Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
L'Obs
par Pascal Mérigeau
"Elena" est un de ces grands films dont semaine après semaine l'actualité et la rumeur médiatique peuvent à tort donner à penser que le cinéma de maintenant en a perdu le secret.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
TéléCinéObs
par Lucie Calet
Le cinéaste, un surdoué du cadre, opte d'abord pour de captivants plans fixes, oppose la distance entre Vladimir et Elena à la promiscuité qui règne dans l'appartement du fils de celle-ci et filme l'affrontement père/fille avec des accents bergmaniens.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Pierre Murat
Zviaguintsev devient l'égal des plus grands avec ce conte noir, aiguisé comme un scalpel, où il dissèque un crime de classe dans un pays qui ne sait même plus ce que c'est.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Elle
par Françoise Delbecq
Andreï Zviaguintsev a le talent de cultiver un suspense nourri par la musique angoissante de Philip Glass. Il nous montre une société en proie à la sauvagerie (...). Sublime et terrifiant.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Express
par Eric Libiot
"Elena" est surtout un film d'une grande densité, tenu, tendu, qui laisse les plans s'exprimer - fixes et longs, vifs ou acérés - pour nourrir une histoire qui ne sort jamais du cadre. Suspense et tremblements. Spassiba, Andreï.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Jean Roy
Le plus important reste l'atmosphère, l'ambiance, la construction froide de l'image, une bande-son très riche dominée par la répétitivité de Phil Glass mais qui laisse aussi sa place au classique et à l'opéra. C'est aussi beau que les deux premiers films de l'auteur.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Pascal Mérigeau
"Elena" livre de la Russie d'aujourd'hui une radiographie dont la netteté rend vains la plupart des commentaires suscités par l'élection de Vladimir Poutine.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Arnaud Schwartz
Porté par les images millimétrées, toutes en subtilités de tons froids, du chef opérateur Mikhaïl Krichman, "Elena" happe le spectateur dans une mécanique implacable et ne le relâche pas sans faire peser une nouvelle menace.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Jean-Luc Bertet
Interprétée par une fantastique Nadezhda Markina, [Elena] apparaît comme la métaphore de l'époque. Assurément la plus glaciale.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jean-François Rauger
"Elena" est une oeuvre qui travaille magistralement sur divers niveaux. Scandé par une attention aux gestes de tous les jours (...), par de longs plans-séquences enregistrant (...) les déplacements des protagonistes (...), soutenu par la musique répétitive de Philip Glass, le film est structuré de manière à donner conscience au spectateur d'une évolution fatale.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
La chronique est un tantinet caricaturale, mais "Elena" fait preuve d'une lucidité évidente et donne froid dans le dos : dans la Russie de Poutine, les valeurs humaines ont bel et bien disparu !
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Zviaguintsev demeure certes un esthète qui calibre ses cadrages, ses déplacements de caméra et ses lumières avec la plus grande minutie, mais ce coup-là, sa virtuosité est mise au service d'un film noir, prenant de bout en bout.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Séguret
Avec "Elena", Zviaguintsev peint avec talent les tensions sourdes et violentes de la société russe.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Danièle Heymann
Le cinéma de Zviaguintsev n'a pas peur de la lenteur, il se déploie en longs plans-séquences jamais source d'ennui, car y battent les mouvements secrets de la vie. Elena s'incarne dans l'actrice Nadezhda Markina, admirable (...) .
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par La rédaction
Le nouveau film de Andreï Zviaguintsev cache la rudesse des sentiments dans une mise en scène feutrée et élégante, et pleine de non-dits.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Positif
par Eithne O'Neill
"Elena" met en relief la corruption, impliquant les ploutocrates et un sous-prolétariat. (...) La sobriété des plans fixes et des lignes épurées traduisent une distanciation du regard. Du travail admirable.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Christophe Narbonne
La longueur lancinante des plans, la répétition de certains motifs (...) donnent une impression de cauchemar éveillé permanent. "Un jour sans fin" version glauque dont la Russie n'est pas prêt de sortir.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Ce n'est pas le film le plus original ni le plus puissant du cinéaste russe (...). Mais on y retrouve la rigueur épurée de sa mise en scène. Son sens de l'espace et de l'éclairage lui permet de décrire avec une grande économie de moyens les oppositions sociales et les transformations intimes des personnages.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir le site du Point
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Paris Match
par Alain Spira
Un thriller social glaçant qui ne fait pas de cadeaux à une certaine classe populaire inculte et envieuse.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Regret : que l'incontestable talent formel de Zviaguintsev ne soit qu'au service d'une misanthropie étouffante déguisée en lucidité à peu de frais, où l'hypothèse du crime de classe est neutralisée par un cynisme destructeur et démissionnaire renvoyant dos à dos salauds de riches et salauds de pauvres.
Chronic'art.com
par Jérôme Momcilovic
Qu'"Elena" s'ouvre sur le plan fixe et interminable d'une branche d'arbre tondue par l'hiver et où vient s'installer un corbeau opportun, invite d'emblée à faire deux-trois pronostics. D'abord, que le cinéaste qui fait ce type d'invitation est du genre à filmer ses personnages comme des bûches.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Critikat.com
par Julien Marsa
"Elena" fait preuve d'un didactisme dément, avec tous les mauvais atours du " film sérieux " : mise en scène ostentatoire et glacée, peinture d'un monde schématique avec un cynisme étouffant, pour un propos caricatural et détestable.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
"Elena" est un de ces grands films dont semaine après semaine l'actualité et la rumeur médiatique peuvent à tort donner à penser que le cinéma de maintenant en a perdu le secret.
TéléCinéObs
Le cinéaste, un surdoué du cadre, opte d'abord pour de captivants plans fixes, oppose la distance entre Vladimir et Elena à la promiscuité qui règne dans l'appartement du fils de celle-ci et filme l'affrontement père/fille avec des accents bergmaniens.
Télérama
Zviaguintsev devient l'égal des plus grands avec ce conte noir, aiguisé comme un scalpel, où il dissèque un crime de classe dans un pays qui ne sait même plus ce que c'est.
Elle
Andreï Zviaguintsev a le talent de cultiver un suspense nourri par la musique angoissante de Philip Glass. Il nous montre une société en proie à la sauvagerie (...). Sublime et terrifiant.
L'Express
"Elena" est surtout un film d'une grande densité, tenu, tendu, qui laisse les plans s'exprimer - fixes et longs, vifs ou acérés - pour nourrir une histoire qui ne sort jamais du cadre. Suspense et tremblements. Spassiba, Andreï.
L'Humanité
Le plus important reste l'atmosphère, l'ambiance, la construction froide de l'image, une bande-son très riche dominée par la répétitivité de Phil Glass mais qui laisse aussi sa place au classique et à l'opéra. C'est aussi beau que les deux premiers films de l'auteur.
L'Obs
"Elena" livre de la Russie d'aujourd'hui une radiographie dont la netteté rend vains la plupart des commentaires suscités par l'élection de Vladimir Poutine.
La Croix
Porté par les images millimétrées, toutes en subtilités de tons froids, du chef opérateur Mikhaïl Krichman, "Elena" happe le spectateur dans une mécanique implacable et ne le relâche pas sans faire peser une nouvelle menace.
Le Journal du Dimanche
Interprétée par une fantastique Nadezhda Markina, [Elena] apparaît comme la métaphore de l'époque. Assurément la plus glaciale.
Le Monde
"Elena" est une oeuvre qui travaille magistralement sur divers niveaux. Scandé par une attention aux gestes de tous les jours (...), par de longs plans-séquences enregistrant (...) les déplacements des protagonistes (...), soutenu par la musique répétitive de Philip Glass, le film est structuré de manière à donner conscience au spectateur d'une évolution fatale.
Les Fiches du Cinéma
La chronique est un tantinet caricaturale, mais "Elena" fait preuve d'une lucidité évidente et donne froid dans le dos : dans la Russie de Poutine, les valeurs humaines ont bel et bien disparu !
Les Inrockuptibles
Zviaguintsev demeure certes un esthète qui calibre ses cadrages, ses déplacements de caméra et ses lumières avec la plus grande minutie, mais ce coup-là, sa virtuosité est mise au service d'un film noir, prenant de bout en bout.
Libération
Avec "Elena", Zviaguintsev peint avec talent les tensions sourdes et violentes de la société russe.
Marianne
Le cinéma de Zviaguintsev n'a pas peur de la lenteur, il se déploie en longs plans-séquences jamais source d'ennui, car y battent les mouvements secrets de la vie. Elena s'incarne dans l'actrice Nadezhda Markina, admirable (...) .
Ouest France
Le nouveau film de Andreï Zviaguintsev cache la rudesse des sentiments dans une mise en scène feutrée et élégante, et pleine de non-dits.
Positif
"Elena" met en relief la corruption, impliquant les ploutocrates et un sous-prolétariat. (...) La sobriété des plans fixes et des lignes épurées traduisent une distanciation du regard. Du travail admirable.
Première
La longueur lancinante des plans, la répétition de certains motifs (...) donnent une impression de cauchemar éveillé permanent. "Un jour sans fin" version glauque dont la Russie n'est pas prêt de sortir.
Le Figaroscope
Ce n'est pas le film le plus original ni le plus puissant du cinéaste russe (...). Mais on y retrouve la rigueur épurée de sa mise en scène. Son sens de l'espace et de l'éclairage lui permet de décrire avec une grande économie de moyens les oppositions sociales et les transformations intimes des personnages.
Le Point
Voir le site du Point
Paris Match
Un thriller social glaçant qui ne fait pas de cadeaux à une certaine classe populaire inculte et envieuse.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Cahiers du Cinéma
Regret : que l'incontestable talent formel de Zviaguintsev ne soit qu'au service d'une misanthropie étouffante déguisée en lucidité à peu de frais, où l'hypothèse du crime de classe est neutralisée par un cynisme destructeur et démissionnaire renvoyant dos à dos salauds de riches et salauds de pauvres.
Chronic'art.com
Qu'"Elena" s'ouvre sur le plan fixe et interminable d'une branche d'arbre tondue par l'hiver et où vient s'installer un corbeau opportun, invite d'emblée à faire deux-trois pronostics. D'abord, que le cinéaste qui fait ce type d'invitation est du genre à filmer ses personnages comme des bûches.
Critikat.com
"Elena" fait preuve d'un didactisme dément, avec tous les mauvais atours du " film sérieux " : mise en scène ostentatoire et glacée, peinture d'un monde schématique avec un cynisme étouffant, pour un propos caricatural et détestable.