Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
N’en déplaise à Stephan Streker, il filme la Belgique de façon virtuose pour la transformer en décor de film noir. Il serait pourtant réducteur de classer Le monde nous appartient dans le seul rayon du cinéma belge, il appartient entre aussi dans la catégorie des œuvres prometeuses dont on suivra l’auteur de près.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Express
par Christophe Carrière
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Journal du Dimanche
par Jean-Pierre Lacomme
Le film, doté d'un vrai regard sur les situations, bénéficie d'une excellente distribution au service de personnages sous tension. Une ligne directrice pas toujours tenue en raison de quelques sorties de routes oniriques qui affaiblissent la force du récit.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Mathieu Macheret
Le scénario ne fait preuve ni d'une grande finesse, ni d'une franche originalité. Mais la mise en scène de Stephan Streker, par un vigoureux désir de forme, parvient non seulement à le faire tenir debout, mais à lui insuffler une certaine intensité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Metro
par Mehdi Omaïs
Grâce à une mise en scène plutôt inspirée, Stephan Streker signe un film choral étonnant et envoûtant. Si vous faites fi des seconds rôles faiblards et de certains partis pris artistiques douteux, ce monde mérite votre attention.
Ouest France
par La Rédaction
Nerveux et musclé dans son propos sur le destin (...) Mais (...) une mise en scène qui aurait gagné en force dans une certaine sobriété.
Paris Match
par Alain Spira
Sa réalisation, frôlant parfois le maniérisme, fait de surprenants écarts dans le clip surréaliste, voire dans le surnaturel. Au final, cela donne un ton singulier à un scénario plutôt convenu qu’illuminent le regard bleu habité de Vincent Rottiers et la présence de l’intense Reda Kateb.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Philippe Rouyer
Ce deuxième long-métrage est indissociable de la musique du compositeur, mélange de rock arty, d'électro et de classique. C'est elle qui donne sa saveur au film, mais qui en dessine également les limites, au-delà du talent de Vincent Rottiers qui explose une nouvelle fois à l'écran.
Première
par Isabelle Danel
Le deuxième film du cinéaste fourmille d’idées intéressantes qui ne prennent pas toujours, certaines se transformant même en afféteries. C’est dommage car les acteurs sont impeccables et certaines scènes (la réanimation, la déclaration d’amour) étonnantes.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Voir le site de Studio Ciné Live.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le récit a des qualités mais il veut tellement transcender le fait divers que la mise en scène fait les pieds aux murs. Autrement dit, elle manque de simplicité, et le film devient vite un pur exercice de style.
Télérama
par Pierre Murat
Par instants un rien trop sophistiquée, sa mise en scène est élégante. Stephan Streker a, en tout cas, le sens du romanesque, il fait durer certains plans jusqu'à ce que l'émotion les emporte.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
par Bruno Icher
A l’exception d’une jolie scène onirique impliquant une grosse bagnole et un mammifère herbivore de forte taille peu fréquent dans les rues belges, ce n’est hélas pas le cas, le film versant régulièrement dans l’exercice du clip musical désuet.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Les Fiches du Cinéma
par Pierre-Julien Marest
Stephan Strker, qui ambitionnait d'élever au rang d'abstraction un fait divers, accouche d'un film terriblement maladroit, à la limite du ridicule.
20 Minutes
N’en déplaise à Stephan Streker, il filme la Belgique de façon virtuose pour la transformer en décor de film noir. Il serait pourtant réducteur de classer Le monde nous appartient dans le seul rayon du cinéma belge, il appartient entre aussi dans la catégorie des œuvres prometeuses dont on suivra l’auteur de près.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Le Journal du Dimanche
Le film, doté d'un vrai regard sur les situations, bénéficie d'une excellente distribution au service de personnages sous tension. Une ligne directrice pas toujours tenue en raison de quelques sorties de routes oniriques qui affaiblissent la force du récit.
Le Monde
Le scénario ne fait preuve ni d'une grande finesse, ni d'une franche originalité. Mais la mise en scène de Stephan Streker, par un vigoureux désir de forme, parvient non seulement à le faire tenir debout, mais à lui insuffler une certaine intensité.
Metro
Grâce à une mise en scène plutôt inspirée, Stephan Streker signe un film choral étonnant et envoûtant. Si vous faites fi des seconds rôles faiblards et de certains partis pris artistiques douteux, ce monde mérite votre attention.
Ouest France
Nerveux et musclé dans son propos sur le destin (...) Mais (...) une mise en scène qui aurait gagné en force dans une certaine sobriété.
Paris Match
Sa réalisation, frôlant parfois le maniérisme, fait de surprenants écarts dans le clip surréaliste, voire dans le surnaturel. Au final, cela donne un ton singulier à un scénario plutôt convenu qu’illuminent le regard bleu habité de Vincent Rottiers et la présence de l’intense Reda Kateb.
Positif
Ce deuxième long-métrage est indissociable de la musique du compositeur, mélange de rock arty, d'électro et de classique. C'est elle qui donne sa saveur au film, mais qui en dessine également les limites, au-delà du talent de Vincent Rottiers qui explose une nouvelle fois à l'écran.
Première
Le deuxième film du cinéaste fourmille d’idées intéressantes qui ne prennent pas toujours, certaines se transformant même en afféteries. C’est dommage car les acteurs sont impeccables et certaines scènes (la réanimation, la déclaration d’amour) étonnantes.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Sud Ouest
Le récit a des qualités mais il veut tellement transcender le fait divers que la mise en scène fait les pieds aux murs. Autrement dit, elle manque de simplicité, et le film devient vite un pur exercice de style.
Télérama
Par instants un rien trop sophistiquée, sa mise en scène est élégante. Stephan Streker a, en tout cas, le sens du romanesque, il fait durer certains plans jusqu'à ce que l'émotion les emporte.
Libération
A l’exception d’une jolie scène onirique impliquant une grosse bagnole et un mammifère herbivore de forte taille peu fréquent dans les rues belges, ce n’est hélas pas le cas, le film versant régulièrement dans l’exercice du clip musical désuet.
Les Fiches du Cinéma
Stephan Strker, qui ambitionnait d'élever au rang d'abstraction un fait divers, accouche d'un film terriblement maladroit, à la limite du ridicule.