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dougray
238 abonnés
1 904 critiques
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3,0
Publiée le 24 février 2014
Dernier volet de la trilogie Cornetto du génial trio composé du réalisateur Edgar Wright et de ses deux acteurs fétiches Simon Pegg et Nick Forst, ce "Dernier Pub avant la fin du monde" avait une sacré gueule sur le papier. Après les zombies de "Shaun of the dead" et les buddy movie de "Hot Fuzz", le trio s’attaquait à un nouveau sujet tout aussi propice à leur délires geeks qui parlent si bien à leurs fans (dont je fais partie)... à savoir la tournée des pubs entre potes, auquel viennent s’inviter une horde d’extraterrestres ! Un pitch complètement barré donc, mais qui fonctionne parfaitement pour peu qu’on ne soit pas réfractaires à l’humour de la trilogie. C’est donc avec un plaisir coupable qu’on retrouve ces dialogues hilarants, à la fois ciselés et bourrés de références, ces running gags à la pelle (le remplacement des pubs d’antan par des franchises !), cette mise en scène inventive et rythmée qui prend place dans des décors pourtant si plan-plan de la campagne anglaise, cette invraisemblable émotion qu’on nous ferait presque pleurer (exploit déjà présent dans les deux précédents opus avec, notamment, la fameuse scène du "Shaun, je m’excuse") ou encore cette galerie de personnages extraordinairement drôles. Pour ce dernier volet, Edgar Wright a fait les choses en grand puisqu’il a adjoint à ces deux vedettes habituelles, un casting ahurissant. Ainsi, autour d’un Simon Pegg monstrueux en looser magnifique qui refuse de faire le deuil de sa jeunesse (l’acteur prouvant ainsi que seul Edgar Wright sait faire de lui autre chose qu’un comique de service) et d’un Nick Frost en banquier traumatisé par ses excès passés, on retrouve Paddy Considine en éternel rival, Martin Freeman en son oreillette collée à l’oreille, Eddie Marsan en flippé du groupe, Rosamund Pike en frangine, David Bradley en vieil ivrogne ou encore Pierce Brosnan en ancien prof. Difficile, dès lors, de ne pas se laisse embarquer par cette bande dans leur tournée des pubs ! Quant à l’intervention pas forcement attendue des extra-terrestres, elle aurait pu être parfaitement, ridicule et hors de propos entre les mains d’autres scénaristes. Néanmoins, le talent du trio rend non seulement cette invasion silencieuse acceptable mais, surtout, la rend évidente au vu de leurs thèmes de prédilection. Malheureusement, "Dernier Pub avant la fin du monde" restera incontestablement le mois bon épisode de la trilogie Cornetto, et ce pour une simple raison : une fin bavarde et ratée ! Pourquoi se livrer à ce long plaidoyer un peu creux et surtout, pourquoi avoir été aussi jusqu’auboutisme en achevant le film sur spoiler: un futur post-apocalyptique au lieu, par exemple, de laisser entendre que l’invasion extraterrestre n’était rien d’autre qu’un délire d’ivrogne dû à l’ingurgitation excessive de bière ? Une telle fin aurait été plus subtile et aurait permis le retour spoiler: des personnages "remplacés" par leur clone alien . Au lieu de ça, spoiler: ces disparus sont finalement annoncés comme morts (ce qui fait un peu tâche dans une comédie) et le futur de l’Humanité parait bien sombre . Ce final est, ainsi, en parfait décalage avec le reste du film et m’a empêché de totalement apprécier ce "Dernier Pub avant la fin du monde" comme ses illustres prédécesseurs. La trilogie Cornetto s’achève sur sa moins bonne note… Dommage !
Voilà qu'Edgar Wright et ses deux mousquetaires bouclent apparemment leur trilogie Cornetto avec "Le dernier pub avant la fin du monde", un pastiche des films d'invasion extra-terrestre chers aux débuts du cinéma (on pense sans cesse à "La quatrième dimension"). Et quelle magnifique façon de tirer sa révérence ! Ce film c'est le résultat d'un style arrivé à maturité, le style "Edgar Wright". L'humour n'est pas sans rappeler celui des deux précédents opus lorgnant même un peu vers le "Scott Pilgrim" en plus abouti cela dit, s'essayant à toutes formes de comique qu'il s'agisse de parole, de geste, de situation, de répétition...les dialogues sont réglés comme du papier à musique, le débit de blagues est affolant mais Wright nous prouve une fois pour toutes qu'il est l'homme de la situation. Il arrive à être plus rapide dans son rythme que Michael Bay et pourtant plus compréhensible. Malgré le nombres alarmant de gags à la minute, quasiment aucun ne tombe à l'eau, c'est fou ! Faut dire qu'il cadre toujours aussi précisément ses plans. Une autre pièce maîtresse de cette humour est le crescendo permanent dans lequel s'enfonce le délire, aussi le mieux à faire est encore de visionner le film sans rien en connaitre, même pas une bande-annonce ! Une bonne partie du plaisir vient de la découverte et du fait que l'intrigue reste imprévisible du début à la fin avec en prime la meilleure résolution de conflit jamais vue, c'est si simple que c'en est génial ! Si vous tenez à en savoir un peu plus, dites-vous simplement que Simon Pegg et Nick Frost dans des chorégraphies dignes de Jet Li c'est juste jouissif. Pegg et Frost dont l'alchimie n'a d'ailleurs jamais été aussi palpable, ils sont pour beaucoup dans la force du film, à l'écran comme au script. Parce que oui en plus de faire des miracles avec une caméra dans les mains et d'être, avec Tarantino et Marc Webb, LE réalisateur qui sait se démerder avec de la musique, Edgar Wright sait toujours aussi bien s'entourer. Pegg et Frost au scénario font preuve d'étonnamment de subtilité quand il s'agit de décrire l'évolution d'une amitié, c'en est même étonnamment touchant et sincère par moment. Le personnage de Pegg est le plus intéressant mais des cinq potos aucun n'est délaissé par les scénaristes. Un film qui se révèle donc aussi drôle que touchant, s'autorisant même un commentaire sur la globalisation et le confort moderne au dépends de l'ancien, un commentaire tellement bien appuyé par des touches visuelles très modernes voir sci-fi mêlées à une certaines classe à la "vieille Angleterre", mais qui aurait peut-être mérité un peu plus d'attention tant qu'à être abordé. Mais tant qu'un film est excellent, on ne va pas lui reprocher de ne pas être mieux. L'un des incontournables de l'année 2013.
Après Hot Fuzz et Shaun of The Dead, le britannique Edgar Wright nous est revenu avec The World’s End (ou le titre incroyablement mauvais en français : Le Dernier Pub avant la Fin du Monde ).
Jouons cartes sur table, ce nouveau film qui réunit une fois de plus Simon Pegg et Nick Frost déçoit, et pour de multiples raisons. Les voici.
1) Un duo rouillé
Les inséparables Simon Pegg et Nick Frost sont donc une fois de plus réunis, mais, cette fois-ci, l’étincelle qui faisait leur charme dans Hot Fuzz, Shaun of the Dead et Paul n’est plus là. Chacun joue son personnage avec tellement d’excès, que le résultat est bien plat, et à aucun moment ils ne parviennent à faire ressentir cette amitié qui est censée les lier depuis les prémices de leurs adolescences. Du coup, la relation qu'on entretient avec son chat paraît plus profonde que la leur. Et ça, c'est triste.
2) Quand la parodie se moque d’elle-même
Hot Fuzz transformait une intrigue policière en enquête déjantée, loufoque et hilarante, Shaun of The Dead faisait vivre les invasions de zombies en véritable partie de plaisir, et The World’s End est supposé tourner en dérision spoiler: une invasion extra-terrestre , ainsi que l’omniprésence d’Internet et des réseaux sociaux. Seulement, Edgar Wright ne fait sourire que lorsque il ressort ses vieilles blagues, et finalement, il reste enfermé dans le souvenir de ses anciens films, et on se retrouve à ne rigoler – et que par nostalgie – que lorsque il réalise des clins d’œil envers ses anciennes réalisations. A peine égocentrique l’Edgar.
3) What the F*** ?
Des têtes de Playmobils qui se dévissent, de l’encre à la place du sang, des bouches projecteurs, 3 filles super hot, des explosions et un complot mondial. On ne vous en dit pas plus, mais parfois, trop c’est too much.
4) 87ème Round : FIGHT !
Il faut bien avouer que les scènes de combat au corps à corps sont bien foutues, et on remarque avec plaisir le petit clin d’œil à Matrix qui se glisse lors de la première baston. Seulement, des...
Une comédie plutôt déjantée et bien sympathique ponctuée de quelques bonnes trouvailles, mais l'ensemble ne casse pas des briques non plus. Le moins réussi de la trilogie.
Le dernier pub avant la fin du monde conclut la trilogie blood and ice cream , et part elle sur une déception ou sur le meilleur film de la trilogie cornetto . Et pour moi c est le meilleur des 3 films. Pourquoi , par ce que l humour est bien travaillé meme si ça commence a se rechauffer et aussi pour les personnages . Les personnages jouer par simon pegg dans shaun of the dead et hot fuzz était des role sérieux les personnages de simon pegg était sérieux et les personnages de nick frost était des personnages délirant dans shaun of the dead et hot fuzz . Et la c est carrément l inverse simon pegg joue un alcoolique délirant a souhait et nick frost joue un personnages sérieux donc je sais pas si c est edgar whright qui a eu cette idée de changer le coté des personnages des 2 acteurs mais sinon bien joué . Il y a aussi d autre personnages comme paddy considine qui a joué dans hot fuzz et martin freeman qui lui aussi a joué dans hot fuzz .Et aussi le dernier pub avant la fin du monde comporte quelques clin d oeil a vous de les découvrir. Sinon la trilogie blood and ice cream s achève très bien puisque le dernier pub avant la fin du monde et le meilleur de la trilogie . Mais c est tellement dommage que cette aventure de pegg / frost et whright se termine . Donc je vous dit que ce film est excellent et a regarder aussi avec les autres film de la trilogie sur ce je vous dit salut .
Un peu déçu. Il reste un bon film, mais il n'est malheureusement pas à la hauteur de ses deux autres compagnons de la blood and ice cream trilogy. Moins hilarant. Les références aux deux premiers volets font cependant sourire.
Comédie en même temps ultra barjo et tendre, génie du montage, hilarité sans aucune sobriété, Edgar Wright continue de nous prouver son génie du montage et livre une fin à la hauteur et bourrée de fun à sa trilogie Cornetto. La meilleure comédie de 2013.
Pourquoi la majorité dit que ce film est le moins réussis de la trilogie Corneto ? Pour moi, c'est presque le meilleurs (avec Hot Fuzz).
Aprés avoir fait un film de zombie et policer, Edgar Wright se lance dans le film catastrophe.
Tout est génial dans ce film , les personnages qui sont attachants (notamment celui de Simon Pegg qui est excellent). D'ailleurs casimment tout l'humour du film vient de lui. De plus, la confrontation Simon Pegg/Nick Frost (qui doit être la meilleurs scène du film) est génial.
C'est d'ailleurs là que j'ai compris à quelle point Edgar Wright savait manier aussi le tragique, et ce aussi bien que le comique.
Et que dire de l'épilogue ? Complétement WTF mais juste sublime.
L'humour est dans le même genre que celui de Hot Fuzz et Shaun Of The Dead (dont j'ai déjà fait la critique). Donc si vous avez aimé Hot Fuzz et Shaun Of The Dead : foncer voir celui ci !
Malheureusement pour moi, je n'ai pas pu le voir au cinéma car il ne passait pas dans le coin. Donc je me suis rabattu sur itunes pour enfin le voir. Retrouver ce duo Pegg-Frost n'est que du bonheur pour moi. Evidemment, je l'ai regardé en VOST (c'est ce que je fais de plus en plus) donc l'accent anglais ne me quitte plus après, lol. La déconne y est toujours, les cascades de Pegg me font toujours mourir de rire. Je tire mon chapeau à toute l'équipe qui nous a donné de très bons moments de combats, très bien chorégraphié. Nick Frost est excellent entre les coups de boule et coup de ventre. La BO est super, je dois dire que la chanson "I'm free" de Soup Dragon me reste bien dans la tête.
La trilogie Cornetto se conclut en beauté avec ce mélange de trash et d'humour, qui redéfinit les codes de la comédie avec la fin la plus étonnante que j'ai jamais vu.
Edgar Wright nous faisait saliver à l'attente du dernier opus de la trilogie « Blood and Ice Cream » après ses excellents « Shaun of the Dead » et « Hot Fuzz », avec le duo décapant Pegg/Frost. Reprenant l'art de la parodie, ici du film de science-fiction (directement inspiré de « L'Invasion des Profanateurs de Sépultures » de Don Siegel, après celle des films de zombies puis des polars violents), il nous renvoie dans le microcosme populaire britannique et ses pubs, qui dans les trois films sont le décor central de l'intrigue. Le film se coupe en deux parties distinctes, tout d'abord les retrouvailles de cinq amis de lycée dans leur ville d'origine à l'initiative du seul qui soit resté ado dans sa tête (joué par Simon Pegg) et qui souhaite terminer le barathon (une pinte dans douze pubs en une soirée) loupé vingt années plus tôt ; puis la découverte d'une invasion extra-terrestre où tout part en vrille avec une suite ininterrompue de courses poursuites et de bastons. On peut noter et savourer le fait que le délire scénaristique progresse parallèlement au taux d'alcoolémie des personnages. Même si on n'a plus la même qualité parodique que dans les deux premiers films, l'humour est tout aussi réussi grâce à la qualité des réparties. Wright nous ressort le thème de la dénonciation de l'uniformisation (à travers notamment l'aspect des deux premiers pubs puis de la pensée unique et de notre mode de vie, même s'il était plus incisif dans « Shaun of the Dead ») ainsi que de la crise de la quarantaine (symbolisée par le personnage joué par Pegg, ici beaucoup moins percutant). Le film est globalement correct mais quelque peu décevant par rapport à l'attente.
j'avais kiffé hot fuzz mais là Simon Pegg est vraiment insupportable surjoue à mort t'as envie de lui dire mais ferme ta putain de gueule même si peut être c'est le real qui la dirigé comme ça .j'ai trouvé ça facile et pas top , dans la crétinerie y a Dumb and dumber et frangins malgrés eux dont je suis un inconditionnel et c'est du trés haut niveau mais j'ai trouvé l'histoire les blagues trop faciles je me suis emmerdé j'ai pas beaucoup rit c'est devenu bien lourdingue
j'avais kiffé hot fuzz mais là Simon Pegg est vraiment insupportable surjoue à mort t'as envie de lui dire mais ferme ta putain de gueule même si peut être c'est le real qui la dirigé comme ça .j'ai trouvé ça facile et pas top , dans la crétinerie y a Dumb and dumber et frangins malgrés eux dont je suis un inconditionnel et c'est du trés haut niveau mais j'ai trouvé l'histoire les blagues trop faciles je me suis emmerdé j'ai pas beaucoup rit c'est devenu bien lourdingue