Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une (bonne) surprise de la part du réalisateur de "La Visite de la fanfare" (...). Une dérangeante exploration existentialiste dont la froideur rappelle parfois "l'Étranger" de Camus.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Isabelle Regnier
Entre la fable surréaliste et le récit naturaliste, la trajectoire de ce personnage qui se détache du monde provoque un certain trouble. Sa nature est difficile à identifier, comme le sens de cette histoire (...). Dans ce trouble, réside aussi le charme du film.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Julien Englenbert
Pour aborder un sujet déroutant, Eran Kolirin s'efforce de prendre le spectateur par la main, alors qu'une plus grande radicalité aurait sans doute mieux servi son propos.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Léo Soesanto
Du "Playtime" volontairement low cost où, s'il y a regard enfantin, celui-ci serait vraiment anxieux. (...) "The Exchange" finit par tourner en rond. (...) Mais avec peu, Kolirin trousse un film drôlement inquiétant sur le mal infantile contemporain. Et il y a une vraie beauté dans son trait minimal.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par La Rédaction
[Le film] met en scène un homme (...) soudain envahi par "le sentiment de pénétrer chez un inconnu" (...). Intrigué par l'expérience (...) il poursuit l'aventure intérieure... que l'on suit effectivement avec curiosité, même si le rythme lent et répétitif du traitement comporte un risque indéniable de décrochage.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Isabelle Danel
Intriguant, quasi muet, "The Exchange" se heurte aux limites d'un postulat ténu et alors tourne en rond. Mais ce conte philosophique aux accents burlesques insoupçonnés n'en possède pas moins une élégance singulière.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Le film séduit d'abord, pour sa mise en scène précise, attentive et habile dans sa manière de nous faire ressentir les effets curieux d'un regard oblique. Pourtant, c'est peu à peu pour l'étrangeté d'un regard vraiment détaché qu'opte Eran Kolirin. (...) Là, on ne le suit plus qu'avec... détachement.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Benoît Smith
Eran Kolirin a une conception bien étriquée de l'étrange, de la marginalité, de la transgression ; sa vision atteint clairement ses limites lorsque apparaissent les situations de pur cliché sur lesquelles il se rabat à propos de ces sujets.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Hélas, le traitement austère [du] sujet, avec plans fixes, quasi-absence de dialogues, acteurs et décors minimalistes, la répétition de certaines scènes (...) et le récit en creux sur ce postulat très ténu risquent de décourager le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Studio Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Comme un très long sketch, le film s'enferme dans une dynamique assez vaine, précis dans ses effets mais toujours plus vague et brumeux (pour ne pas dire fumeux) quant à l'expérience qu'il représente.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
Un jeune chercheur devient spectateur de son existence morne de petit cadre aliéné. De cette idée alléchante (...), le cinéaste ne tire hélas qu'une caricature de film d'auteur passablement dévitalisée : acteurs atones, découpage ronronnant, atmosphère absurdo-glacée fastoche et complaisante (...).
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
L'Humanité
Une (bonne) surprise de la part du réalisateur de "La Visite de la fanfare" (...). Une dérangeante exploration existentialiste dont la froideur rappelle parfois "l'Étranger" de Camus.
Le Monde
Entre la fable surréaliste et le récit naturaliste, la trajectoire de ce personnage qui se détache du monde provoque un certain trouble. Sa nature est difficile à identifier, comme le sens de cette histoire (...). Dans ce trouble, réside aussi le charme du film.
Les Fiches du Cinéma
Pour aborder un sujet déroutant, Eran Kolirin s'efforce de prendre le spectateur par la main, alors qu'une plus grande radicalité aurait sans doute mieux servi son propos.
Les Inrockuptibles
Du "Playtime" volontairement low cost où, s'il y a regard enfantin, celui-ci serait vraiment anxieux. (...) "The Exchange" finit par tourner en rond. (...) Mais avec peu, Kolirin trousse un film drôlement inquiétant sur le mal infantile contemporain. Et il y a une vraie beauté dans son trait minimal.
Libération
[Le film] met en scène un homme (...) soudain envahi par "le sentiment de pénétrer chez un inconnu" (...). Intrigué par l'expérience (...) il poursuit l'aventure intérieure... que l'on suit effectivement avec curiosité, même si le rythme lent et répétitif du traitement comporte un risque indéniable de décrochage.
Première
Intriguant, quasi muet, "The Exchange" se heurte aux limites d'un postulat ténu et alors tourne en rond. Mais ce conte philosophique aux accents burlesques insoupçonnés n'en possède pas moins une élégance singulière.
Télérama
Le film séduit d'abord, pour sa mise en scène précise, attentive et habile dans sa manière de nous faire ressentir les effets curieux d'un regard oblique. Pourtant, c'est peu à peu pour l'étrangeté d'un regard vraiment détaché qu'opte Eran Kolirin. (...) Là, on ne le suit plus qu'avec... détachement.
Critikat.com
Eran Kolirin a une conception bien étriquée de l'étrange, de la marginalité, de la transgression ; sa vision atteint clairement ses limites lorsque apparaissent les situations de pur cliché sur lesquelles il se rabat à propos de ces sujets.
La Croix
Hélas, le traitement austère [du] sujet, avec plans fixes, quasi-absence de dialogues, acteurs et décors minimalistes, la répétition de certaines scènes (...) et le récit en creux sur ce postulat très ténu risquent de décourager le spectateur.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Cahiers du Cinéma
Comme un très long sketch, le film s'enferme dans une dynamique assez vaine, précis dans ses effets mais toujours plus vague et brumeux (pour ne pas dire fumeux) quant à l'expérience qu'il représente.
TéléCinéObs
Un jeune chercheur devient spectateur de son existence morne de petit cadre aliéné. De cette idée alléchante (...), le cinéaste ne tire hélas qu'une caricature de film d'auteur passablement dévitalisée : acteurs atones, découpage ronronnant, atmosphère absurdo-glacée fastoche et complaisante (...).