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    L'Apollonide - souvenirs de la maison close
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    3,2
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    325 critiques spectateurs

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    ferdinand
    ferdinand

    14 abonnés 452 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 septembre 2011
    Après le scénario déficient de Habemus papam, pas de scénario du tout, c'est d'un chic! Somptueusement filmé, ce film se regarde au début avec l'espoir que ça va nous mener quelque part, puis avec un vague intérêt pour toute cette viande froide... L'auteur a des problèmes!
    vidalger
    vidalger

    326 abonnés 1 252 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 septembre 2011
    Nullache! Rien à garder dans ce film sans scénario, sans relief, sans originalité. On a souvent l'impression d'un documentaire pornosoft (le producteur voulait sans doute éviter l'interdiction aux mineurs!), avec tous les clichés et enfoncements de portes ouvertes possibles en 2 heures. La critique professionnelle me désole une fois de plus.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 28 septembre 2011
    Un film dégoutant, pervers et sans sujet. Durant le film, c'est les memes scènes qui se répetent (pas forcement la meme prostituée).
    C'est un film sans intert comme plein d'autres films français (le sex est un sujet trop à la mode en france)
    Patrick Braganti
    Patrick Braganti

    94 abonnés 425 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 septembre 2011
    La maison close, qui connait ici ses derniers feux, constitue le théâtre du fantasme qui prend corps et réalité par le biais de l’argent, vecteur de la puissance et du désir. Comme l’énonce un des clients : « Je peux faire ce que je veux puisque je paye ». Dès lors, on ne peut raisonnablement passer à côté de l’opposition séculaire entre domination masculine et soumission féminine. Derrière les ors, les parfums et les bijoux, les flots de champagne et les pipes d’opium, la relation sexuelle inscrite dans le pouvoir de l’homme et la sujétion de la prostituée finit par exister. Un des mérites du film est de montrer comment s’organisait la vie d’une prostituée recrutée par la tenancière de la maison close. Tantôt recommandée par des parents, désireuse d’émancipation et de liberté, elle ne comprenait pas, du fait de son jeune âge – on y rentrait vers seize ans – et de son inexpérience en quoi l’enfermement et la dépendance financière allaient se révéler un piège, dont la libération était au mieux le refuge dans l’alcool et la drogue, au pire l’exil vers les bordels les plus misérables, voire la maladie et la mort. Couverte de dettes qu’un client assidu et compassionnel pourrait éponger, la prostituée de la maison close, pour favorisée et protégée qu’elle pourrait paraître, n’en demeure pas moins l’employée d’une maquerelle dépeinte en patronne faussement maternelle, mais âpre au gain et à la tâche. Là aussi s’opère irrémédiablement le lien avec notre époque : entendre parler de dettes, d’une ville (Paris) de plus en plus chère, de diminution de subventions et de personnel trouve obligatoirement un écho.

    Souvent accusé d’être un cinéaste cérébral, Bertrand Bonello prouve avec L’Apollonide toute la maîtrise de son art. Les différentes scènes sont autant de tableaux inspirés de Delacroix, Ingres ou Manet (pour le déjeuner sur les berges). La réussite incontestable du film passe aussi par son esthétique, sa recherche et son exigence formelles. À l’époque où le cinéma fait son apparition et le nouveau siècle démarre, le film autour de ses héroïnes, solidaires mais solitaires, atteste de la fin d’un monde. Les dernières minutes – que l’on peut raisonnablement considérer comme superfétatoire – suffisent néanmoins à rappeler la dégradation d’une fonction que ni la fermeture des maisons closes au sortir de la Seconde Guerre mondiale ni les récentes lois censées la réguler n’ont endiguée. Sous l’influence des maîtres Pasolini et Cronenberg, Bertrand Bonello livre un film magistral et envoûtant, qui ne nous place jamais en voyeurs et évite les effets faciles et dévastateurs de la provocation. Accompagné par la musique blues et gospel, celle-là même qui fut celle de l’esclavage, bénéficiant d’une interprétation exceptionnelle, L’Apollonide – souvenirs de la maison close, libre et sensuel, entre dans le cercle restreint des œuvres habitées et touchées par la grâce.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 28 septembre 2011
    Quel ennui, mais quel ennui. La vie de prostituées dans un bordel et c'est tout. Il doit s'agir d'un documentaire...
    rueprivée
    rueprivée

    2 abonnés 27 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 27 septembre 2011
    Un cauchemar, long très long, glauque très glauque !!! Encore a la recherche de l'intérêt de ce film... Bon courage.
    Marie D
    Marie D

    12 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 septembre 2011
    Elles sont toutes belles, normal c'est un film ! La macrelle est cool ! Normal c'est un film. Mais on finit toujours sur le trottoir en fin de compte dans ce métier. Être en prison dans un cocon ou en prison sur le bitume ? Ces femmes sont toujours à la merci des hommes et de leur fantasmes...
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 28 septembre 2011
    L'esthétique est superbes, chaque image est une oeuvre picturale... Le jeu des actrices est somptueux et très vrai. Pas de faux semblants... Ce film pourrait être un bijou, dommage qu'il ne soit si long, 20 minutes de moins l'auraient rendu beaucoup plus convaincant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 27 septembre 2011
    film qui montre bien ce lieu, ou du moins ce qu'on se représente de ce lieu.... le temps qui s'écoule, lent, les filles qui sont magnifiques à la fois de désespoir et de joie. Prenant aux tripes. a aller voir sans hésiter
    seblecaribou
    seblecaribou

    39 abonnés 585 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 septembre 2011
    Je suis assez peu friand de ce genre de films qui constituent plus une vignette représentative d'une époque ou d'un phénomène précis qu'une vraie histoire avec un début et une fin et des péripéties (pas besoins qu'elles soient palpitantes) entre les deux.

    Par conséquent j'ai aimé les décors, la façon de cadrer, les actrices qui sont justes et plutôt belles ce qui ne gâche rien, ainsi que toute leurs parures. Par contre j'ai rapidement sombré dans une sorte de léthargie non pas due au rythme (si lent soit-il j'encaisse très bien) qu'à l'absence de réelle trame quelconque. On a vaguement un début de tension quand à savoir qui va se voir racheter sa dette, qui va choper quoi, qui va se sortir de la maison...mais au final rien de bien tangible.

    Ah si fait notable (enfin en ce qui me concerne) c'est la première fois que j'ai trouvé l'utilisation de cases agréable à suivre; la plupart du temps je reste sur une parce que ça me soule d'en suivre plus, pour le coup j'ai trouvé ça bien utilisé...un peu maigre comme argument.

    Donc bof...une demi-molle pour le côté tranche d'une époque sans histoire à raconter. J'aurais préféré que la maison close soit un décor, un cadre et non pas simplement le sujet du film.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 27 septembre 2011
    un film singulier , à mon sens se sont les meilleure, j'ai plongé de bon coeur auprès de toutes ses femmes si forte et vulnérable à la fois qui s'éapulent les unes et les autres dans leur prison doré , les musiques sont exellente, j'ai passé un agréable moment devant l'Appolonide .
    Georges F
    Georges F

    8 abonnés 257 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 septembre 2011
    Dieu que ce documentaire est long et insipide. Tous les poncifs et les clichés sont passés méthodiquement en revue, un par un, comme une longue marche ou un chemin de croix pour le spectateur. On apprend que les clients ont des fantasmes, que les filles sont menacées par la syphillis, que la maison close est un univers carcéral, qu'après la maison, il n'y a plus rien, que la mère maquerelle tient les filles par l'argent qu'elles lui doivent et ne peuvent rembourser. Existe-t-il quelque chose d'original dans le scènario? une quelconque création? On assiste à la fermeture de la maison close comme un message subliminal qui nous dit que les filles se retrouvent sur le trottoir, la faute à Marthe Richard: un vigoureux plaidoyer, un message politique et une image forte, les larmes de la prostituée sont des larmes de sperme. Voilà l'oeuvre où nous retrouvons les actrices de "naissance des pieuvres" qui, d'adolescentes, sont devenues des femmes puisqu'elles ne se sont pas noyées dans le film précédent, contrairement à ce que l'on pouvait espérer.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 27 septembre 2011
    Sur la forme ce film est une vrai réussite, l'image des corps sublimes de ces jeunes femmes est sans cesse renversée par leurs visages épleurés, tourmentés, et même mutilé. Une époque avec des codes et des rapports que nous ne connaissons plus. La musqiue rock qui peut surprendre est étonnament juste et trouve parfaitement sa place. Sur beaucoup d'aspects ce films m'a paru être une grande réussite.

    Sur le fond c'est une tout autre histoire. On peut croire jusqu'aux cinq dernières minutes que ce film est un portrait d'époque qui cherche à nous rappeler combien la vie des prostituées pouvait être cruelle. Mais le dernier plan révèle la visée purement idéologique de ce film. Ce dernier met sur le même plan la condition de la prostituée des maisons closes en 1900 à celle des prostituées qu'on trouve de nos jours sur les boulevard des maréchaux!
    Le but étant que le spectateur bouleversé par les deux heures de cette pièce tragique ne se rende pas compte de l'absurdité de la chose.
    Il n'aura pas le reflexe de se dire que les maisons closes ont été interdites sous la pression de ceux-là même qui rendent hommage à ce film! Il n'aura pas la présence d'esprit de se dire qu'entre temps les mafias et les dealeurs que l'inefficacité policière laisse prosperer auront remplacé la mère macquerelle dont on connaissait l'adresse. Enfin il ne se dire pas que depuis 1900 deux phénomènes auront radicalement bouleversé nos sociétés et les conditions d'existence de ces femmes: l'Europe et la mondialisation!

    Mais ce genre de film n'est pas fait pour réflechir, il est chargé d'assèner à coup de larmes et de décontextualisation les lieux communs liés à ce problème. Je vous laisse deviner qui est le bouc-émissaire dans l'histoire...
    Guiciné
    Guiciné

    167 abonnés 1 243 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 septembre 2011
    Un film décevant en rapport d'une Bande annonce alléchante, a part la fin assez émouvante, tout traîne en longueur et ne m'a pas du tout convaincu. Dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 27 septembre 2011
    2 heures qui en paraissent 4.
    Un film d'une prétention et d'une bêtise remarquable. Un propos absent ou démagogique, choisissez. Pas de scénario. Une bande son brutale et de mauvais goût, des répliques plates répétitives et mal jouées.
    N'est pas Abdelatif Kechiche qui veut.
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