Avis : Le Dernier pub avant la fin du monde - Page 4

Excellent et déjanté à souhait. Un pur produit de l'imagination où on ne connait pas d'avance le scénario. Tous ceux qui n'ont pas apprécié le petit souffle de liberté de ce film sont des robots extra-terrestre. Les critiques de cinéma sont leurs chefs....il feraient d'aller un peu plus souvent au pub ces black ass holes de l'espace...

j'avais adoré "shaun of the dead", j'avais trouvé sympathique "hot fuzz" et j'ai tout simplement detesté "le dernier pub...". J'ai l'abonnement au ciné donc j'ai l' "habitude" de voir des mauvais films mais à ce niveau là, ça fait des années que je n'avais pas vu ça...
Sans mentir ni exagérer, je n'ai ri pas une seule fois. C'est à peine si j'ai souri une ou deux fois. Seuls trois quatre personnes riaient franchement dans la salle. Fallait il avoir fait soi même la tournée des bars pour apprécier cet "humour" ?
Le film ne se résume pas à voir 5 poivrots faire la tournée des bars mais l'histoire part dans un délire total, du genre Kaboom (pour ceux qui ont eu le malheur de voir ce film). Je n'ai pas du tout adhéré.
Je suis resté jusqu'au bout car j'avais envie de voir comment ça finissait mais si j'avais su, j'aurais évité de perdre deux heures de ma vie.

nul nul nul une daube finie, j'ai littéralement perdu 2h de ma vie. a ne pas voir vraiment nul et l'histoire d'une nullités hallucinante. je suis un grand cinefile mais la faut pas abuser...

Une virée entre potes qui devait être une beuverie monumentale tourne à l'invasion intergalactique. Ce "barathon" vous donne la "gueule de bois" tellement c'est imbuvable. Rien n'est crédible et ces mousquetaires du houblon en deviennent rapidement
ridicules. A aucun moment on ne croit à ces robots au sang bleu qui se dévissent comme une bouteille de bière.
Le tournant fantastique vient soutenir un scénario d'une très grande faiblesse. Les dialogues sont creux et n'arrivent pas à vous décrocher le moindre sourire. Un très gros navet qui ne restera sans doute pas longtemps dans les mémoires.

Edgar Wright et ses deux complices Simon Pegg et Nick Frost bouclent enfin leur trilogie Cornetto,entamée avec "Shaun of the dead",poursuivie avec "Hot Fuzz". On peut noter une belle régularité qualitative,puisque les trois films se valent. Celui-ci est un pastiche des films d'invasion extra-terrestre comme on en voyait dans les années 50,et fustige au passage la standardisation galopante de nos sociétés occidentales. Bien sur,avant tout,on reste dans le domaine de la comédie geek et référencée,qui fait étonnamment preuve de beaucoup de sensibilité(fine observation de l'évolution d'une amitié)et de clairvoyance(pas de happy-end au programme). Gary King,sorte d'ado attardé dans un corps de quadra,est un personnage au pouvoir d'identification imparable. Et Simon Pegg l'incarne en poussant le trait du gars qui ne pense qu'à picoler ses 12 pintes en présence de potes perdus de vues. Attachant. La tournée des pubs,d'abord contrainte et forcée devient une odyssée éthylique en forme de retour vers le passé. Avant que les envahisseurs au sang bleuté n'entrent dans la danse. Tout n'est pas cohérent,des longueurs se font sentir,mais "Le dernier pub avant la fin du monde" est un film définitivement sympathique,et contre-attente le meilleur de l'année dans le registre apocalyptique!

UN BON GROS NANAR SF !
Quelle horreur ces robots "bleus" !

Un film surprenant dont on ne peut connaitre la fin avant de l'avoir vu, et juste pour ça c'est un plaisir.
PLV : un film original

Pour clore la fameuse Trilogie Cornetto amorcée il y a presque dix ans avec Shaun of the Dead, le trio Edgar Wright/Simon Pegg/Nick Frost est de retour pour un dernier film. Ainsi, après le film de zombies et la parodie des films d'action, c'est au tour de l'invasion extra-terrestre d'en prendre pour son grade à travers une nouvelle comédie débridée 100% anglaise où nos deux compères vont être accompagnés par quatre autres lurons en la présence de Paddy Considine, Eddie Marsan et Martin Freeman sans oublier l'ex-James Bond girl Rosamund Pike... Pour cette nouvelle péripétie endiablée, ils vont interpréter une bande d'anciens lycéens inséparables qui n'ont pu réussir un monstrueux barathon dans leur ville natale. Vingt ans plus tard, le plus fêtard d'entre eux va les réunir pour finir ce qu'ils avaient commencé. Mais ils tombent pile au moment où une invasion de robots extra-terrestres ont envahi la petite ville anglaise. Désormais, si certains veulent coûte que coûte rester en vie, leur meneur veut surtout finir ce barathon si important à ses yeux. Et c'est là que va puiser toute la force du film, Le Dernier pub avant la Fin du Monde n'est pas juste une comédie hilarante aux effets spéciaux détonants et aux scènes d'action époustouflantes, c'est aussi et surtout un vrai film de potes, un film sur l'amitié, la vraie, celle qui nous noie dans des remords sans fin et qui perdure années après années malgré les non-dits. Quoi de plus normal que l'instaurer dans un décor apocalyptique ? Edgar Wright et ses deux complices ont réussi à boucler la boucle en proposant un dernier film extraordinairement réussi où l'on rit énormément, où l'on écarquille les pupilles face à des séquences visuellement magnifiques et où on a un pincement au cœur lors de certaines scènes (principalement finales) où l'on découvre que ces acteurs et réalisateur sont en réalité une bande de potes se faisant une gigantesque déclaration sincère, déclaration que chacun d'entre nous pourront faire un jour ou ont déjà fait. Dans l'ensemble, Le Dernier pub avant la Fin du Monde est donc une réussite exempte de toute défaut, bourré de références cinématographiques (au genre ou aux précédents films du trio), totalement déjantée et sans temps mort. Touchant dans le mille, le long-métrage s'avère être tout simplement le meilleur film de science-fiction de l'année doublé d'une de la meilleure comédie. À consommer sans modération.

Dernier épisode de la lignée amorcée avec l'immense "Shaun of the dead", "Le dernier pub avant la fin du monde" s'avère également être une sorte de remake du non moins célèbre "Une nuit en enfer". Situations burlesques, scénario qui bascule dans le fantastique, action... tout semble alors réuni pour donner un film mémorable. Malheureusement, la créativité scénaristique s'épuise trop rapidement pour nous tenir en haleine au delà des trois premiers quarts d'heure. La débauche d'effets spéciaux ne peut compenser ce vide, et les vingt dernières minutes ne sont ni plus ni moins qu'une sorte de chemin de croix cinématographique.

« The World's End », traduit bêtement « Le Dernier pub avant la fin du monde » en version française, conclut la « Trilogie Cornetto », instaurée par le génialissime« Shaun of the Dead » et poursuivie avec l'excellent buddy cop movie « Hot Fuzz ». Edgar Wright reprend les rênes de la réalisation, et signe également le scénario avec Simon Pegg. De l'autre côté de la caméra, le comédien anglais précédemment cité forme de nouveau le duo mythique avec son compère Nick Frost. Le trio, lancé grâce à la série anglaise « Spaced », parachève donc son aventure aujourd'hui même.

Synopsis Allociné : L'histoire débute le 22 juin 1990 dans la petite ville anglaise de Newton Haven : cinq adolescents au comble de l'âge ingrat fêtent la fin des cours en se lançant dans une tournée épique des pubs de la ville. Malgré leur enthousiasme, et avec l'absorption d'un nombre impressionnant de pintes de bière, ils ne parviennent pas à leur but, le dernier pub sur leur liste : The World's End (La Fin du Monde). Une vingtaine d'années plus tard, nos cinq mousquetaires ont tous quitté leur ville natale et sont devenus des hommes avec femme, enfants et responsabilités, à l'alarmante exception de celui qui fut un temps leur meneur, Gary King, un quarantenaire tirant exagérément sur la corde de son adolescence attardée. L'incorrigible Gary, tristement conscient du décalage qui le sépare aujourd'hui de son meilleur ami d'antan Andy, souhaite coûte que coûte réitérer l'épreuve de leur marathon alcoolisé. Il convainc Andy, Steven, Oliver et Peter de se réunir un vendredi après-midi. Gary est comme un poisson dans l'eau. Le défi : une nuit, cinq potes, douze pubs, avec un minimum d'une pinte chacun par pub. À leur arrivée à Newton Haven, le club des cinq retrouve Sam, la sœur d'Oliver pour qui Gary et Steven en pincent toujours. Alors que la fine équipe tente, tant bien que mal, d'accorder le passé avec le présent, une série de retrouvailles avec de vieilles connaissances et des lieux familiers les font soudain prendre conscience que le véritable enjeu, c'est l'avenir, non seulement le leur, mais celui de l'humanité entière, et arriver à « La Fin du Monde » devient le dernier de leurs soucis …

Qui l'eût cru ? « The World's End » est probablement la meilleure comédie dramatique de science-fiction sociale d'action de l'année. Un pastiche déjanté, drôle et émouvant de « L'Invasion des profanateurs de sépultures », qui marinerait dans la sauce « The Thing », assaisonné au piment british. Une poilade générale, orchestrée de main de maître par un metteur en scène brillant, biberonné depuis sa plus tendre enfance à la pop-culture.

Histoire simple au départ : des quadras prêts à s'enfiler des pintes jusqu'au douzième et dernier pub de la ville, à l'occasion d'un barathon disjoncté.

Toutes les vannes font mouche, l'écriture comique hyper dense et les gags graphiques sont parfaitement maîtrisés – la confrontation dialogues truffés de second degré / situations burlesques premier degré au premier plan est absolument divine – la profusion de détails geeks complètement jouissive. Les répliques délirantes à l'anglaise, ambiance « Monthy Pithon » en tête, fusent (« King Gay ») et débordent d'amusements en tout genre : plusieurs contrepètries barrées, humour pince-sans-rire, ou encore running-gag hilarant sur « Gary's Mum ».

Mais « The World's End » n'est pas seulement un rafraîchissant moment de franche rigolade, c'est aussi le déguisement de quelque chose nettement plus viscéral et construit, l'occasion pour les trois comparses de visiter des thématiques plus adultes et plus sombres. Au programme : exploration des conséquences du passage de l'adolescence à l'âge adulte, de la dépendance à l'alcool, de ce qui forge la vie (l'amitié, les amours, les responsabilités...) et ce qu'on choisit d'être. Certains propos déjà abordés en toile de fond dans « Shaun of the Dead » et « Hot Fuzz » – la peur du changement, le refus de l'homogénéisation et la lutte contre le conformisme – sont ici creusés davantage et toujours on ne peut plus d'actualité.

Le jeune prodige trentenaire Edgar Wright, également auteur du chef d'œuvre pop musical « Scott Pilgrim » en aparté, fonctionne à plein régime dans sa mise en scène, par ailleurs ahurissante : effets de montage façon Guy Ritchie, rythme endiablé, narration fluide et transitions variées, scènes d'action spectaculaires (le climax notamment) …

Côté interprétations, on assiste à une admirable réunification de tous ceux qui avaient participé aux précédents volets, les vieux potes Simon Pegg & Nick Frost bien évidemment (parfaits as usual, voire mieux encore, les deux loustics parviennent à nous surprendre en réinventant totalement la bromance, la relation entre leurs personnages changeant en fait du tout au tout entre chaque épisode), mais aussi Martin Freeman (starisé entre temps grâce à la série « Sherlock » et la trilogie « Hobbit »), Rafe Spall, Paddy Considine, Julia Deakin, Patricia Franklin, ainsi que les jumeaux Kevin et Nicholas Wilson. Seul Bill Nighy manque à l'appel, dommage ! Les petits nouveaux s'appellent Eddie Marsan, Rosamund Pike, ou encore l'ex-James Bond Pierce Brosnan (clin d'œil volontaire à « Hot Fuzz », rappelez-vous en effet la présence de Timothy Dalton au générique). Autrement dit, une pléthore de comédiens talentueux et tous plus vivants les uns que les autres.

Une BO aux petits oignons (The Doors, Pulp, Stone Roses, Kylie Minogue …) constituant un personnage à part entière et faisant progresser le récit tel un jukebox, des références à gogo (« les fameuses palissades, récurrentes dans les trois films, qui sans être un simple élément du décor, servent toujours à la narration et surtout à l'insertion d'un gag culte »), des influences venues d'ailleurs (John Carpenter pour le cinéma, les auteurs John Wyndham et John Christopher côté littérature), des combats « Drunken Master » en forme d'hommage au zui quan (la boxe de l'homme ivre) de Jackie Chan (présent dans les remerciements au générique, CQFD) sont indéniablement de précieux atouts, et permettent à « The World's End » d'atteindre les sommets.

Bilan : Edgar Wright, Simon Pegg et Nick Frost enrichissent encore un peu plus le patrimoine du cinéma anglais avec « The World's End », niche SF sociale intelligente et bouleversante, véritable maillon manquant à la chaîne filmique initiée par le film zombie « Shaun of the Dead » et la comédie d'action « Hot Fuzz ».

Anecdote : De nombreuses personnalités du 7è art ont complimenté le film et son réalisateur Edgar Wright, via leur compte Twitter personnel ou en interviews. Parmi les célébrités totalement emballées, on recense : Joss Whedon, Robert Downey Jr, Greg Mottola, Duncan Jones, Rian Johnson, Joe Carnahan, Chris Evans, Ben Stiller, John Landis, Joe Dante, Adam McKay, Alison Brie, Dwayne Johnson, Peter Jackson, Seth Green, Patton Oswalt, Judd Apatow, Patrick Wilson, Damon Lindelof, Alfonso Cuaron, Brad Bird, Joel McHale, Gillian Jacobs, Jamie Bell et James Gunn.

Un sympathique divertissement original et amusant, qui ne se prend jamais au sérieux. Un film totalement délirant et déjanté a l’image du fameux duo.

Sans doute un de mes films préférés !!! Le Dernier Pub avant la Fin du Monde est parfait en tout point : Le casting qui est 5 étoiles; les musiques belles, rythmées et qui accompagne bien le film; l'humour vraiment sympa; et une réalisation parfaite (les combats sont jouissifs) !!

Après leur expérience américaine sur Paul, les deux acolytes Simon Pegg et Nick Frost retrouve enfin leur troisième comparse Edgar Wright pour mettre un terme à la Trilogie Cornetto. Initiée par Shaun Of The Dead et poursuivi par Hot Fuzz, elle se termine avec Le Dernier Pub Avant La Fin Du Monde une comédie qui lorgne sur la Science Fiction après que les trois hommes aient flirtés avec le film d'horreur et le film policier.

Il aura fallu attendre six ans avant que les trois compagnons se retrouvent. Alors que Simon Pegg devenait une star avec ses apparitions dans Star Trek et Mission : Impossible et que Nick Frost brillait dans des longs métrages typiquement anglais comme Good Morning England, le réalisateur Edgar Wright se frottait à la production et l'écriture de scénario. S'ils ne se sont jamais perdu de vue lors de ces années, le temps pour réussir à travailler à nouveau tous les trois était visiblement pas facile à trouver.

Dès les premières minutes on retrouve tout ce qui a fait le succès de Shaun Of The Dead et Hot Fuzz dans ce nouveau long métrage. Le style nerveux d'Edgar Wright, les dialogues incroyables et le jeu excellent des acteurs font qu'on est immédiatement emballé par cette histoire avant même que l'intrigue ne soit totalement installée. Car avant de devenir un film de science fiction, Le Dernier Pub Avant La Fin Du Monde commence comme un film de potes. L'ambiance très anglaise fait un peu penser à Trainspotting avec ses pintes de bières partagées dans les pubs et ses bagarres déjantées.

Alors que Simon Pegg et Nick Frost fonctionnent habituellement sous la forme d'un duo, ici l'antagonisme entre leurs personnages fait que Le Dernier Pub Avant La Fin Du Monde est plus un film de bande. Bien sur Simon Pegg reste tout de même le personnage principal du film, c'est après tout lui qui signe le scénario avec le réalisateur qui s'est inspiré de sa jeunesse pour pondre cette histoire. Comme dans Shaun Of The Dead, le personnage joué par Simon Pegg est à nouveau un loser attachant. Sa verve et son incapacité à admettre qu'il peut avoir tort devrait le rendre insupportable mais c'est tout le contraire qui se produit !

Pour la fin de cette trilogie, Edgar Wright a rappelé la majorité des acteurs qui avaient pu apparaître dans les précédents films. Certains apparaissent tellement vite dans des caméos qu'on aura à peine le temps de les reconnaître. D'autres ont un rôle bien plus important. C'est le cas de Martin Freeman qui après de tout petits rôles dans les précédents films prend du galon dans celui-ci. Le succès de la série Sherlock et de The Hobbit n'ont visiblement pas fait prendre la grosse tête au comédien. Parmi les autres acteurs plus réputés on trouve Pierce Brosnan et Rosamund Pike au milieu d'acteurs typiquement anglais qu'on croise récemment au cinéma.

Coktail d'humour et d'action, Le Dernier Pub Avant La Fin Du Monde conclut en beauté la Trilogie Cornetto. C'est tellement bon qu'on espère bien que les trois amis changeront vite d'avis pour continuer à travailler ensemble encore longtemps. Il se murmure déjà que Simon Pegg pourrait retrouver Edgar Wright pour Ant-Man que le réalisateur prépare pour Marvel. Croisons les doigts !

Est fuck de merde....que c'est tuerie de bout en bout(est yes en anglais c'est bien bien meilleur),tain du début a la fin je me suis pas emmerder(bon juste quand il arrive face spoiler: a la voix de Bill Night on c'était un chouilla long le monologue
...mais je pinaille),rien que le début du film,quand on les voit jeune,est se faire le marathon donne bien le ton.

Chacun des personnages est vraiment attachant,j'ai eu un peux de mal pour le persos de Paddy Considine,mais sinon les autres sont tous leur personnalité bien distinctif est chacun apport un plus au évidement les véritable héros sont nos deux compères qu'ai Simon Pegg et Nick Frost,avec cette fois ci un reversement des rô si Nick Frost dans Shaun ou Hot Fuzz était le boulet,se coup si c'est lui le leader(quel charisme sur ce coup),est Pegg le poivrot de avec eux c'est jamais aussi simple,est au final Simon Pegg nous offre une superbe composition surtout a la fin,est avec Frost nous livre une des meilleur Bromance a faire pâlir les autres films qui nous proposer cette relation.

Que dire de la réal,comme toujours Edgar Wright livre ici du GROS GROS morceaux,que ça soit dans les combat(toujours magnifiquement chorégraphier)ou bien quand il doit mettre en scéne les CGI vraiment bluffant qui parsème tout le film,avec une maitrise et une telle habilité que peux en non.

Clairement un de c'est meilleur films les plus aboutie,narrative-ment,visuellement,bref Wright grandie avec c'est films,pour nous proposer une course de Pub complétement allumer est cette ambiance jouissif constamment au coin de la rue,avec nombre de références de sf est de nombreux clin d’œil au deux autres films de la trilogie Cornetto(la barrière toujours magique).Est cette fin,beaucoup on était déçu de cette fin,moi j'ai kiffé ma race comme jamais(...je veux dire par la que j'ai ADORÉE),bref une des meilleur Trilogie que j'ai jamais vu,pour un film de Sf/comédie que j'ai vu,de l'or en barre c'est anglais.
5 étoiles

1/World's End 5/5

2/Shaun Of The Dead 5/5

3/Hot Fuzz 4,5/5

Légère préférence pour ce marathon...bon faut dire je suis plus SF que Zombie...peut être ça

Plus intimiste et parfois un poil plus laborieux que Shaun of the Dead et Hot Fuzz, THE WORLD'S END reste une comédie teinté de S-F redoutable d'efficacité, fort de personnages attachants, de situations rocambolesques et d'une réalisation ingénieuse qui déchire. Pas le meilleur film Cornetto d'Edgar Wright mais une franche réussite, doté d'élans émotionnels inattendus et de lettres ouvertes jouissives au genre apocalyptique (voir le magnifique épilogue).