Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
La Croix
par Marie Soyeux
(...) ce film déploie dans une mise en scène raffinée toute la violence dont le langage est capable.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Noémie Luciani
(...) un drame familial oppressant à la mise en scène un peu tapageuse, mais servi par trois grands acteurs au sommet de leur art.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
L'Express
par Christophe Carrière
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
"L'Oeil du cyclone" distille un parfum un peu suranné. On peut aimer les décors, la mise en scène victorienne. Mais l'intrigue s'étire en dépit de l'excellente interprétation de Charlotte Rampling, étonnante, et de dialogues plutôt fins.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Alain Grasset
Ce drame vraiment féroce et diabolique est formidablement interprété, en particulier par une Charlotte Rampling étonnante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Marie-Elisabeth Rouchy
Fred Schepisi adapte le roman de Patrick White, (...), brosse un portrait au vitriol de la famille et égratigne en passant la grande bourgeoisie australienne, parfaitement imbuvable.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Positif
par Eithne O'Neill
A force de tout vouloir montrer, un scénario perclus d'intrigues mineures détourne du drame central (...)
Première
par Isabelle Danel
(...) cette comédie noire familiale datant de 2011 aurait dû rester inédite.
aVoir-aLire.com
par Virgile Dumez
Foncièrement inégal, "L’œil du cyclone" est donc une déception qui a tout de même réussi à glaner quelques récompenses dans différents festivals. Pourtant, la tempête annoncée accouche d’une tiède pluie d’été.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Du sous-Tennessee Williams version troisième âge, que le cinéaste tente d’aérer avec force flash-back. Autant ranimer un âne mort…
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Télérama
par Pierre Murat
La preuve est faite : un cinéaste en méforme (Fred Schepisi) peut transformer en mauvais mélo le roman d'un Prix Nobel (Patrick White).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
(...) ce film déploie dans une mise en scène raffinée toute la violence dont le langage est capable.
Le Monde
(...) un drame familial oppressant à la mise en scène un peu tapageuse, mais servi par trois grands acteurs au sommet de leur art.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Le Journal du Dimanche
"L'Oeil du cyclone" distille un parfum un peu suranné. On peut aimer les décors, la mise en scène victorienne. Mais l'intrigue s'étire en dépit de l'excellente interprétation de Charlotte Rampling, étonnante, et de dialogues plutôt fins.
Le Parisien
Ce drame vraiment féroce et diabolique est formidablement interprété, en particulier par une Charlotte Rampling étonnante.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Fred Schepisi adapte le roman de Patrick White, (...), brosse un portrait au vitriol de la famille et égratigne en passant la grande bourgeoisie australienne, parfaitement imbuvable.
Positif
A force de tout vouloir montrer, un scénario perclus d'intrigues mineures détourne du drame central (...)
Première
(...) cette comédie noire familiale datant de 2011 aurait dû rester inédite.
aVoir-aLire.com
Foncièrement inégal, "L’œil du cyclone" est donc une déception qui a tout de même réussi à glaner quelques récompenses dans différents festivals. Pourtant, la tempête annoncée accouche d’une tiède pluie d’été.
L'Humanité
Du sous-Tennessee Williams version troisième âge, que le cinéaste tente d’aérer avec force flash-back. Autant ranimer un âne mort…
Télérama
La preuve est faite : un cinéaste en méforme (Fred Schepisi) peut transformer en mauvais mélo le roman d'un Prix Nobel (Patrick White).