Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Elle
par Anne Diatkine
Le film, chargé politiquement, l'est aussi émotionnellement (...).
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Express
par Christophe Carrière
Voir le site de L'Express
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Jean Roy
Un film linéaire dans sa progression, dans lequel des séquences dessinées se substituent habilement à l’image lors des scènes de violence. Un film qui témoigne de la complexité d’un engagement, d’un combat, d’un passé encore étouffé dans l’oubli.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Thomas Sotinel
Avila trouve sa propre voie, faite de références au cinéma hollywoodien contemporain et de paroxysmes familiaux propres au cinéma argentin.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Questions éternelles, universelles, auxquelles ce beau film apporte non pas des réponses définitives et univoques, mais ses propres réponses.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Olivier De Bruyn
A la fois récit initiatique et chronique intimiste, le film fait preuve d'une maîtrise et d'une sensibilité également singulières.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Christophe Narbonne
[Un] film digne qui s’apparente moins à un questionnement sur l’engagement qu’à une réflexion sur la responsabilité.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Bernard Achour
On n’aurait jamais pensé qu’un retour sur la dictature militaire argentine puisse donner naissance à un film aussi « divertissant ». Pourtant, (...) c’est l’exploit que réussit Benjamin Avila.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Cécile Mury
Ce film-ci a quelque chose de plus, avec ses gros plans sur les visages et sa luminosité qui rappelle les super-huit d'autrefois. Certaines séquences (...) semblent directement prélevées dans un flot de souvenirs.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Estelle Charles
Une histoire simple, magnifiquement incarnée, (…) qui sous le vernis d’un voyage initiatique aborde la complexité d’une guérilla longue de presque dix ans.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Ferhat Abbas
Si (...) le film instaure d'emblée un climat policier attendu, il tente néanmoins de renouveller ce genre par l'utilisation fréquente d'un point de vue subjectif.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Parisien
par La rédaction
Le film hésite entre la chronique initiatique d’un enfant pas comme les autres et la peinture du climat politique d’une époque. (...) Sans trouver tout à fait sa véritable place.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Forme lisse et récit linéaire pour ce premier long-métrage de Benjamín Ávila. Chromos nostalgiques et péripéties convenues cantonnent le film à un traitement anecdotique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La rédaction
Un énorme succès en Argentine. Il (Benjamin Avila) essaie d'en faire une histoire universelle, qui raconte le passage de l'enfance à l'adolescence. Ce tableau-là est assez entendu (...). Mais peu à peu le récit prend corps dans le contexte dramatique de l'époque pour y trouver des élans et des émotions prenants.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Voir le site de Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TF1 News
par Romain Le Vern
Le récit initiatique ne manque pas d'intérêt ni de vérité mais impossible de ne pas penser à d'autres films en le voyant, de "L'esprit de la ruche" (Victor Erice, 1973) à "A bout de course" (Sydney Lumet, 1988) dont les ombres planent ostensiblement.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Elle
Le film, chargé politiquement, l'est aussi émotionnellement (...).
L'Express
Voir le site de L'Express
L'Humanité
Un film linéaire dans sa progression, dans lequel des séquences dessinées se substituent habilement à l’image lors des scènes de violence. Un film qui témoigne de la complexité d’un engagement, d’un combat, d’un passé encore étouffé dans l’oubli.
Le Monde
Avila trouve sa propre voie, faite de références au cinéma hollywoodien contemporain et de paroxysmes familiaux propres au cinéma argentin.
Les Inrockuptibles
Questions éternelles, universelles, auxquelles ce beau film apporte non pas des réponses définitives et univoques, mais ses propres réponses.
Positif
A la fois récit initiatique et chronique intimiste, le film fait preuve d'une maîtrise et d'une sensibilité également singulières.
Première
[Un] film digne qui s’apparente moins à un questionnement sur l’engagement qu’à une réflexion sur la responsabilité.
TéléCinéObs
On n’aurait jamais pensé qu’un retour sur la dictature militaire argentine puisse donner naissance à un film aussi « divertissant ». Pourtant, (...) c’est l’exploit que réussit Benjamin Avila.
Télérama
Ce film-ci a quelque chose de plus, avec ses gros plans sur les visages et sa luminosité qui rappelle les super-huit d'autrefois. Certaines séquences (...) semblent directement prélevées dans un flot de souvenirs.
aVoir-aLire.com
Une histoire simple, magnifiquement incarnée, (…) qui sous le vernis d’un voyage initiatique aborde la complexité d’une guérilla longue de presque dix ans.
Critikat.com
Si (...) le film instaure d'emblée un climat policier attendu, il tente néanmoins de renouveller ce genre par l'utilisation fréquente d'un point de vue subjectif.
Le Parisien
Le film hésite entre la chronique initiatique d’un enfant pas comme les autres et la peinture du climat politique d’une époque. (...) Sans trouver tout à fait sa véritable place.
Les Fiches du Cinéma
Forme lisse et récit linéaire pour ce premier long-métrage de Benjamín Ávila. Chromos nostalgiques et péripéties convenues cantonnent le film à un traitement anecdotique.
Ouest France
Un énorme succès en Argentine. Il (Benjamin Avila) essaie d'en faire une histoire universelle, qui raconte le passage de l'enfance à l'adolescence. Ce tableau-là est assez entendu (...). Mais peu à peu le récit prend corps dans le contexte dramatique de l'époque pour y trouver des élans et des émotions prenants.
Studio Ciné Live
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TF1 News
Le récit initiatique ne manque pas d'intérêt ni de vérité mais impossible de ne pas penser à d'autres films en le voyant, de "L'esprit de la ruche" (Victor Erice, 1973) à "A bout de course" (Sydney Lumet, 1988) dont les ombres planent ostensiblement.