecs, les blessures. Et c'est presque dommage que cette belle évocation soit cannibalisée par l'apparition intempestive d'aliens infiltrés parmi les humains. Ce rebondissement dans l'intrigue, tel un cheveu sur la soupe, est certes extrêmement fun mais crée des ruptures pas toujours bienvenues dans le rythme du film. Et puis surtout, le message qu'il véhicule, l'avertissement sur les dangers de l'uniformisation et de la communication globale, aussi pertinent et jouissif soit-il, reste quand même très, très simpliste. Sur le papier, les noms des acteurs choisis pour incarner les cinq copains et la perspective de les voir s'envoyer à la tronche bon nombre de vannes bien ciselées s'avéraient particulièrement excitants. A l'écran, on n'est pas déçu : si les duettistes Simon Pegg et Nick Frost se sont donnés les beaux rôles, les seconds violons qui les accompagnent (Eddie Marsan, Paddy Considine et Martin Freeman) ne sont quand même pas des manchots niveau comédie et tout ce petit monde cohabite parfaitement à la fois dans la plus grande harmonie et dans le plus grand désordre potache. La touche féminine est incarnée à merveille par Rosamund Pike et Pierce Brosnan se paye une petite apparition, devenant ainsi, après Timothy Dalton dans "Hot Fuzz", le deuxième James Bond à figurer dans un film d'Edgar Wright. Car oui, comme d'habitude, le bonhomme n'oublie pas de rendre hommage à tout ce qu'il aime et qui l'inspire dans le cinéma et ici, outre les citations évidentes de classiques SF traitant d'invasion extra-terrestre ("Body Snatchers", "Le Village des Damnés"...), "Le dernier Pub..." se paye notamment à travers ses bastons avec les aliens un beau clin d'œil aux chorégraphies martiales de Jackie Chan ou Sammo Hung. Un petit mot aussi sur l'excellente BO qui compile à peu près tout ce qui se faisait de mieux dans la brit-pop des années 80/90 (Housemartins, Happy Mondays, Stone Roses, Suede...). Voilà qui rajoute encore une bonne dose de nostalgie à un film qui en procure pas mal, en plus de beaucoup de fun et de plaisir. "It's happy hour again..."
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 11 novembre 2013
    Pour clore sa fameuse trilogie du cornetto (qui comprend la comédie fantastique Shaun of the dead et la comédie policière Hot Fuzz), Edgar Wright réunit ses deux amis Simon Pegg et Nick Frost ainsi que d’autres acteurs apparus dans les deux précédents films (dont Martin Freeman ou bien encore Bill NigtySpoiler :), pour mettre au point une comédie cette fois de science-fiction. Le point de départ de son intrigue à laquelle ont été ajoutés les éléments de SF se base sur une anecdote réellement parvenu au réalisateur, l’histoire de menace technologique se pose donc sur un fond plein de références autobiographiques teinté de nostalgie. La mentalité du personnage de Garry campé par Simon Pegg représente d’ailleurs une autre menace, celle du comportement rétrograde lié au fait de vouloir revivre le passé plutôt que d’aller de l’avant. La partie science-fictionnelle est tout ce qu’il y a de plus convenue dans ses enjeux et sa structure, mais permet de justifier des scènes d’action assez rocambolesque et d’amener finement sa morale –toute aussi banale- sur le danger que peut représenter l’uniformisation (le "starbucking" comme ils disent) sur les traditions locales et le libre arbitre. Hormis quelques combats assez mirobolants et le gag de la palissade devenue récurrente, l’humour passe essentiellement par les dialogues qui sont écrits avec un peps so british particulièrement réjouissant.
    landofshit0
    landofshit0

    274 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 septembre 2013
    La comédie veut traiter du sujet de la quarantaine, alors pourquoi pas,seulement derrière ce sujet il n'y a aucune histoire. C'est long à démarrer puis une fois l'histoire de sf attaqué c'est prévisible et pas drôle un instant. Visuellement c'est d'une totale laideur,les effets de transition pour passer d'un plan à l'autre sont utilisés jusqu'à plus soif,seul l'efficacité des combats est réussie. Tout ce mauvais mélange vient se conclure par une fin aussi moralisatrice qu'un épisode de simpson. les dix dernières minutes n'ont aucunes utilités, ci ce n'est de venir en rajouter une couche de la façon la plus lourdingue qui soit,on nous réexplique tout ce que l'on vient de voir au cas ou le message ne serait pas passé.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 septembre 2013
    "Le dernier pub avant la fin du monde" ou comment faire travailler ses abdos en 1h49

    La bande annonce (déjà fort prometteuse) m'avait donné une terrible envie de voir ce film.
    J'ai dû attendre plusieurs semaines avant de pouvoir combler ce désir (convaincre mes amis n'a pas été chose aisée, la menace et le chantage ont eu raison d'eux).

    Le film démarre, 23 ans en arrière, au moment où 5 potes tentent (sans spoiler: sans succès) de réussir leur barathon: 12 pintes dans 12 bars différents, avant la fin du monde (nom du dernier pub).
    On les retrouve en 2013. Chacun ayant tracé son petit bonhomme de chemin, ayant laissé derrière eux cette nuit et cette quête de la "voie maltée".
    Mais c'est sans compter sur Gary King (resté bloqué en 1990 avec voiture et cassette d'origine) qui va les réunir pour revivre cette soirée du 22 juin 1990 (avec les robots et les robots non robots en plus) ...

    J'ai retrouvé avec plaisir la bande de "Shaun of the dead" et "Hot fuzz".
    Les acteurs (Simon Pegg, Nick Frost et Martin Freeman) sont toujours aussi brillants, les répliques font mouches et l'histoire est encore plus déjantée.

    Simon Pegg alias Gary King est hilarant (tout autant qu'agaçant).
    Les jeux de mots et bons mots fusent (j'ai ri, si si je vous assure et même beaucoup) même si ça ne volent pas toujours très haut (ce n'est certainement pas pour son contenu culturel et intellectuel que je suis allée le voir).

    Les scènes de combats (la première en particulier - effet de surprise) sont drôles (notamment grâce à l'équipe de bras cassés des 5 presque quadra) et bien orchestrées .

    Seul bémol: la fin. On a presque l'impression, que le scénariste ne savait plus comment finir son film. Mais on lui pardonne, le reste vaut le détour.

    En résumé, j'ai passé un trés bon moment. Je me suis laissée porter par ce film rythmé, décalé et divertissant.
    A quand le prochain?
    Piwi47
    Piwi47

    43 abonnés 246 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 septembre 2013
    « The World's End », traduit bêtement « Le Dernier pub avant la fin du monde » en version française, conclut la « Trilogie Cornetto », instaurée par le génialissime« Shaun of the Dead » et poursuivie avec l'excellent buddy cop movie « Hot Fuzz ». Edgar Wright reprend les rênes de la réalisation, et signe également le scénario avec Simon Pegg. De l'autre côté de la caméra, le comédien anglais précédemment cité forme de nouveau le duo mythique avec son compère Nick Frost. Le trio, lancé grâce à la série anglaise « Spaced », parachève donc son aventure aujourd'hui même.

    Synopsis Allociné : L'histoire débute le 22 juin 1990 dans la petite ville anglaise de Newton Haven : cinq adolescents au comble de l'âge ingrat fêtent la fin des cours en se lançant dans une tournée épique des pubs de la ville. Malgré leur enthousiasme, et avec l'absorption d'un nombre impressionnant de pintes de bière, ils ne parviennent pas à leur but, le dernier pub sur leur liste : The World's End (La Fin du Monde). Une vingtaine d'années plus tard, nos cinq mousquetaires ont tous quitté leur ville natale et sont devenus des hommes avec femme, enfants et responsabilités, à l'alarmante exception de celui qui fut un temps leur meneur, Gary King, un quarantenaire tirant exagérément sur la corde de son adolescence attardée. L'incorrigible Gary, tristement conscient du décalage qui le sépare aujourd'hui de son meilleur ami d'antan Andy, souhaite coûte que coûte réitérer l'épreuve de leur marathon alcoolisé. Il convainc Andy, Steven, Oliver et Peter de se réunir un vendredi après-midi. Gary est comme un poisson dans l'eau. Le défi : une nuit, cinq potes, douze pubs, avec un minimum d'une pinte chacun par pub. À leur arrivée à Newton Haven, le club des cinq retrouve Sam, la sœur d'Oliver pour qui Gary et Steven en pincent toujours. Alors que la fine équipe tente, tant bien que mal, d'accorder le passé avec le présent, une série de retrouvailles avec de vieilles connaissances et des lieux familiers les font soudain prendre conscience que le véritable enjeu, c'est l'avenir, non seulement le leur, mais celui de l'humanité entière, et arriver à « La Fin du Monde » devient le dernier de leurs soucis …

    Qui l'eût cru ? « The World's End » est probablement la meilleure comédie dramatique de science-fiction sociale d'action de l'année. Un pastiche déjanté, drôle et émouvant de « L'Invasion des profanateurs de sépultures », qui marinerait dans la sauce « The Thing », assaisonné au piment british. Une poilade générale, orchestrée de main de maître par un metteur en scène brillant, biberonné depuis sa plus tendre enfance à la pop-culture.

    Histoire simple au départ : des quadras prêts à s'enfiler des pintes jusqu'au douzième et dernier pub de la ville, à l'occasion d'un barathon disjoncté.

    Toutes les vannes font mouche, l'écriture comique hyper dense et les gags graphiques sont parfaitement maîtrisés – la confrontation dialogues truffés de second degré / situations burlesques premier degré au premier plan est absolument divine – la profusion de détails geeks complètement jouissive. Les répliques délirantes à l'anglaise, ambiance « Monthy Pithon » en tête, fusent (« King Gay ») et débordent d'amusements en tout genre : plusieurs contrepètries barrées, humour pince-sans-rire, ou encore running-gag hilarant sur « Gary's Mum ».

    Mais « The World's End » n'est pas seulement un rafraîchissant moment de franche rigolade, c'est aussi le déguisement de quelque chose nettement plus viscéral et construit, l'occasion pour les trois comparses de visiter des thématiques plus adultes et plus sombres. Au programme : exploration des conséquences du passage de l'adolescence à l'âge adulte, de la dépendance à l'alcool, de ce qui forge la vie (l'amitié, les amours, les responsabilités...) et ce qu'on choisit d'être. Certains propos déjà abordés en toile de fond dans « Shaun of the Dead » et « Hot Fuzz » – la peur du changement, le refus de l'homogénéisation et la lutte contre le conformisme – sont ici creusés davantage et toujours on ne peut plus d'actualité.

    Le jeune prodige trentenaire Edgar Wright, également auteur du chef d'œuvre pop musical « Scott Pilgrim » en aparté, fonctionne à plein régime dans sa mise en scène, par ailleurs ahurissante : effets de montage façon Guy Ritchie, rythme endiablé, narration fluide et transitions variées, scènes d'action spectaculaires (le climax notamment) …

    Côté interprétations, on assiste à une admirable réunification de tous ceux qui avaient participé aux précédents volets, les vieux potes Simon Pegg & Nick Frost bien évidemment (parfaits as usual, voire mieux encore, les deux loustics parviennent à nous surprendre en réinventant totalement la bromance, la relation entre leurs personnages changeant en fait du tout au tout entre chaque épisode), mais aussi Martin Freeman (starisé entre temps grâce à la série « Sherlock » et la trilogie « Hobbit »), Rafe Spall, Paddy Considine, Julia Deakin, Patricia Franklin, ainsi que les jumeaux Kevin et Nicholas Wilson. Seul Bill Nighy manque à l'appel, dommage ! Les petits nouveaux s'appellent Eddie Marsan, Rosamund Pike, ou encore l'ex-James Bond Pierce Brosnan (clin d'œil volontaire à « Hot Fuzz », rappelez-vous en effet la présence de Timothy Dalton au générique). Autrement dit, une pléthore de comédiens talentueux et tous plus vivants les uns que les autres.

    Une BO aux petits oignons (The Doors, Pulp, Stone Roses, Kylie Minogue …) constituant un personnage à part entière et faisant progresser le récit tel un jukebox, des références à gogo (« les fameuses palissades, récurrentes dans les trois films, qui sans être un simple élément du décor, servent toujours à la narration et surtout à l'insertion d'un gag culte »), des influences venues d'ailleurs (John Carpenter pour le cinéma, les auteurs John Wyndham et John Christopher côté littérature), des combats « Drunken Master » en forme d'hommage au zui quan (la boxe de l'homme ivre) de Jackie Chan (présent dans les remerciements au générique, CQFD) sont indéniablement de précieux atouts, et permettent à « The World's End » d'atteindre les sommets.

    Bilan : Edgar Wright, Simon Pegg et Nick Frost enrichissent encore un peu plus le patrimoine du cinéma anglais avec « The World's End », niche SF sociale intelligente et bouleversante, véritable maillon manquant à la chaîne filmique initiée par le film zombie « Shaun of the Dead » et la comédie d'action « Hot Fuzz ».

    Anecdote : De nombreuses personnalités du 7è art ont complimenté le film et son réalisateur Edgar Wright, via leur compte Twitter personnel ou en interviews. Parmi les célébrités totalement emballées, on recense : Joss Whedon, Robert Downey Jr, Greg Mottola, Duncan Jones, Rian Johnson, Joe Carnahan, Chris Evans, Ben Stiller, John Landis, Joe Dante, Adam McKay, Alison Brie, Dwayne Johnson, Peter Jackson, Seth Green, Patton Oswalt, Judd Apatow, Patrick Wilson, Damon Lindelof, Alfonso Cuaron, Brad Bird, Joel McHale, Gillian Jacobs, Jamie Bell et James Gunn.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 25 septembre 2013
    Edgar Wright est décidément un excellent réalisateur. Ces films sont péchus, rythmés et vraiment drôles.
    Le Dernier Pub n'échappe pas à la règle, avec des acteurs au sommet (Nick Frost!!!!) et un film qui nous donne à réfléchir quant à notre espèce.
    Un peu long au démarrage, le film devient jubilatoire par la suite et on ressort avec la patate. Et même si le film ne dépasse pas l'excellent Shaun of the Dead, il n'en reste pas moins un super divertissement.
    Yetcha
    Yetcha

    879 abonnés 4 398 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 septembre 2013
    Bon et bien je reste une fois de plus sur l'excellent "Shaun of the dead", "Hot fuzz" m'ayant beaucoup déçu, je n'attendais pas grand chose de ce dernier volet de la trilogie. Et bien j'ai été servi puisque déjà le sujet de la beuverie entre potes n'est pas quelque chose qui me fasse beaucoup rire, loin de là, ça me fait plutôt pitié. Mais bon, je me dis qu'il faut tout de même essayer et......BOF, peu de choses drôle et le petit truc de SF tombe vraiment comme un cheveux sur la soupe et n'apporte rien à l'ensemble bien mièvre. A éviter.
    msxfr
    msxfr

    163 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 octobre 2013
    Je m'attendais a un film bien plus drole que cela le 1er opus était très bien celui-ci est plat sans saveur. De plus le look de Simon Pegg n'es pas en rapport avec le role qu'il incarne dommage de n'avoir pas retrouvé le coté dejanté de Shaun of the Dead qui reste pour moi le meilleur film de Pegg dans ce genre de role.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 23 septembre 2013
    Une virée entre potes qui devait être une beuverie monumentale tourne à l'invasion intergalactique. Ce "barathon" vous donne la "gueule de bois" tellement c'est imbuvable. Rien n'est crédible et ces mousquetaires du houblon en deviennent rapidement
    ridicules. A aucun moment on ne croit à ces robots au sang bleu qui se dévissent comme une bouteille de bière.
    Le tournant fantastique vient soutenir un scénario d'une très grande faiblesse. Les dialogues sont creux et n'arrivent pas à vous décrocher le moindre sourire. Un très gros navet qui ne restera sans doute pas longtemps dans les mémoires.
    brqui-gonjinn
    brqui-gonjinn

    90 abonnés 955 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 novembre 2013
    Allant vite être occupé avec l’aventure "Ant-Man", le réalisateur Edgar Wright se devait de mettre un point final à sa trilogie "Blood and Ice Cream" initiée en 2005 avec "Shaun of the Dead". Au scénario le cinéaste est une nouvelle fois secondé par Simon Pegg et les deux compères nous emmènent dans la petite bourgade bien anglaise de Newton Heaven où une bande de copains, à l’époque du lycée, avaient commencé un barathon qu’ils n’avaient jamais achevé. Le programme est simple 12 pubs, 12 bières. Gary King l’adulescent reforme le groupe dans le but de revivre ce moment unique, ses plans vont néanmoins être contrecarrés par de vieilles querelles, des membres pas franchement motivés et, accessoirement, des robots extraterrestres venus coloniser notre chère planète Terre. Le duo continu donc son petit tour des genres après le film policier et le film de zombie, ils se frottent désormais à l’apocalypse par le biais d’une forme de vie robotique. Le résultat est à la hauteur des deux autres films, ni plus, ni moins. L’humour y est très présent mais les références sont parfois trop timides et cela se ressent dans un rythme en dent de scie tout au long de cette heure cinquante de film. Quoi qu’il soit "Le Dernier pub avant la fin du monde" peut jouir de dialogues millimétrés et d’acteurs au sommet car Simon Pegg et Nick Frost sont ici rejoints par un casting de grande qualité. Une comédie (qui donne soif, très soif) sympathique bien qu’elle ne donne pas entière satisfaction.
    kibruk
    kibruk

    145 abonnés 2 547 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 septembre 2013
    Autant je m'étais amusé en regardant "Shaun of the dead", autant je me suis ennuyé en voyant "Le dernier pub avant la fin du monde". Premier reproche, ce n'est jamais drôle. Toute la première partie du film est scénarisée de façon répétitive : le personnage principal va voir A puis B, C et D. Ils vont dans un pub A puis B, C etc... Voyant la limite et la pauvreté du sujet, des scènes de baston arrivent assez vite pour donner un peu de piquant. Sauf que comme film d'action il y a quand même mieux. Quant à la partie fantastique directement inspirée de "Body snatchers", elle est complètement loupée car complètement nulle dans sa narration (c'est bête... mais ça m'a fait penser au "Gendarme et aux extraterrestres"...). Et c'est le deuxième reproche. "Shaun of the dead" fusionnait finalement avec les films qu'il tournait en dérision. Il devenait dans sa dernière partie un véritable film de zombies (jusqu'à en perdre son humour ravageur) aussi gore et stressant que la plupart de ses modèles. Dans "Le dernier pub avant la fin du monde" ce n'est pas le cas, la paranoïa, principal moteur de stress des "Body snatchers", n'est jamais exploitée (à l'exception de la scène de boîte de nuit plutôt réussie). Et que dire de la fin sinon qu'elle ne semble être que le résultat d'une panne de scénario ?
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 22 septembre 2013
    J'ai ri du début à la fin, quel bon moment ! Les échanges d'amis ivres sont très drôles et tristement justes... Vivement ma prochaine tournée des bars !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 septembre 2013
    Sans conteste LA comédie de l'année! Tout est parfait dans ce film, des acteurs à la musique en passant par la réalisation. Le scénario est sympa et bien trouvé, les dialogues sont hilarants, les scènes d'action très réussies (aussi bien en terme de cadrage que de montage), les acteurs sont tous parfaits... Bref: À voir d'urgence!
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 22 septembre 2013
    Ce trio so british capte à nouveau notre intérêt, cette fois-ci à litres de bière et autres délires où s'affrontent humanoïdes et losers magnifiques. La fin un poil grotesque vient gâcher l'ensemble. Dommage, car l'on assistait à un grand film.
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