L'Apollonide - souvenirs de la maison close : Critique presse
L'Apollonide - souvenirs de la maison close
Note moyenne
3,6
21 titres de presse
Critikat.com
L'Obs
Le Monde
Le Parisien
Les Inrockuptibles
Libération
Télérama
Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
L'Obs
Le Point
Première
Elle
Le Journal du Dimanche
Positif
Studio Ciné Live
20 Minutes
L'Express
Télérama
Le Figaroscope
Metro
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Critikat.com
par Raphaël Lefèvre
Une oeuvre d'une radicale splendeur, aussi généreuse que cruelle, qui, tout en sécrétant un indéniable plaisir des costumes et du décor, ne le cède en rien sur le terrain de la surprise et de l'acuité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Actrices à tomber de son fauteuil, il conviendrait de les citer toutes [...] Les souvenirs d'une autre époque n'en finissent pas de dessiner un tableau du monde d'aujourd'hui, femmes entre elles et hommes qui les regardent.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Isabelle Regnier
La poésie, son intemporelle fulgurance, est bel et bien le maître mot de cette oeuvre (...). Cette hétérogénéité, qui tient du manifeste artistique et politique, produit une dissonance qui confine au sublime.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Marie Sauvion
Passionnant, "l'Apollonide" dérangera certains — une pute défigurée y pleure des larmes de sperme — mais laissera les cinéphiles bouleversés.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Réflexif et sensuel, suave et toxique : immense.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Bertrand Bonello n'a jamais été aussi libre, aussi concentré, sa virtuosité discrète explose. [...] Chef-d'oeuvre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Guillemette Odicino
(POUR) "L'Apollonide", cinquième long métrage de Bertrand Bonello, est un choc esthétique. L'un des plus beaux films sur la chair féminine.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
Avec "L'Apollonide", Bertrand Bonello signe peut-être son meilleur film.
Chronic'art.com
par Vincent Garreau
Le film pourrait donner le sentiment d'être un bel objet un peu vain (ce qu'il est peut-être un peu aussi, en partie), s'il ne mettait en abyme cette beauté vaine à travers celle présumée des prostituées, pour lui opposer de puissantes contradictions.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Obs
par Lucie Calet
Bonello (grâce à ses comédiennes, toutes formidables) filme admirablement la tristesse.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Point
par Florence Colombani
Voir le site www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par Thomas Agnelli
"L'Apollonide-Souvenirs de la maison close" est un vrai mélodrame au souffle tragique et au faste éteint.
La critique complète est disponible sur le site Première
Elle
par Anne Diatkine
Qui dit ribambelle de filles dit ribambelle de jeunes actrices, toutes à découvrir. Quel est le bémol, donc ? Le cinéaste ne semble pas avoir d'autre point de vue esthétique.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Journal du Dimanche
par Carlos Gomez
Le cinéaste privilégie la chronique réaliste au romanesque. Trop long ? Sans doute un peu.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Positif
par Nicolas Bauche
Bonello [perd] de vie ses personnages et laisse ainsi évaporer l'émotion dans un film où l'ambiance remplace toute narration. (...) On aurait pourtant tort de ne pas reconnaître les qualités manifestes de 'L'Apollonide".
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Ciné Live
par Fabrice Leclerc
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
20 Minutes
par Caroline Vié
La sensualité est cruellement absente d'une oeuvre mortifère qu'un épilogue lourdaud sur la prostitution actuelle achève de plomber.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Express
par Eric Libiot
Voir le site www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Télérama
par Aurélien Ferenczi
(CONTRE) Il manque au film la capacité d'émouvoir le spectateur par une quelconque progression dramatique ou toute possibilité d'empathie avec ses personnages. Ici, rien de tel. Surtout pas ça !
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaroscope
par La rédaction
En compétition au Festival de Cannes, ce film procure un ennui immense mais aussi quelques fous rires, tant certaines scènes de sexe et de violence sont affligeantes. Les pauvres Hafsia Herzi, Céline Sallette et Noémie Lvovsky n'ont plus qu'à aller se rhabiller.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Metro
par Jérôme Vermelin
Sous prétexte de réalisme branché, Bertrand Bonello bâcle sa reconstitution : les lumières sont ternes, les cadrages baclés, la direction des acteurs flottante.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Critikat.com
Une oeuvre d'une radicale splendeur, aussi généreuse que cruelle, qui, tout en sécrétant un indéniable plaisir des costumes et du décor, ne le cède en rien sur le terrain de la surprise et de l'acuité.
L'Obs
Actrices à tomber de son fauteuil, il conviendrait de les citer toutes [...] Les souvenirs d'une autre époque n'en finissent pas de dessiner un tableau du monde d'aujourd'hui, femmes entre elles et hommes qui les regardent.
Le Monde
La poésie, son intemporelle fulgurance, est bel et bien le maître mot de cette oeuvre (...). Cette hétérogénéité, qui tient du manifeste artistique et politique, produit une dissonance qui confine au sublime.
Le Parisien
Passionnant, "l'Apollonide" dérangera certains — une pute défigurée y pleure des larmes de sperme — mais laissera les cinéphiles bouleversés.
Les Inrockuptibles
Réflexif et sensuel, suave et toxique : immense.
Libération
Bertrand Bonello n'a jamais été aussi libre, aussi concentré, sa virtuosité discrète explose. [...] Chef-d'oeuvre.
Télérama
(POUR) "L'Apollonide", cinquième long métrage de Bertrand Bonello, est un choc esthétique. L'un des plus beaux films sur la chair féminine.
Cahiers du Cinéma
Avec "L'Apollonide", Bertrand Bonello signe peut-être son meilleur film.
Chronic'art.com
Le film pourrait donner le sentiment d'être un bel objet un peu vain (ce qu'il est peut-être un peu aussi, en partie), s'il ne mettait en abyme cette beauté vaine à travers celle présumée des prostituées, pour lui opposer de puissantes contradictions.
L'Obs
Bonello (grâce à ses comédiennes, toutes formidables) filme admirablement la tristesse.
Le Point
Voir le site www.lepoint.fr
Première
"L'Apollonide-Souvenirs de la maison close" est un vrai mélodrame au souffle tragique et au faste éteint.
Elle
Qui dit ribambelle de filles dit ribambelle de jeunes actrices, toutes à découvrir. Quel est le bémol, donc ? Le cinéaste ne semble pas avoir d'autre point de vue esthétique.
Le Journal du Dimanche
Le cinéaste privilégie la chronique réaliste au romanesque. Trop long ? Sans doute un peu.
Positif
Bonello [perd] de vie ses personnages et laisse ainsi évaporer l'émotion dans un film où l'ambiance remplace toute narration. (...) On aurait pourtant tort de ne pas reconnaître les qualités manifestes de 'L'Apollonide".
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
20 Minutes
La sensualité est cruellement absente d'une oeuvre mortifère qu'un épilogue lourdaud sur la prostitution actuelle achève de plomber.
L'Express
Voir le site www.lexpress.fr
Télérama
(CONTRE) Il manque au film la capacité d'émouvoir le spectateur par une quelconque progression dramatique ou toute possibilité d'empathie avec ses personnages. Ici, rien de tel. Surtout pas ça !
Le Figaroscope
En compétition au Festival de Cannes, ce film procure un ennui immense mais aussi quelques fous rires, tant certaines scènes de sexe et de violence sont affligeantes. Les pauvres Hafsia Herzi, Céline Sallette et Noémie Lvovsky n'ont plus qu'à aller se rhabiller.
Metro
Sous prétexte de réalisme branché, Bertrand Bonello bâcle sa reconstitution : les lumières sont ternes, les cadrages baclés, la direction des acteurs flottante.