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    Il était une fois en Anatolie
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    114 critiques spectateurs

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    Acidus
    Acidus

    718 abonnés 3 709 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 septembre 2014
    Encore une réussite pour le cinéaste turc Nuri Bilge Ceylan qui réalise un drame policier de trés bone qualité. "Il était une fois en Anatolie" bénéficie d'une excellente mise en scène jouant sur les lenteurs et un aspect contemplatif envoutant. Ne passez pas à côté de ce long métrage!
    vidalger
    vidalger

    321 abonnés 1 249 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 août 2014
    Comme beaucoup, je suis partagé entre le bonheur d'avoir, d'un côté, vu un film d'une rare exigence et d'une maîtrise cinématographique incontestable et d'avoir, d'un autre côté, subi un rare pensum aussi mortifère et somnifère . Si l'on a survécu à la première partie, long road movie nocturne dans le désert anatolien, avec une histoire que l'on découvre très lentement, par bribes, et qui a du mal à nous intéresser (la recherche d'un cadavre par une équipe juridico-médico-policière guidée par un assassin mutique), on finit par comprendre cette histoire plutôt banale et dont on extrait ça et là quelques pépites d'humour, de grâce et parfois, de vrai bonheur cinématographique. Mais que c'est laborieux et lent! Que l'on ne cite pas les écrivains russes comme modèles d'inspiration mais plutôt les tristement célèbres cinéastes soporifiques des années 70 encensés par les Cahiers du cinéma d'alors!
    Patrick Braganti
    Patrick Braganti

    92 abonnés 408 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 novembre 2011
    C’est la pause au cœur d’un hameau isolé, afin que les hommes se reposent et reprennent des forces autour d’une collation, qui contient les deux scènes clefs du film avant l’éclosion de jour, la récupération du cadavre et le retour au village, moment au cours duquel le film se resserre sur les personnages du procureur et du médecin. Ces deux séquences cruciales, c’est d’abord l’apparition presque irréelle, voire divine, de la fille du maire venue apporter le thé aux hôtes de son père. Divine parce qu’elle est l’irruption de la féminité, de la jeunesse et de la grâce au milieu d’hommes plus âgés. Symbole d’espérance et de renouveau, elle est filmée par l’auteur des Trois Singes comme une madone dans un tableau faisant d’évidence référence aux tableaux du néerlandais Vermeer et du lorrain Georges de la Tour. Photographe, le stambouliote Nuri Bilge Ceylan accorde, on le sait, une place primordiale à l’esthétisme en employant les techniques les plus actuelles pour mettre en scène ses films. Le second moment, sorte d’épiphanie au sein d’une grange où la vérité se précise, ne nous est pas accessible directement, mais à travers la poursuite de l’enquête en plein jour. La magie nocturne disparaît avec la froideur diurne, mais le film ne perd pas son aspect drolatique – inédit chez le réalisateur. Dictant au milieu d’un champ le procès-verbal, le procureur s’enorgueillit de la ressemblance (surtout liée à sa moustache) qu’on lui prête volontiers avec Clark Gable. La suite centrée sur le procureur et le médecin, lequel devient notre regard, s’illustre principalement en une longue scène d’autopsie.
    La durée, les temps de latence où s’intercalent des moments de vide et d’attente sont sans conteste les marques de fabrique du cinéaste turc. Tout comme son goût pour la littérature slave. L’observation de l’âme humaine avec bienveillance et humanisme renvoie aux œuvres des grands auteurs, surtout celle d’Anton Tchekhov ; le personnage du médecin trouvant dès lors sa pleine justification. Le mélange entre tragique – le film s’inspire d’un fait divers réel et sordide – et grotesque traverse également les livres des auteurs russes. Donc, pour les connaisseurs et amateurs de la filmographie de Nuri Bilge Ceylan, sa façon de prendre le temps de capter le monde, sa pratique de l’éclipse du récit en multipliant par jeu les fausses pistes et la dimension littéraire qu’il entend lui conférer ne sont pas nouvelles. Mais il apparait néanmoins qu’Il était une fois en Anatolie souffre doublement d’une durée terriblement étirée (2h37) et d’un prétexte narratif un peu faible. Autrement dit, difficile de se passionner pour un banal et certes tragique fait divers dont on comprend assez mal qu’il mobilise autant de monde et d’énergie. Derrière le motif, il y a bien sûr tout ce qu’il permet de mettre à jour et de révéler de la nature humaine.
    La recherche à laquelle se livre le groupe d’hommes n’est en somme que l’illustration ou la métaphore de celle menée par le cinéaste s’interrogeant sans cesse sur la vérité, sans le souci cependant de la détenir et encore moins de la sacraliser. Raison pour laquelle le film nous laisse dans le doute et le questionnement, distillant pourtant dans un geste bénin une note d’optimisme et d’espoir. Alors qu’il y est aussi question de police, Il était une fois en Anatolie, auréolé du Grand Prix du jury à Cannes, s’avère l’antidote idéal à l’énergique et creux Polisse. Le long-métrage de Nuri Bilge Ceylan rejettera bon nombre de spectateurs par son format et sa radicalité, mais nul ne peut douter aujourd’hui de la place de tout premier rang prise par le réalisateur de Uzak dans la cinématographie mondiale.
    DarioFulci
    DarioFulci

    102 abonnés 1 412 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 avril 2012
    Quelle déception lorsqu'arrive le générique de fin au bout des 2 longues heures et demies. Pour la première fois, Nuri Bilge Ceylan ennuie. Et pourtant son cinéma est exigeant et contemplatif. Sauf que dans cet "Il était une fois en Anatolie", on ne comprend pas trop où il veut en venir. Il filme toujours aussi bien, la photo est une fois encore sublime. Mais à quoi rime ce périple chaotique ? Un mystère qui provoque un ennui profond et désarmant alors même que notre indulgence à l'égard d'un réalisateur habituellement apprécié fait défaut. Le charme et la mélancolie de ses précédents films ne fonctionnent pas cette fois.
    mazou31
    mazou31

    94 abonnés 1 281 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 janvier 2012
    Un film qui ne peut pas laisser indifférent ! Ou, comme certains, on le trouve « sublime », « magnifique », « envoûtant », ou on le trouve chiant comme un jour de pluie, en hiver, … en Anatolie du Nord ! Je fais, hélas, partie de la seconde catégorie et bien que ce film ait incontestablement du caractère, je n’y ai vu que peu de qualités ! Donc j’ai admiré quelques images splendides, bien léchées et tout, quelques très rares passages, soit émouvants, soit drôles, toujours bien joués (mais le gros plan permanent sur le poil de barbe devient fatigant !) puis j’ai passé le reste du temps (plus de deux heures) à regretter quelques films splendides que j’avais vus récemment ! Et à m’interroger sur la réaction compulsive de certains cérébraux à considérer que toute grande œuvre doit être emmerdante à mourir !
    alain-92
    alain-92

    318 abonnés 1 078 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 décembre 2011
    Noir, absurde, magnifique, et psychologiquement violent. Des paysages grandioses. Une lumière crue et violente laisse dans chaque gros plan un malaise certain devant ces visages perdus et ces regards interrogateurs ou accusateurs. Celui de l’enfant qui jette une pierre me hante encore quelques jours après voir vu ce film. De là à conseiller ce film reste un exercice difficile. A voir, mais réservé malgré tout à tous ceux qui recherchent un choc intime plutôt qu’aux adeptes de l’action ou autres effets spéciaux démesurés.
    http://cinealain.over-blog.com
    pitch22
    pitch22

    165 abonnés 682 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 novembre 2011
    Vraiment pas terrible. Nuri Bilge Ceylan (on prononce Djeïlân) nous embarque dans un road-movie très lent, nocturne puis dans un froid huit-clos qui tourne à l'atroce (scène d'autopsie pratiquée par des médecins impassibles). Là où le bât blesse, c'est qu'on n'arrive pas à cerner son propos, mis à part le fait que les protagonistes cherchent à cacher leur vérité intime. On tourne en rond dans des discussions souvent ennuyeuses. Il était une fois, plutôt qu'un beau conte, nous livre donc un exercice de style esthétique glacé et un récit à rallonge très dilué. NB Ceylan a voulu transmettre l'esprit des longs romans turcs qu'il a pu lire, sans parvenir à insuffler suffisamment de densité et d'intérêt à l'histoire. Ça se passe dans un milieu rural paumé où les agitations des hommes, ici à travers une enquête policière laborieuse, recouvrent pas mal de non-dits, de hontes intimes étouffées. Les 2h30 s'encaissent difficilement, jusqu'à l'autopsie, atroce, où l'on ne voit presque rien mais où l'on entend tout: la scie, le crâne et le corps qu'on ouvre, dans une atmosphère clinique insensible -des minutes répugnantes, forcément déplaisantes pour certains. Bien que Ceylan soit un cinéaste exigeant, la louange cannoise semble glisser vers l'intello-prétentieux et l'attraction vers le morbide. Certes, on remarquera le bel esthétisme des panoramas de rase campagne (au crépuscule), la lumière des phares (jaune) au sol, la netteté du paysage désert, la prégnance des éléments concrets, le mystère de la nuit et la capture miraculeuse de quelques miroitements (la pomme que l'obèse fait tomber et qui dérive; l'éclairage de la boucle d'oreille de la jeune fille en clair-obscur). Au-delà, on trouve aussi la langueur, laideur et interrogation. Sur le sens, on hésite. Le cinéaste travaille les contrastes sans rien livrer d'évident. C'est une sorte de jeu de piste, à saisir au-delà des apparences. En cela, le film, complexe, nécessite un regard mature. On sillonne les routes à la recherche d'un cadavre perdu quelque part près d'un fontaine... Chaque personnage fait le choix de l'évitement: le gras et nerveux commissaire Naci préfère allonger des heures sup' de nuit plutôt que subir sa femme; le procureur Nusret parle d'une femme splendide morte mystérieusement après avoir enfanté, alors qu'il s'agit de sa propre histoire (un drame lié à l'infidélité); le docteur, sans enfant, mentionne qu'il a divorcé sans raison réelle, alors qu'il cache un problème de stérilité. Le mensonge prend le dessus: un certain honneur, à la fois masculin et féminin, tente de sauver la face. En cohérence, on entrevoit le poids du patriarcat, et donc la triste condition des femmes en milieu rural, comme l'illustre cette jolie jeune fille, recluse chez ses vieux, serveuse et ménagère soumise et mutique, coincée dans la grange-auberge d'un village obsédé par la gestion de ses morts. Quant à la femme du mort, vis-à-vis de son fils elle préfère le silence à la douloureuse vérité (un adultère dramatique). L'«histoire» des uns et des autres nous parvient imbriquée, en creux, sous un voile trouble. Malheureusement, le tout s'étire interminablement, poussant à jeter un coup d'œil à l'heure qu'il est. L'intérêt reste limité, l'ennui pointe, soufflé par quelques éclairs énigmatiques. On finit par une scène pénible à écœurante. C'est dommage car les acteurs, totalement novices, manifestent du talent; le docteur Cemal (Muhammed Uzuner) a même un air de déjà-vu. Tout ce petit monde, flicaille à la douzaine, s'emmerde mais tente de surmonter ses névroses à travers des tâches monotones. Le résultat des agitations policières se révèle vain puisque la loi du non-dit s'impose. Le spectateur doit fait l'effort de lever le voile: partout résonne la souffrance, des affaires de rupture. Le docteur le connaît, ce jeu de faux-semblants: il n'est pas dupe. Mais l'intensité n'est pas au rendez-vous; derrière la simplicité du concret, un certain poids nous oppresse. Rien ne remue tellement, dans une absence totale de musique. Le rythme s'enlise dans une certaine redondance. Malgré quelques soupçons d'humour, la tristesse l'emporte. «Art is an endless voyage» dit le cinéaste: or il est des voyages plus réjouissants! D'une ambiance macabre tirant sur l'expression mélancolique, BIR ZAMANLAR ANADOLU'DA rate sa portée signifiante, tout en livrant un portrait local cru et acerbe. «Il était une fois» propose un conte intemporel à la fois trivial et énigmatique, âpre et poétique, sauf qu'on peine à en saisir l'objectif.
    BeatJunky
    BeatJunky

    149 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 août 2014
    Moins sensoriel, moins "organique" que du Malick mais tout aussi contemplatif et poétique parfois. C'est long, lent et ne plaira pas à un large public. Le genre de film auquel il faut se préparer. Je m'étais fait une idée grâce aux critiques sur ce site qui étaient toutes unanimes sur ce point. Mais lorsqu'on réussit à se mettre dedans, ce film marque par la beauté de ses longs plans, très longs. Certaines scènes sont très belles et m'ont vraiment scotchées notamment la scène dans le village plongé dans l'obscurité après une coupure de courant où la fille du maire fait un passage laissant tout le monde sans voix comme si un ange venait de passer! Magnifique! J'ai beaucoup apprécié découvrir cette région austère avec ses habitants aux visages rugueux et aux regards profonds (particulièrement celui du Docteur) qui contrastent avec la futilité de leurs conversations futiles et souvent amusantes. J'ai également aimé ce film pour m'avoir fait découvrir cette région avec une superbe photo et cette population très pauvre aux préoccupations à l'opposé des nôtres. Ce genre de cinéma m'apprend à rester humble, à me remettre en tête que nous vivons dans un monde bien trop matérialiste, et surtout confortable (pour la majorité d'entre nous). Là bas, l'humain est bien plus important que le matériel.... puisqu'il n'y a pas de matériel! Je n'ai cependant pas saisi tout ce que le réalisateur voulait faire passer (pourquoi le docteur ne veut pas rapporter ce qu'il constate pendant l'autopsie?) mais l'essentiel était je pense de ressentir cette ambiance particulière. De ce côté, c'est on ne peut plus réussi!
    framboise32
    framboise32

    149 abonnés 1 289 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 février 2012
    Le film est tout en longueur et en lenteur. Le temps de nous faire admirer les paysages somptueux et de suivre les personnages avec intensité. La longue recherche en voiture et dans la campagne va se passer en partie la nuit et va nous emmener jusqu’à l’aube. Le réalisateur transforme ce meurtre horrible en une longue balade. Les lumières sont magnifiques, les cadrages du réalisateur aussi. La séquence de la jeune femme dans le village au milieu de la nuit est poétique et magique.

    Le réalisateur se penche sur les faiblesses de la Turquie, on peut même y entendre de la bouche du procureur cette phrase dite par le procureur : “Ce n’est pas comme ça qu’on entrera dans l’Union européenne.” Le médecin légiste se plaint de son statut et du matériel qu’on lui alloue. Le film est un mélange de drame et d’absurdité ( la découverte horrible du cadavre et l’oubli de la housse mortuaire …)

    Le film est tel que soit on est fasciné par l’ensemble, soit on s’y ennuie !

    http://framboisemood.wordpress.com
    willyzacc
    willyzacc

    78 abonnés 1 544 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 janvier 2012
    Vraiment très très lent, mais quelle beauté dans les lumières. La partie dans la nuit est fantastique, le reste traîne en longueur. Une belle expérience.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 147 abonnés 5 132 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 janvier 2022
    Il est évident que ce film est une pensée intérieure continue entre les protagonistes. Il aurait pu choisir de filmer un wagon de train. Il a décidé d'en faire une action de recherche.
    J'ai plutôt ressenti un envoûtement. La durée y est pour quelque chose. J'aurais voulu que cela continue. On ressent tous les dialogues comme essentiels. On analyse chaque mot. On comprend le désarroi du procureur. Son sourire triste. Le médecin qui regrette d'avoir dit la vérité. Le commissaire pour qui il ne peut rien.
    C'est profond et riche.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 201 abonnés 7 512 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 novembre 2011
    Il était une fois en Anatolie (2011) est un drame turc qui va à coups sûr, mettre votre patience à rude épreuve, le film durant plus de 150 minutes (la première version était de 310 minutes !). Le film suit pas à pas l’enquête menée par un commissaire, où en pleine nuit, lui, un médecin, un procureur, son chauffeur et quelques policiers accompagnés du meurtrier, tentent de mettre la main sur l’endroit où il a enterré le corps de sa victime. En plein cœur de l’Anatolie, près d’Ankara, au centre de la Turquie, plongé en pleine obscurité durant plus de 90 minutes, on suit les errances de ce petit groupe, où leurs trois voitures sillonnes les routes sinueuses, s’arrêtant toutes les vingt minutes afin de mener leurs investigations. Bien que les paysages soient de toute beauté, il faut bien admettre que l’on s’ennui relativement vite, Nuri Bilge Ceylan usant à outrance de plans fixes interminables, de longs plans dénués de dialogues, alternant entre humour et sérieux, son film aurait pu être passionnant s’il avait été tronqué d’une bonne soixantaine de minutes, au lieu de cela, on assiste inlassablement à une enquête policière qui semble ne jamais vouloir prendre fin.
    tixou0
    tixou0

    698 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mai 2014
    Un transport de police judiciaire en plein coeur de l'Anatolie, de nuit : un commissaire de police, un procureur d'Ankara et son greffier, un médecin requis comme légiste.... et bien sûr le suspect, et son complice présumé. Il s'agit de localiser l'endroit où a été enterrée la victime d'un homicide. Une errance qui va durer jusqu'au petit jour, l'auteur, alcoolisé au moment des faits, ayant des souvenirs très flous. La 2e partie de ce long film (2 h 30) est diurne : rapatriement du corps à la "ville" (une grosse bourgade), formalités - dont l'autopsie. Réalisation complexe, sous des apparences d'épure. Thèmes universels abordés, en particulier par les dialogues, mais beaucoup de non-dit aussi, un film d'hommes, mais où la Femme est omniprésente (inspiratrice, dangereuse ou angélique, maternelle, passionnée....), dans les rêves, les souvenirs, les frustrations, les douleurs... Ce qui justifie pleinement l'affiche - avec une unique silhouette humaine, féminine et de dos. Tout est là ! Très beau film, austère (mais avec des notes drolatiques), puissant et envoûtant, entre le récit oriental ("Il était une fois en Anatolie") et les classiques russes. Une récompense cannoise méritée (2011 - Grand prix).
    Thierry M
    Thierry M

    160 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 novembre 2011
    Je me suit ennuyer gravement et vu la longueur de ce film, je suit partit avant la fin.
    jfharo
    jfharo

    55 abonnés 1 232 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 novembre 2011
    Encore un navet pour ne pas dire autre chose primé à Cannes cette année il y en a eue ! , c'est désolent !.
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