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kal-el 02
115 abonnés
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3,0
Publiée le 15 juillet 2014
Après avoir réalisé Shaun of the Dead et Hot Fuzz, Edgar Wright concocte un mélange de ces deux titres avec Le Dernier pub avant la fin du monde. Le duo Simon Pegg et Nick Frost fonctionne toujours aussi bien même si Gary est parfois lourd. Le personnage n'égalise pas à côté de Shaun et de Nicholas. La majorité des gags sont repris des deux précédents films, utile pour clore la Cornetto trilogy mais plus de bonnes vannes auraient été les bienvenues. Un bon divertissement.
Dernier opus de la fameuse trilogie Cornetto d'Edgar Wright, Le Dernier pub avant la fin du monde est selon moi le deuxième meilleur film, derrière l'excellent Hot Fuzz et devant le surestimé Shaun of the Dead. Cette fois-ci, on embarque dans une folle tournée des bars de cinq anciens amis qui se retrouvent après de longues années à tracer chacun leur propre chemin. Et bien que le récit jusqu'au milieu du film semble un peu répétitif, la qualité de montage de montage du réalisateur ainsi que d'excellents dialogues imposent un rythme effréné au long métrage, ce qui constitue la force comique principale de ce genre de production. Et dans le présent, cela fonctionne plutôt bien. À partir de la révélation majeure, le film prend une tournure totalement insensée et assume pleinement d'aller jusqu'au bout de son délire. Jusqu'au point de nous offrir l'une des fins les plus osées qu'il m'ait été donné de voir : une résolution juste géniale. Rien que pour ce dernier acte fantastique, Le Dernier pub avant la fin du monde mérite qu'on y jette un coup d’œil. Rajoutez en plus de cela, un scénario extrêmement bien ficelé qui réussit à mélanger avec succès moments de comédies et séquences à portée plus lourde et sérieuse, accompagné d'une bande son impeccable, et un cadrage millimétré donnant lieu à des scènes d'action jouissives. La joyeuse bande de Simon Pegg et Nick Frost nous emmène à nouveau dans une aventure encore plus folle que les précédents volets, qui s'avère sûrement être l'une des comédies les plus réussies de l'année 2013.
Dans la même veine que Shaun of the Dead et Hot Fuzz, Edgar Wright termine magistralement bien sa trilogie, étonne toujours par son mélange des genre, et signe ici une oeuvre des plus intelligentes. Simon Pegg et Nick Frost, toujours excellents, sont accompagnés d'une sympathique ribambelle d'acteurs. De nombreuses références, de bonnes musiques, des sketchs déjantés.... Un charmant cocktail !!! A boire sans modération !!
Film vu en famille, assez incompréhensible. Beaucoup de scènes de bagarres inutiles et longues, aucun sourire ni rire, histoire dénuée de tout sens. Une perte de temps.
On a tous un film qui nous tient à coeur, c'est souvent un bon film que l'on voit subjectivement comme un chef-d'oeuvre. Le mien c'est Le Dernier pub avant la fin du monde d'Edgar Wright. J'aimerais vraiment entrer dans les détails en parlant de la réal du casting ou du scénario mais force est de constater que je me répète en disant que tout est parfait. Rares sont les films pouvant manier autant de tonalité (drame, humour, science fiction, action) sans se décrédibiliser c'est pour moi l'atout majeur du film et de plus le film se paye le luxe d'avoir une résolution de conflit épique avec le meilleur discours drôle et profond que j'ai jamais vu. J'ai conscience que ma fascination envers ce film n'est pas l'avis commun des spectateurs mais je conseille malgré tout ce film, pour les moins chanceux ce sera au moins un film de SF drôle et divertissant.
Le Dernier pub avant la fin du monde : Avec le réalisateur Edgar Wright et son équipe d’acteur fétiche : Simon Pegg, Nick Frost… Je croyais avoir tout vu en termes de gros délire avec « Shaun of the Dead, Hot Fuzz… ». Mais alors la, ce film atteint des sommets, c’est du grand n’importe quoi, du délire a l’état pur ou tout est permis pour nous surprendre et rendre ce film culte. Et franchement, il y a qu’avec cette équipe de fou que je vois ça. Car c’est tellement hors du commun mais c’est ça qui est bon. Car, ça partait comme un very bad trips puisque pour la petite histoire, c’est une bande de pote qui plusieurs années après le lycée, ils vont retenter le barathon : 12 pub, 12 cuite, vont t’ils y arrivaient ? Jusque la, tous va bien mais c’est la qu’arrive « hommage » aux anciens films d’envahisseurs et la, le film par totalement en live. Humour complètement délirant mais assumé avec des répliques qui fondent mouche. Et il y a un fond malgré tout ça, avec une bonne morale sur l’humain… je n’en dis pas plus. Et étrangement, il y a de l’action super bien chorégraphiés. Grâce au talent du réalisateur qui encore une fois nous donne une mise en scène aux petits oignons. Des scènes d’actions en plans séquences, un montage américain qui est toujours aussi jouissif… Et puis, les acteurs sont encore une fois bien barrés mais au moins, ils s’amusent et nous aussi. Donc voila, une comédie qui tout droit sorti de nulle part. J’avouerais que vers le milieu du film, on commence à comprendre le délire et une petites lassitude arrive mais rien de grave car c’est tellement unique qu’on en redemande.
Je suis un peu déçu de ce film mais j'ai du mal à trouver comment l'améliorer. La première phase traine pas mal en longueur et on se demande où ils veulent en venir. Après c'est aussi grâce à ça qu'on est vraiment surpris de la tournure des événements. Est-ce que ennuyer le spectateur justifie un des retournements les plus improbables de l'histoire du cinéma... à vous de juger. spoiler: La deuxième phase s'attarde un peu trop sur les "combats". Je pense que l'équilibre d'un "Shaun of the Dead" aurait permis de gagné en dynamisme. Après le problème majeur de cette partie c'est son manque d'ambition : quitte à faire dans le délirant on aurait aimé partir encore plus loin ;-)
Le duo comique anglais des plus célèbres reviennent pour une nouvelle comédie folle et décalé comme ils en ont l'habitude de créer. Malheureusement, ils nous aussi habitué à mieux et moins caricatural. "Le Dernier Pub Avant La Fin DU Monde" c'est les retrouvailles de cinq potes de lycées qui se retrouvent pour finir la tournée des pubs de leur ville d'enfance qui n'ont pas réussi à aller jusqu'à la fin du monde. Comme toute bande, c'est par l'initiative de celui qui n'a pas évolué et qui est resté la star du lycée de l'époque alors que ces anciens potes ont tous une vie rangée d'adulte. J'ai toujours du mal face à ces personnages et qu'on retrouve trop souvent au cinéma et qui me fait hérissé le poil. Simon Pegg et Nick Frost tente ce tour de manivelle mais se casse très vite. Le personnage de Simon Pegg est très irritant et rare sont les moments ou on rigole à gorge déployé. Cette tournée ne pouvait pas passer par l’ordinaire avec ce duo et c'est dans une ville envahi par des aliens et sur fond de fin du monde que ce groupe va tenter d'aller au bout des 12 pubs et finir torché et réussir à sauver la planète.
Pour le troisième opus de sa saga Cornetto (que l'on espère loin d'être finie), l'équipe composé entre autres d'Edgar Wright, Nick Frost et Simon Pegg rendent hommage à tout un pan du cinéma de science-fiction façon invasion extraterrestre old school. Si leurs précédentes livraisons (''Shaun of the Dead'', hommage au film de zombies ; et ''Hot Fuzz'', reprenant l'actioner des années 80) ne m'avait que peu enthousiasmé, cette troisième fournée est une telle surprise, une telle claque qu'elle se place directement au rang des meilleurs films sorti cette année 2013. Déjà parce que le concept est mortel (cinq potes retournant dans leur village natal afin de faire le marathon des pubs locaux), mais en plus parce que l'équipe offre une vraie leçon de cinéma, preuve d'amour indéfectible aux genres qu'ils transcendent, et offre un tout d'une drôlerie assumée et d'un gigantisme absolu. La BO, elle aussi, joue sur les contrastes et les décalages permanents (Primal Scream, The Doors, Blur, The Housemartins...). Si l'on était pinailleur, on dirait seulement que le dernier quart d'heure sent un peu le tract propagande pour la scientologie, mais en résumé, ''The World's End'' reste un film démentiel, bien supérieur à son pencahnt américain ''This Is The End'', plus centré sur la private joke et la mégalomanie de ces stars jouant leurs propres rôles.
Ultime volet de la génialissime Trilogie Cornetto, The World’s End (Le Dernier Pub avant la fin du monde) est à la science-fiction ce qu’était Shaun of the Dead et Hot Fuzz à deux autres genres (zombie et policier/action respectivement) marquants du cinéma ; on tient donc là un nouveau film truffé de références, parodique sans l’être car aussi sérieux qu’absurde, et surtout décomplexé au possible, fou comme pas deux afin de marquer le coup avec panache. Toutefois, le retour du trio formé par Wright/Pegg/Frost donne lieu à un long-métrage certes excellent, et même original, mais finalement en deçà de ses ainés ; bien entendu il ne s’agit pas d’une déception, loin de là, seulement un humour peut-être moins percutant que précédemment, tandis que l’intrigue se veut quelque peu brouillonne par instants. Pour le reste, le scénario nous plonge dans une virée entre vieux potes d’abord sympathique, démarrant presque sagement, alors que le quintet savamment présenté au préalable se charge de capter notre attention avec une aisance folle ; puis, peu à peu, la SF prend ses quartiers, et le rythme s’emballe au gré des péripéties délirantes vécues par Gary, Andy and co. La transition n’est pas sans rappeler un certain Une Nuit en enfer, et The World’s End n’a alors de cesse d’osciller entre situations déjantées (poursuivre au lieu de fuir, franchement !), répliques comiques et scènes d’action toutes bonnement superbes, le tout drapé d’une ambiance maintenant un suspense constant : parviendront-ils jusqu’au pub final ? Pour en revenir à la réalisation, comme toujours le boulot fourni par Wright et son équipe est un sans-faute, énergique à souhait mais maitrisé de A à Z, notamment au gré de ces fameuses bastons orchestrées à la perfection (plus une BO mettant dans le bain), où les personnages ne vont cesser de se surpasser avec fracas (sans compter l’alcool qui monte…) ; ces derniers sont d’ailleurs fichtrement bien pensés, bien que la part belle soit clairement faite à la paire Andy / Gary, et dans une moindre mesure celle composée de Steven et Sam. De plus, le King offre un contraste non maladroit entre ton joyeux et teneur dramatique, cet éternel adolescent épris de liberté étant attaché à un passé révolu, et dont les pitreries ne sont rien de plus qu’une façade ; bref, les relations entre personnages constituent un aspect très important de The World’s End, et son mérite premier réside en sa capacité à jongler brillamment entre les divers thèmes abordés, tout en rendant hommage au genre de la SF (sans se départager de la marque de fabrique propre à Wright et consorts). Dans l’ensemble on tient donc là un foutoir délirant, quoique confus, haut perché et j’en passe, mais sans conteste digne dernier volet de la Trilogie Cornetto ; et puis, rien que pour les fabuleuses interprétations de Pegg, Frost et cie, ainsi que le gag de la palissade, ç’aurait été un crime que de bouder The World’s End !
Après les jubilatoires « Sean of the dead » et « Hot fuzz », le réalisateur Britannique Edgar Wright clôture sa trilogie avec « Le dernier pub avant la fin du monde ». Peut-être un poil en dessous de ses prédécesseurs, ce film n'en est pas moins excellent. Mélange délirant de comédie et de science-fiction, le scénario nous emmène dans une petite ville anglaise contrôlée par des extraterrestres. Un groupe de potes qui ne se doutent de rien décident de faire la tournée des pubs pour une nuit de folie comme dans leur jeunesse. Les acteurs s'en donnent à cœur joie dans cette histoire à dormir debout dans laquelle humour et action se mêlent étroitement. Le résultat donne des scènes de bagarres extraordinaires, à grands coups de tabourets de bar et autres armes improbables. Entre humains et envahisseurs la course poursuite s'engage... Jusqu'au dernier pub avant la fin du monde. Hilarant !