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Estonius
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1,0
Publiée le 8 janvier 2015
Plus de vingt minutes de pénibles blablabla avant qu'il ne passe quelque chose. Puis la surprise finit par nous sortir de notre torpeur. Le souci c'est que ça devient répétitif et gavant (bagarres, parlottes, bagarres, parlottes) et que le scénario au lieu de s'enrichir finit par s'effilocher comme un tissu sans aucune consistance pour terminer dans l'absolu n'importe quoi.
On commence à être habitué à voir ce nouveau couple façon Laurel et Hardy. Après Shaun of the dead, Hott Fuzz et Paul j’ai foncé sur l’opus traitant de la bibine, obligé, en mode anglais en plus… Ben c’est pas si top. Si les mecs s’étaient concentrés juste sur la voie maltée ça serait passé, sans être une énorme réussite mais ça aurait fait un buddy movie tendance road trip assez sympa. Puis on est dans la pure tradition anglaise : la tournée des pubs avec les potes, c’est limite eux qui l’ont inventé, ou au moins porté aux nues. Seulement là vient se greffer une histoire d’extra-terrestre robots. Alors certes j’aime bien qu’un film parte en cacahuètes, le délire assumé et du n’imp’, mais là c’est trop contrôlé puis ça tombe comme une bouse en plein milieu sans raisons. Déjà la façon d’envahir le monde est plus que douteuse (surtout quant à son efficacité) et la résolution est barrée ; mais les réactions sont juste trop improbables, personne ne prend la mesure ni de la quête des mecs ni de la menace, donc tout tombe à plat. Après on a un bon casting : Simon Pegg et Nick Frost donc, mais aussi Martin Freeman (Sherlock, Bilbo) et Pierce Brosnan notamment, ah et Rusard de Potter ou Game of thrones. En plus ça joue bien et on en apprend sur chaque perso, bien qu’on soit obligé de les trouver déb.iles car suivre le King si aveuglément n’augure pas d’un bon état général de leurs neurones. Les musiques font dans l’ambiance même si j’aurai préféré quelques airs typiques des pubs, la trame n’a pas grand-chose d’extraordinaire surtout qu’elle ressemble fortement à celle de Shaun of the dead (une nana qui vient s’immiscer dans une grosse histoire de zombies), l’histoire est foutue donc, le montage pas toujours au poil (il n’y a qu’à voir la fin), c’est plat, les dialogues (en vf) s’en sortent mais sans plus, les FX sont potables, le rythme est disparate (tantôt lent tantôt trop rapide) notamment à cause de plusieurs longueurs. Au final c’est plus que moyen, on s’attend à une chose, on l’a à moitié et on vire sur une autre bien plus grande. Certes c’est inattendu mais pas forcément bon ni apprécié, puis du coup on a une demie grande partie avec une demie histoire et une demie intrigue ainsi qu’une demie façon de gérer l’intrigue. Vous me direz que pour un film sur les bars plusieurs demies c’est bon signe, mais là encore, les pubs on en profite trop peu, dommage qu’il y en ait tant en Angleterre pour ne pas l’exploiter. Quant aux ET là aussi c’est portion congrue, sans trop pousser la chose, donc on reste sur notre faim dans tous les cas, surtout que l’humour ne vient pas souvent sauver l’ensemble. Dommage mais ça demeurera un long métrage anecdotique, un trip’ entre potes mais dont on est exclu.
Après les zombies et le film d'action, c'est au tour du film de Science-Fiction de passer entre les mains du déjanté Edgar Wright ! En effet le film commence comme une comédie de potes où cinq gars décident d'aller se murger comme au bon vieux temps avant de tomber dans la SF avec une invasion de robots ! On se retrouve au final avec l'un des films les plus improbables et drôles qui soient, toujours avec cet esprit So British si propre à Wright. Et si comme je l'ai dit les deux premiers volets m'avaient laissé plutôt tiède, ce dernier épisode m'a en revanche totalement conquis ! Tout d'abord la partie comédie est parfaite, avec des répliques qui fusent et qui vous flanqueront les larmes aux yeux, ensuite le côté fantastique, s'il reste très drôle bénéficie d'effets spéciaux de qualité, de références extras (citons pêle-mêle J.J. Abrams, The Thing, Le Village des Damnés, The Dark Knight Rises...) et surtout d'une réalisation irréprochable. Car c'est bien là ce qui différence la Trilogie Cornetto des parodies façon Scary Movie : le réalisateur n'est pas un manche ! En effet chaque séquence est cadrée et montée de main de maître tandis que les scènes d'action tournées pour beaucoup en long plan voir en plan-séquence sont d'une lisibilité exemplaire. C'est bien là qu'est le talent de Wright : en parodiant des films sérieux, il tourne mieux les scènes d'action que la plupart de ceux dont il s'inspire ! Mais soyons sérieux deux minutes ce qui fait qu'on adore ce genre de film, c'est sans conteste le casting ! Et là non seulement le duo fétiche formé par Simon Pegg et Nick Frost est au sommet de sa forme, mais en plus les seconds rôles sont particulièrement savoureux, qu'il s'agisse de Eddie Marsan qui campe le timide de la bande, de Paddy Considine en beau-gosse, de Rosamund Pike en soeur convoitée par le reste de la bande et surtout de Martin Freeman dans le rôle du Maudit. Chaque personnage est plus poilant que le précédent, et je ne parlerai pas des caméos d'acteurs parfois très célèbres dont je tairai les noms pour ne pas gâcher la surprise ! A noter que pour une fois Frost est le plus sérieux de la bande, mais cela fonctionne parfaitement car lorsqu'il perdra les pédales on ne se réjouira que davantage de ses actes ! A vrai dire le seul reproche que je fais au film concerne son scénario. Certes avec son pitch "cinq mecs vont boire un coup et attirent des robots" il fallait s'attendre au pire, mais quand je repense à l'histoire de Hot Fuzz qui était finalement bien pensée, notamment son final, je ne peux qu'être un peu déçu de la trame de ce dernier volet. Mais ce serait là une manière de chipoter parce qu'en toute franchise je pense que cela faisait bien des années que je n'avais pas autant pris un tel pied devant une comédie ! Bref à l'instar des personnages, je vous invite à consommer cette tournée des douze pubs sans modération !
Le Dernier pub avant la fin du monde est une comédie totalement déganté et débridé. Mais ! L'humour n'est pas "lourd", et c'est là tout l'exploit du film. C'est drôle, stupide, mais jamais lourd. Et rien que pour ça le film mérite ses 5 étoiles.
Avec un ton légèrement différents mais une recette toujours aussi efficace et drôle et surtout des acteurs profondément attachants, on reprendra bien plaisir à revoir une fin du monde comme celle-ci, bière à la main évidemment !
Dernier film de la trilogie Cornetto, après Shaun of the Dead et Hott Fuzz, The World's End m'a beaucoup plu, mais pas autant que ses deux prédécesseurs. C'est un réel plaisir de retrouver notre duo Simon Pegg/Nick Frost, aux commandes d'Edgar Wright, dans une histoire complètement barrée et déjantée. J'insiste sur le scénario, car c'est vraiment du grand n'importe quoi et on adore. Faire le barathon, composé de douze bars, tout en se faisant attaquer par des aliens au sang bleu complètement barges, qui à part ce trio aurait pu le réaliser ? Simon Pegg alias Gary King est métamorphosé physiquement : cheveux noirs, piercing, vétu de noir, avec une âme de gosse et de picton, personnage très attachant qui va même jusqu'à nous émouvoir un court instant. Des aliens attaquent ? Il faut s'enfuir ? Non, Gary va continuer son barathon jusqu'au bout ! Son compère Nick Frost alias Andy Knightley, personnage très sérieux, va devenir intéressant quand il se met à rentrer dans une colère et « défonce » tous les aliens. Les trois autres amis sont également très sympathiques et marrants. Petite surprise quand j'ai vu Pierce Brosnan ou encore David Bradley au casting ! Les scènes s’enchaînent d'une facilité telle qu'on ne s'ennuie pas, on retrouve ces cadrages et ces scènes d'actions filmées de la façon dont on aime. Ce film, c'est du fun pour le fun, toujours dans le même univers que les deux premiers. Cependant, je le classerai en dernier du top 3, car je m'attendais à une autre fin que celle-ci. Une petite déception certes, mais qui ne change que peu ma vision du film dans sa globalité.
La dernière tournée des grands-ducs ! Moins surprenant que Shaun of the Dead, mais plus réussi que Hot Fuzz, Le Dernier pub avant la fin du monde est une petite pépite d'humour british tel que sait le faire le trio Simon Pegg / Nick Frost / Edgar Wright. De plus, ça vaut le détour de voir Simon Pegg en leader aux cheveux bruns.
Pour en savoir plus, lisez notre critique complète NoPopCorn !
Le Dernier pub avant la fin du monde : Avec le réalisateur Edgar Wright et son équipe d’acteur fétiche : Simon Pegg, Nick Frost… Je croyais avoir tout vu en termes de gros délire avec « Shaun of the Dead, Hot Fuzz… ». Mais alors la, ce film atteint des sommets, c’est du grand n’importe quoi, du délire a l’état pur ou tout est permis pour nous surprendre et rendre ce film culte. Et franchement, il y a qu’avec cette équipe de fou que je vois ça. Car c’est tellement hors du commun mais c’est ça qui est bon. Car, ça partait comme un very bad trips puisque pour la petite histoire, c’est une bande de pote qui plusieurs années après le lycée, ils vont retenter le barathon : 12 pub, 12 cuite, vont t’ils y arrivaient ? Jusque la, tous va bien mais c’est la qu’arrive « hommage » aux anciens films d’envahisseurs et la, le film par totalement en live. Humour complètement délirant mais assumé avec des répliques qui fondent mouche. Et il y a un fond malgré tout ça, avec une bonne morale sur l’humain… je n’en dis pas plus. Et étrangement, il y a de l’action super bien chorégraphiés. Grâce au talent du réalisateur qui encore une fois nous donne une mise en scène aux petits oignons. Des scènes d’actions en plans séquences, un montage américain qui est toujours aussi jouissif… Et puis, les acteurs sont encore une fois bien barrés mais au moins, ils s’amusent et nous aussi. Donc voila, une comédie qui tout droit sorti de nulle part. J’avouerais que vers le milieu du film, on commence à comprendre le délire et une petites lassitude arrive mais rien de grave car c’est tellement unique qu’on en redemande.
Attendu comme étant le terminal de la trilogie du Cornetto, le Dernier pub avant la fin du monde est sans conteste encore un film type parodie signée E. Wright ! Ce film nous montre alors l'histoire de cinq amis d'enfance voulant arborer une nouvelle fois la lignée des pubs de leur village natal en une nuit ! Chose qu'ils n'avaient pas pu faire lorsqu'ils étaient jeunes... L'affront des 13 pubs ne pouvait se faire sans notre duo fétiche : Simon Pegg (Gary King) et Nick Frost (Andy Knightley). Mais on retrouve aussi des vieilles connaissances comme Paddy Considine (Hot Fuzz), Martin Freeman (Sherlock Holmes, Le Hobbit, Shaun of the Dead) et enfin Eddie Marsan (L'illusionniste, Cheval de Guerre). Nos cinq lurons entament donc leur descente aux enfers en ingurgitant l'alcool propre de chaque bar. Mais comme tout film parodique qu'il se doit, il va bien falloir un moment où ça déconne. Et c'est là qu'on va perdre le filon de l'histoire. Le concept était original, simple mais rêveur, qui fait ressurgir nos vieilles escapades d'adolescents. Mais cette science-fiction vient tout remettre en cause et le film perd de sa valeur. Mais ce n'est surement pas dû aux prestations des acteurs : Simon Pegg est énorme dans ce film. Ce personnage si jovial et révolutionnaire est l'un des seuls points du film qui le maintient debout jusqu'à la fin. Déception par contre du côté de son compatriote Nick Frost qui s'efface dans un rôle plus sérieux et moins convenant. Même le petit Hobbit ne fait pas exception et s'écrase lui aussi dans ce film recouvert une nouvelle fois d'humour-type britannique. E. Wright a même changé sa signature, expérimentant un nouvel axe de réalisation et s'axant un peu moins sur ses gros plans qu'il adore tant (bien qu'on en verra pas mal dans le long-métrage). Cet opus mettant fin à la mythique trilogie de la glace, on ne peut repartir que déçus. Ce film ne rivalise pas avec son prédécesseur qui nous présentait enfin autre chose et ce Dernier Pub avant la fin du monde nous met bien dans l'ambiance apocalyptique... : la fin du monde...
Edgar Wright avait entamé sa fameuse trilogie « Cornetto » avec les formidables "Shaun Of The Dead" et "Hot Fuzz", puis il décida de faire en break de six années (break durant lequel il a tout de même réalisé une bombe geek : "Scott Pilgrim VS The World", rien que ça !!) avant de nous livrer le dernier volet : "Le Dernier Pub Avant la Fin du Monde". Le film nous conte donc l’histoire de cinq potes qui décident de fêter la fin des cours en se lançant dans une tournée des douze pubs de Newton Haven. Malheureusement, ils ne parviennent pas à atteindre leur but : boire une dernière pinte au dernier pub : « La Fin du Monde ». Vingt ans plus tard, tous sont devenus des hommes respectables avec femme, enfants, travail et responsabilités. Seul leur « meneur », Gary, ne semble pas avoir grandi et n’a toujours pas oublier l’échec de leur tournée des pubs. Il décide donc de recontacter ses amis pour retenter ce marathon alcoolisé, ces derniers cédant, ils retournent tous à Newton Haven pour finir ce qu’ils avaient commencé vingt ans plus tôt…mais, lors de leur « périple », ils se rendent compte que quelque chose cloche : tous les patrons des bars ne semblent pas les reconnaître et les agissements des habitants sont plus qu’étranges… Après la parodie de films de zombies, puis la parodie de films policiers/action, Wright décide de taper dans la science-fiction, et plus particulièrement les invasions extraterrestres. Toujours avec le souci du détail et sa maîtrise de la caméra, Wright continue sa trilogie dans le même état d’esprit comico-geekesque que les deux précédents volets : le bouleversement de milieu de film est plus que réussi, les effets spéciaux sont bien rendus en ayant un petit goût rétro-kitsch du plus bel effet, l’humour est omniprésent que se soit par les dialogues aux répliques fulgurantes, par les scènes d’actions aussi bien chorégraphiées qu’hilarantes ou par le fameux running gag récurrent de la trilogie avec les palissades ! Mais au final, la vraie force de ce troisième volet n’est pas ce mélange de comédie et de science-fiction, mais plutôt au thème principal du film : la nostalgie. Combien parmi nous ont ressenti ce sentiment ? Qui n’a jamais repensé au passé en soupirant ? Qui n’a jamais voulu avoir le pouvoir de revenir en arrière pour changer le passé ? Ou bien qui n’a jamais eu envie de revivre sa jeunesse ? Le duo Simon Pegg/Nick Frost est d’ailleurs l’épicentre de ce thème : le premier veut avancer en exhumant le passé, l’autre a renié son passé et lui en veut de ne pas vouloir évoluer comme tout à chacun. Et c’est cette nostalgie qui va faire d’eux des héros : aucun des protagonistes n’est doté de super pouvoir, ils n’ont pas d’instinct, de courage en eux. Et c’est leur nostalgie qui va devenir leur force : plus ils vont continuer leur tournée des bars et ingérer des bières, plus ils vont prendre confiance en eux et vont être capable de prouesses incroyables face à la terrible menace qui leur fait face. Voilà un concept narratif original et rondement bien mené ! Côté casting, Simon Pegg et Nick Frost sont absolument parfait dans cette troisième version de leur duo (dans "Shaw of the Dead" ils étaient les meilleurs potes du monde, dans "Hott Fuzz" des inconnus qui, par la force des choses, deviennent co-équipiers, et ici ce sont des ex-amis qui ont érigé un mur entre eux), les trois autres « mousquetaires » sont aussi sympathiques et très drôles, la belle Rosamund Pike permet d’apporter un peu de féminité (d’intelligence ?) dans ce monde de brutes (de demeurés ?), mais la prestation la plus inattendue (c’est rare qu’il est de bon rôles) et la plus réussies est sans conteste celle de Pierce Brosnan : tout en autodérision, un vrai délice ! Malgré qu’il soit un chouïa en dessous de ses prédécesseurs, "Le Le Dernier Pub Avant la Fin du Monde" s’inscrit parfaitement dans la continuité de "Shaun Of The Dead" et "Hot Fuzz", concluant ainsi de belle manière la trilogie « Cornetto ». Comédie fantastique bien orchestrée, il ravira les fans et parviendra à charmer et à inciter les autres à visionner les deux premiers volets. Ce n'est donc pas un doux euphémisme si je vous avoue que j'attends avec impatience de voir de que Wright va faire avec "Ant-Man" au sein de l'Univers Cinématographique Marvel !!
Sans être le film du siècle, "Le Dernier Pub" vient conclure la trilogie Cornetto qui elle a le mérite d'être culte, dans son ensemble. Et c'est avec plaisir qu'on retrouve cette ambiance, ces acteurs qui sont ici au top de leur forme, et bien que certains personnages sont parfois sous exploités, ils restent présents et forts à l'écran, derrière le duo Frost/Pegg qui lui est toujours aussi bon, tant ils se démarquent les uns des autres par leur personnalité. L'histoire en elle même est une pure parodie des films de SF façon fin du monde, et pas besoin d'une histoire bien ficelée pour se laisser prendre au jeu, cette histoire de bande de potes qui décident de finir leur "barathon", la tournée des bars de leur patelin d'enfance, même si la fin du monde les menace, reste tout de même jamais vue à l'écran. Et le film comporte tout de même une morale qui se montre touchante tout en étant modeste. Bref, un film où les héros enchainent les pintes de binouse, et se battent contre des robots envahisseurs. Encore moins sérieux que Shaun of The Dead, encore plus "second degré" et parodique que Hot Fuzz, ce film est tout de même très bien réalisé, et aurait gagné à être un poil plus long et à pousser encore plus loin le délire, même si on a déjà largement ce qu'il nous faut pour l'apprécier pleinement. On regrettera tout de même la distribution lamentable dont le film bénéficie (100 salles en France ???) et les parisiens seront une fois de plus les plus chanceux, pouvant apprécier une séance en VO dans des petites salles. Sur ce, "let's Boo Boo".
Bon et bien je reste une fois de plus sur l'excellent "Shaun of the dead", "Hot fuzz" m'ayant beaucoup déçu, je n'attendais pas grand chose de ce dernier volet de la trilogie. Et bien j'ai été servi puisque déjà le sujet de la beuverie entre potes n'est pas quelque chose qui me fasse beaucoup rire, loin de là, ça me fait plutôt pitié. Mais bon, je me dis qu'il faut tout de même essayer et......BOF, peu de choses drôle et le petit truc de SF tombe vraiment comme un cheveux sur la soupe et n'apporte rien à l'ensemble bien mièvre. A éviter.
Une comédie hilarante au rythme haletant. Les répliques cultes fusent de toutes parts et cette lutte pour permettre à l'homme d'être maître de sa médiocrité se permet même quelques séquences émotion. Le film aurait pu être parfait s'il n'y avait ce final un peu décevant...
"Mais c'est quoi, ce film "Le dernier pub avant la fin du monde " ! Mais, c'est vraiment nul, nul ! La bande annonce était alléchante et drôle, elle m'a fait penser au film que j'admire :"Le village des damnés " (version années 60) qui serait parodiée ... Mais là, les dialogues sont lourds, débiles, incompréhensibles ... Le scénario, c'est du n'importe quoi ! Incohérent ! On ne sait même pas ce que les scénaristes veulent nous montrer ! Mortellement ennuyeux ! Usant, lassant ! Il y a eu des spectateurs dont moi, qui sont sortis de la salle de cinéma ! N'allez pas le voir, c'est une perte de temps ! Je regrette l'humour visuel de Shaun of the dead " ... Nul, ce film !"
La comédie déjantée à son paroxysme. Edgar Wright au sommet de son art faisant de cette oeuvre un pur classique du genre. Mélangeant habilement différents genres tout en omettant de rendre certaines séquences ultra-comiques, les acteurs s'en sortent avec les honneurs et le scénario est un pur régal de bout en bout. Le déroulé final est absolument excellent. Quel film!!