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Alors que la plupart des films romantiques remuent les clichés comme autant de coups d'épée dans l'eau de rose, "After", lui, nous arrive sur l'écran comme une météorite tombée du 7e ciel.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
[Les] dialogues sont servis par des comédiens pleins de talent et de charme. (...) La gêne, les maladresses, les silences ont toute leur place entre eux. Si leur Paris, chantier permanent, n'a rien de romantique, la nuit, troisième personnage, donne une énergie particulière à ce film à fleur de peau.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le premier film de Géraldine Maillet pèche sur bien des points (des fragilités d'écriture, entre autres). Mais quelques scènes (boîte de nuit ou baiser) distillent leur charme volatil et les acteurs, passionnants à regarder, tiennent la route.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cette balade jazzy est sublimée par son électrisant duo d'acteurs : Julie Gayet, vibrante ; et Raphaël Personnaz qui évoque irrésistiblement la grâce d'un Delon jeune.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Joli premier film qui profite d'une ambiance noctambule du meilleur effet, "After" est sans doute un projet modeste, mais qui sait séduire par son atmosphère sensuelle et son beau couple d'acteurs.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
"After" est une histoire d'amour fastidieuse et anti-romanesque : Géraldine Maillet plombe son film en le parant des ternes atours d'un quotidien parisien sans imagination.
Tranquillement vérolé par son imagerie publicitaire, "After" ressemble à un long spot sur l'amour en suspens, l'ivresse du "pourquoi pas", la mélancolie du "et si", mais surtout, et plus involontairement, sur la crise de la quarantaine, l'ennui de la femme bourgeoise.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Julie Gayet et Raphaël Personnaz sont prisonniers de dialogues et de situations non seulement convenus mais porteurs d'une fantaisie timide, affreusement irritante.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
L'Humanité
La réalisatrice parvient à maintenir l'intérêt, que ce soit par sa direction d'acteurs, son texte, écrit par elle, son sens du cadre ou des décors.
Paris Match
Alors que la plupart des films romantiques remuent les clichés comme autant de coups d'épée dans l'eau de rose, "After", lui, nous arrive sur l'écran comme une météorite tombée du 7e ciel.
Ecran Large
Une nuit pour se découvrir, une nuit pour s'aimer. Un premier film tout en douceur. Raphaël Personnaz et Julie Gayet, couple de la rentrée.
La Croix
[Les] dialogues sont servis par des comédiens pleins de talent et de charme. (...) La gêne, les maladresses, les silences ont toute leur place entre eux. Si leur Paris, chantier permanent, n'a rien de romantique, la nuit, troisième personnage, donne une énergie particulière à ce film à fleur de peau.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Le premier film de Géraldine Maillet pèche sur bien des points (des fragilités d'écriture, entre autres). Mais quelques scènes (boîte de nuit ou baiser) distillent leur charme volatil et les acteurs, passionnants à regarder, tiennent la route.
Télérama
Cette balade jazzy est sublimée par son électrisant duo d'acteurs : Julie Gayet, vibrante ; et Raphaël Personnaz qui évoque irrésistiblement la grâce d'un Delon jeune.
aVoir-aLire.com
Joli premier film qui profite d'une ambiance noctambule du meilleur effet, "After" est sans doute un projet modeste, mais qui sait séduire par son atmosphère sensuelle et son beau couple d'acteurs.
Les Fiches du Cinéma
"After" est une histoire d'amour fastidieuse et anti-romanesque : Géraldine Maillet plombe son film en le parant des ternes atours d'un quotidien parisien sans imagination.
Les Inrockuptibles
(...) [un] pénible psychodrame.
Première
Le talent de Julie Gayet et le charme de Raphaël Personnaz ne suffisent pas à rehausser un scénario prévisible aux dialogues téléphonés.
Critikat.com
Tranquillement vérolé par son imagerie publicitaire, "After" ressemble à un long spot sur l'amour en suspens, l'ivresse du "pourquoi pas", la mélancolie du "et si", mais surtout, et plus involontairement, sur la crise de la quarantaine, l'ennui de la femme bourgeoise.
Le Monde
Julie Gayet et Raphaël Personnaz sont prisonniers de dialogues et de situations non seulement convenus mais porteurs d'une fantaisie timide, affreusement irritante.
Positif
(...) sous la surface [des] personnages n'affleurent que d'autres convenances scénaristiques, une autre superficialité, une autre vacuité.