Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Le Figaroscope
par Emmanuelle Frois
Kore-Eda se fait ici portraitiste de l'enfance dont il connaît tous les parfums, des plus légers aux plus mystérieux. Son film superbe et miraculeux est mené par une bande de gamins irrésistible.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Point
par Florence Colombani
Voir le site du Point.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Le cinéaste est réellement passé a la vitesse (...) [supérieure] avec le film le plus jubilatoire du cinéma nippon actuel, qui enchevêtre les registres (...) avec grâce et harmonie, sans le moindre souci de hiérarchie. Un film plein, généreux, acidulé, et pop, dans le meilleur sens du terme.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
CinemaTeaser
par Franz Miceli
Le réalisateur de "Nobody Knows" n'a rien perdu de sa superbe. Quel talent !
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Guillaume Morel
Comme dans "Nobody Knows", le réalisateur sait filmer, toujours du point de vue de l'enfance, l'éventail des conquêtes sensorielles, parfois infimes, qui font l'essence de cette période.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Eric Libiot
Le cinéaste n'a pas son pareil pour faire jouer les enfants et donner à son récit la dimension poétique qui lui manquait.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Thomas Sotinel
(...) un récit joyeux, parcouru de courants magiques. (...) Le style fluide du réalisateur accompagne parfaitement ce long voyage accompli en trottinant, en sinuant d'un chemin à l'autre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par François Barge-Prieur
Une douce chronique familiale qui, au fil d'un récit étiré et minimaliste, offre quelques belles scènes dont Kore-eda a le secret. Mais l'ensemble manque parfois de piquant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Danièle Heymann
(...) une fois encore, rarement l'enfance aura été perçue, captée et respectée avec autant de justesse.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Metro
par Mehdi Omaïs
Avec "I Wish", Hirokazu Kore-Eda signe une jolie chronique sur l'insouciance de l'enfance, portée par d'attachants comédiens.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Paris Match
par Alain Spira
Racontée avec humour et bienveillance, cette aventure insouciante est une respiration unique.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
Sans avoir l'ampleur de "Nobody Knows" ou de "Still Walking", "I Wish" possède cette petite musique nostalgique, cet étirement du temps, cette émotion retenue qui sont la marque d'un cinéaste qu'il faut continuer à suivre.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Gaël Golhen
Comme dans tout road-movie, le but importe autant que le voyage lui-même, rendu extrêmement vivant par une série de micro-événements qui donnent au film la spontanéité d'un documentaire.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Lucie Calet
La grâce à l'état pur.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
20 Minutes
par Stéphane Leblanc
Et si le miracle déçoit un peu, c'est peut-être le signe qu'on a grandi.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
Spectacle " familial ", au sens de transmission entre enfants et adultes, "I Wish" propose à ses jeunes spectateurs une réflexion existentielle. Ce n'est pas la moindre de ses qualités.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
De la finesse d'écriture de Kore-Eda et du jeu touchant de ses jeunes acteurs (...) naissent l'élan et la force de ce film, plein de drôlerie, de tendresse et d'innocence.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Si elle tarde un peu à se mettre en place, cette fable symbolique, qui déborde d'humanité et d'espoir, prône la solidarité et invite à croire en ses rêves.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Télérama
par Frédéric Strauss
La chronique familiale qui décrit leur quotidien est parfois charmante, mais bavarde, décousue. (...) Quand les deux frères partent assister au spectacle, (...) "I wish" prend des allures de conte. (...) Avec cette dernière partie, très belle, l'autre atout de ce film inégal est l'interprétation des deux frères.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
par Julien Gester
Mais l'imaginaire taille sept ans d'"I Wish" et les aspirations déroutées des grandes personnes ne sauraient se croiser trop durablement : à ce que l'on nous dit, le film est d'abord destiné aux enfants.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Figaroscope
Kore-Eda se fait ici portraitiste de l'enfance dont il connaît tous les parfums, des plus légers aux plus mystérieux. Son film superbe et miraculeux est mené par une bande de gamins irrésistible.
Le Point
Voir le site du Point.
Les Inrockuptibles
Le cinéaste est réellement passé a la vitesse (...) [supérieure] avec le film le plus jubilatoire du cinéma nippon actuel, qui enchevêtre les registres (...) avec grâce et harmonie, sans le moindre souci de hiérarchie. Un film plein, généreux, acidulé, et pop, dans le meilleur sens du terme.
CinemaTeaser
Le réalisateur de "Nobody Knows" n'a rien perdu de sa superbe. Quel talent !
Critikat.com
Comme dans "Nobody Knows", le réalisateur sait filmer, toujours du point de vue de l'enfance, l'éventail des conquêtes sensorielles, parfois infimes, qui font l'essence de cette période.
L'Express
Le cinéaste n'a pas son pareil pour faire jouer les enfants et donner à son récit la dimension poétique qui lui manquait.
Le Monde
(...) un récit joyeux, parcouru de courants magiques. (...) Le style fluide du réalisateur accompagne parfaitement ce long voyage accompli en trottinant, en sinuant d'un chemin à l'autre.
Les Fiches du Cinéma
Une douce chronique familiale qui, au fil d'un récit étiré et minimaliste, offre quelques belles scènes dont Kore-eda a le secret. Mais l'ensemble manque parfois de piquant.
Marianne
(...) une fois encore, rarement l'enfance aura été perçue, captée et respectée avec autant de justesse.
Metro
Avec "I Wish", Hirokazu Kore-Eda signe une jolie chronique sur l'insouciance de l'enfance, portée par d'attachants comédiens.
Paris Match
Racontée avec humour et bienveillance, cette aventure insouciante est une respiration unique.
Positif
Sans avoir l'ampleur de "Nobody Knows" ou de "Still Walking", "I Wish" possède cette petite musique nostalgique, cet étirement du temps, cette émotion retenue qui sont la marque d'un cinéaste qu'il faut continuer à suivre.
Première
Comme dans tout road-movie, le but importe autant que le voyage lui-même, rendu extrêmement vivant par une série de micro-événements qui donnent au film la spontanéité d'un documentaire.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
La grâce à l'état pur.
20 Minutes
Et si le miracle déçoit un peu, c'est peut-être le signe qu'on a grandi.
Cahiers du Cinéma
Spectacle " familial ", au sens de transmission entre enfants et adultes, "I Wish" propose à ses jeunes spectateurs une réflexion existentielle. Ce n'est pas la moindre de ses qualités.
La Croix
De la finesse d'écriture de Kore-Eda et du jeu touchant de ses jeunes acteurs (...) naissent l'élan et la force de ce film, plein de drôlerie, de tendresse et d'innocence.
Le Journal du Dimanche
Si elle tarde un peu à se mettre en place, cette fable symbolique, qui déborde d'humanité et d'espoir, prône la solidarité et invite à croire en ses rêves.
Télérama
La chronique familiale qui décrit leur quotidien est parfois charmante, mais bavarde, décousue. (...) Quand les deux frères partent assister au spectacle, (...) "I wish" prend des allures de conte. (...) Avec cette dernière partie, très belle, l'autre atout de ce film inégal est l'interprétation des deux frères.
Libération
Mais l'imaginaire taille sept ans d'"I Wish" et les aspirations déroutées des grandes personnes ne sauraient se croiser trop durablement : à ce que l'on nous dit, le film est d'abord destiné aux enfants.