Derniers Avis : Le Dernier pub avant la fin du monde - Page 15

nul nul nul une daube finie, j'ai littéralement perdu 2h de ma vie. a ne pas voir vraiment nul et l'histoire d'une nullités hallucinante. je suis un grand cinefile mais la faut pas abuser...

Simon Pegg et Nick Frost les 2 compères de Shaun of the dead repartent en vrille sur un scénario tout ce qu'il y a de plus nul (allez faire unn film dont le postulat de base est de faire le tour de tous les bars d'une ville en 1 soirée ^^) et arrivent à le détourner sur une farce fantastique assez hallucinée et hallucinante qui en ravira plus d'un

La troisième collaboration entre le réalisateur Edgar Wright et les comédiens Simon Pegg et Nick Frost est partiellement voire en grande partie une déception. Oui, après le rafraîchissant et délirant Shaun of the Dead et l’intrépide Hot Fuzz, l’on était en droit d’attendre une conclusion à la hauteur des deux films cités ci-dessus. Ce n’est, selon moi, absolument pas le cas. Le succès est-il monté à la tête du réalisateur britannique? Difficile à dire tant je me suis retrouvé confus face à un film qui ne fait rire, en bref, qu’à cinq ou six reprises. Insuffisant au vu des délires précédent de cette noble association britannique. Pourtant, le sujet abordé avait de nombreux atouts, attraits, alors que débutait une tournée des pubs prometteuses de cinq vieux copains que la vie à séparer.

Le personnage de Gary, alias Simon Pegg, est pour tout dire le seul à sortir du lot, malgré sa récurrente lourdeur, fait étrange. Le reste de la bande, qu’il s’agisse de l’habituel Nick Frost, des inconditionnels que sont notamment Paddy Considine ou encore Eddy Marsan, le tout est sacrément timide. Les quatre protagonistes ont en commun de ne pas sentir leur escapade aux cotés de Gary, et chacun n’est foncièrement pas très différent de son compagnon de route. L’on pouvait pourtant s’attendre à une vitrine de personnages délirants de la part d’Edgar Wright, mais le cinéaste semble s’apitoyer sur le sort d’un éternel adolescent qui fait parfois d’avantage mal au cœur que rire. Dès lors, Simon Pegg fait le crétin, trop sans doute, et ses compères sont parfois à la limite de l’inexistant, chacun tirant la même gueule révolue face aux lourdeurs de leur ex-collègue de lycée.

Alors que la tournée des bars s’annoncent pour le moins ennuyeuse, voilà que notre troupe découvre que leur patelin d’origine est régi par des robots extraterrestres. Pourquoi pas, alors même que la première confrontation entre nos gus et les étrangers est jouissive tant elle castagne. L’on peut dès lors se réjouir des effets spéciaux amorcés ici et le tout perdurera tout du long. C’est malheureusement un final d’une lourdeur décapante qui vient tuer dans l’œuf la qualité du film, une comédie qui n’en n’est que partiellement une. Dur constat de voir jurer pour rien nos trois survivants face à une grande lumière pour que finalement tout explose. Le fait d’y voir un signe de révolte social n’y amène pas grand-chose. Oui, le monde est sans doute trop banalisé, les lois sont certainement trop dures voire stupides, mais dont-on se bourrer la gueule pour faire tout juste, pour vivre.

Des défauts, The World’s End en fait une collection. Malgré tout, le film est léger, certaines répliques valent leur pesant de cacahuètes. Ne jetons pas de pierres sur l’ambulance, voilà un divertissement agréable et pour le moins original, c’est déjà ça de pris à l’ennemi. Oui mais aussi délirant soit-il, le film n’est pas le digne successeur de ses aînés. Cela reste mon avis personnelle, que l’on y reproduise ici le même schéma ou pas. Thimoty Dalton est remplacé par un autre James Bond, à savoir Pierce Brosnan, la cadre est similaire aux précédents, les acteurs sont des habitués du genre mais l’on n’y est pas, du moins pas autant. Dommage. 10/20

Attendu depuis six ans, ce dernier volet de la trilogie "Cornetto" commencée avec "Shaun of the dead" se démarque des précédents opus sans pour autant perdre l'esprit réjouissant qui a fait le succès d'Edgar Wright. Celui-ci s'inspire de son adolescence en y ajoutant un zeste de science-fiction afin de nous offrir un cocktail comme seul lui sait les faire : serti de références (mais moins fortes que les précédentes), d'acteurs en grande forme (Simon Pegg en homme qui veut revivre le meilleur moment de sa vie en faisant la tournée de 12 pubs différents en une nuit, Nick Frost qui se retrouve avec un rôle sérieux pour une fois ou encore Paddy Considine, acteur excellent bien trop rare) et de répliques acérées qui font mouche à chaque fois. En effet, le débit des dialogues est implacable et quand ça ne fuse pas, Wright nous livre d'impressionnantes et saisissantes scènes d'action souvent filmées en longs plans qui nous permettent de voir combien l'action est bien chorégraphiée. Et si sa réalisation est plus sèche, elle s'adapte à son histoire qui prend parfois des tournures sérieuses en nous délivrant une morale sympathique loin de nous prendre la tête. De plus en plus frénétique au fil de son déroulement, "Le dernier pub avant la fin du monde" est pur plaisir de cinéma souvent drôle et très rythmé, mené de bout en bout par une mise en scène parfaitement maîtrisée et par un casting qui nous réserve de belles surprises (Pierce Brosnan, David Bradley, Rosamund Pike). Un final à la hauteur de la trilogie.

C'est décidé, Simon Pegg prend sa place dans mon panthéon. Un très bon moment, un grand moment !

Quelques bonnes scènes drôles mais globalement c'est un gros bordel sans queue ni tête. Et une fin mode WTF. Déçu globalement.

Avec "Le dernier pub avant la fin du monde", Edgar Wright signe une nouvelle comédie paranoïaque à dimension fantastique. Après les zombis de "Shaun of the dead", nous voilà avec des extraterrestres qui nous réduisent à l'état de robots dans un scénario très proche de "L'invasion des profanateurs de sépulture", déjà moult fois décliné au cinéma. Il en profite pour nous livrer un avertissement clair contre les NTIC (nouvelles technologies de l'information et de la communication) comme vectrice d'une certaine uniformisation et décérébralisation des masses et prôner un retour vers plus de simplicité ("C'est pas facile, mais c'est plus simple" et plus sain !).

j'avais kiffé hot fuzz mais là Simon Pegg est vraiment insupportable surjoue à mort t'as envie de lui dire mais ferme ta putain de gueule même si peut être c'est le real qui la dirigé comme ça .j'ai trouvé ça facile et pas top , dans la crétinerie y a Dumb and dumber et frangins malgrés eux dont je suis un inconditionnel et c'est du trés haut niveau mais j'ai trouvé l'histoire les blagues trop faciles je me suis emmerdé j'ai pas beaucoup rit c'est devenu bien lourdingue

Edgar Wright et moi c'est un peu compliqué. Le premier film que j'avais vu de lui c'était Hot Fuzz que j'avais bien aimé, puis j'ai vu Shaun of the dead, considéré par beaucoup comme son meilleur, qui m'a beaucoup déçu, et enfin j'avais vu au ciné Scott Pilgrim qui était vraiment sympa. Bon, et bien le dernier pub avant la fin du monde est vraiment plutôt raté pour moi.
Le film est, à la base, une sorte de réunion nostalgique (mais version humour quoi) d'amis d'enfance qui n'ont plus grand chose en commun (à noter que le personnage principal est insupportable. Il est censé être drôle, il ne l'est pas. Il est censé être touchant... il ne l'est pas). Puis le film bascule vers un truc complètement fou (et c'est plutôt sympa ce virement soudain) mais qui m'intéresse pas non plus. C'est un film vraiment faible et assez peu inspiré malgré ce qu'il voudrait faire croire.

Depuis "Shaun of the dead", on attend avec impatience toutes les productions du trio Edgar Wright, Simon Pegg et Nick Frost. "Hot Fuzz" et "Paul" (réalisé par Gregg Mottola) n'ont pas déçu, loin de là. C'est donc pleinement confiant que le fan se ruera sur ce "Dernier pub avant la fin du monde" au titre très prometteur. La déception est à la hauteur des espoirs, tant dès le début on sent que quelque chose ne va pas. Tout ce qui fonctionnait dans les trois films précédents parait ici plat et sans consistance. La faute sans doute au scénario trop proche de celui de "Shaun of the dead" qui donne une impression de déjà vu et qui n'a sans doute pas permis l'émergence de gags aussi hilarants. Les acteurs enfin, semblent absents et pour le coup complètement en phase avec le propos du film qui narre le débauchage par leur ancien pote de lycée de quatre quadragénaires rangés des voitures. Nick Frost, Paddy Considine et Eddie Marsan pourtant excellents acteurs semblent anesthésiés et ce n'est pas l'enfilade de bières du "barathon" proposé par Simon Pegg qui va les réveiller bien au contraire. Simon Pegg semble lui aussi à la dérive agitant ses bras comme des moulinets pour sortir tout le monde de ce cauchemar, en vain. L'arrivée des robots qui ont envahi le patelin de leur enfance n'apportera pas le regain d'énergie attendu, ne faisant qu'ajouter à la confusion. Ce désastre est-il un simple incident de parcours dû à un scénario indigent ou plus profondément le signe que le trio doit orienter son inspiration vers d'autres territoires ? Aux intéressés d'y répondre avant une prochain collaboration. En attendant, voyez ou revoyez "Paul" ou "Shaun of the dead"

La parfaite conclusion à la trilogie Corneto ! Edgar Wright aura réussi à parfaire sa trilogie des films de genre, en démontant complétement les codes et lignes scénaristiques en trois films. Ce dernier tour de piste pour le trio Wright - Pegg - Frost est peut être le plus réussi des trois d'ailleurs. Un excellent film sur le passage à l'âge adulte, qui n'arrive peut être jamais. La nostalgie trop importante qui en découle et le blocage que l'on fait, combiné à une excellente comédie de science fiction qui se termine, comme les trois autres films, d'une façon complétement improbable. On rigole, on est surpris, on est fasciné et surtout on découvre encore une fois un trip totalement dément, avec ces personnages atypique mais toujours sympathiquement normaux. Eux, c'est nous. Donc forcément, tout le monde s'y retrouve. Encore un excellent film de Wright. S'en est presque insolent.

Trois années après l'énorme bijou livré par Edgar Wright - "Scott Pilgrim" -, celui-ci remet le couvert en réalisant "Le Dernier pub avant la fin du monde", renouant ainsi avec le célèbre duo Simon Pegg/Nick Frost qu'il avait déjà mis en avant précédemment - "Shaun of the dead", "Hot Fuzz". Sous ses airs de comédie complètement décalé et absurde, le film aborde quelques thèmes intéressant - refus de vieillir, dépression -, permettant de ne pas en faire une simple comédie stupide. S'il n'est jamais vraiment hilarant, il en demeure plutôt drôle dans l'ensemble, grâce à un quintette d'acteurs qui a déjà fait ses armes dans le genre. En somme, rien de révolutionnaire dans l'absolu, mais agréable à regarder.

Un film surprenant dont on ne peut connaitre la fin avant de l'avoir vu, et juste pour ça c'est un plaisir.
PLV : un film original

Après nous avoir fait hurler de rire avec le mythique Shaun of the Dead et le très bon Hot Fuzz, Edgar Wright continue dans la réalisation déjantée et nous présente son dernier bébé : une parodie de Science Fiction.
On retrouve un peu le mordant de ses précédents films, et bien sûr le duo Pegg/Frost qui fonctionne à merveille... Mais il manque un certain charme et sans doute un attrait du réalisateur pour les films SF bien moins marquant que les films de zombies ou d'action.
Dommage qu'il n'ait pas décidé de conserver juste les 2 acteurs centraux des 2 premiers films.
Il reste donc une parodie plutôt banale qui vous fera simplement esquisser quelques sourires tout au plus.

C'est le dernier film de la trilogie Pegg / Frost. Après deux films calamiteux et archi décevants ("attack the block" et "Paul"), on retrouve nos deux compères dans un film assez similaire à Shaun of the dead (ex : scénario délirant, importance du pub..). Le dernier pub avant la fin du monde est pour moi un cran en dessous de Shaun of the dead, mais un cran au dessus de Hot Fuzz. Certains passages sont hilarant et la psychologie des personnages est assez fine. Un film à voir pour passer un vrai bon moment de divertissement.