Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
"Quelques heures de printemps" sait être beau sans être triste. Merci M. Brizé pour ce cadeau.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
(...) ce film dont on sort profondément ému, mais aussi apaisé, trouve son épanouissement dans une infinie délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ecran Large
par Sandy Gillet
Un sujet éprouvant abordé de front mais sans pathos ni scories. Et le duo Vincent Lindon / Hélène Vincent est tout simplement magistral. On tient là certainement nos César 2013...
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Eric Libiot
La seule présence de [l'immense Hélène Vincent] devrait inciter chacun à aller voir "Quelques heures de printemps". Il est rare de voir une comédienne élever à ce point son niveau de jeu. (...) Un bonheur, un miracle, un César.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Il est de nos jours peu de cinémas qui soient aussi rugueux que celui de Stéphane Brizé. Qui taille, supprime, élague, au service de son ambition: toucher à l'os.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Vincent Lindon, alliage de fragilité, de mélancolie et de colère, et Hélène Vincent, en Yvette rugueuse et maniaque, interprètent avec sobriété deux êtres acculés par la mort à dépasser leurs rancoeurs.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
On lit le désarroi dans les yeux de Vincent Lindon, formidable de rugosité et tout en sentiments paralysés (...) Hélène Vincent offre un émouvant mélange de fatalisme courageux et de regrets ravalés.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Noémie Luciani
Beau et terrible, à l'image d'une histoire dont on ressort le coeur lourd, et la lumière aux yeux.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Marianne
par Danièle Heymann
"Quelques heures de printemps", splendide suspense affectif, n'est pas un film triste, ni morbide, ni complaisant, ni militant. Seulement, dans sa lumineuse simplicité, un film bouleversant où une femme apprivoise sa mort, comme elle peut, comme elle veut.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Metro
par Marilyne Letertre
Un drame subtil qui a été projeté au chef de l'État.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Positif
par Dominique Martinez
Si la mort est traitée d'un point de vue réaliste, elle n'en reste pas moins accompagnée de quelques notes poétiques qui adoucissent la noirceur du propos.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Christophe Narbonne
Son film défend le libre arbitre et invite au respect. On en sort apaisé.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Sophie Grassin
Les acteurs, tous formidables, servent avec éclat cet éloge du libre-arbitre dont on sort calciné.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Pierre Murat
Stéphane Brizé filme (...) avec pudeur, rigueur, au moyen de plans-séquences discrets, presque invisibles.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Estelle Bayon
La longueur des plans [...] laisse le temps aux acteurs de distiller d'infimes nuances qui font la richesse essentielle de ce long-métrage.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
par François Barge-Prieur
Stéphane Brizé confronte ses personnages, toujours incapables de communiquer leurs sentiments, à la mort. Des scènes bouleversantes, malgré une mise en scène à la sobriété trop maîtrisée.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Didier Péron
Le choix de ce vocable infantile et l'expressivité qui l'accompagne trahissent la commisération dont le film est constamment baigné.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La rédaction
C'est d'abord une histoire d'incommunicabilité. Mais à ce premier sujet le cinéaste et sa coscénariste en rajoutent un deuxième. (...) Si son approche est très documentée, Stéphane Brizé en fait une restitution assez simpliste, dans une étrange démarche qui se veut sereine et apaisée.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Paris Match
par Alain Spira
Se situant dans la grande tradition du cinéma vérité quasi ethnologique, ce drame est, avant tout, un bouleversant film d'amour indicible entre un fils et sa mère (Hélène Vincent, saisissante).
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Les principes de mise en scène (...) virent tellement au système qu'ils autoalimentent un regard finalement dénué de toute empathie, et où la promesse de printemps se borne à quelques miettes de tendresse lâchées dans un océan de misanthropie.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
(...) film pas possible et sans qualités cinématographiques.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
20 Minutes
"Quelques heures de printemps" sait être beau sans être triste. Merci M. Brizé pour ce cadeau.
Le Parisien
(...) ce film dont on sort profondément ému, mais aussi apaisé, trouve son épanouissement dans une infinie délicatesse.
Ecran Large
Un sujet éprouvant abordé de front mais sans pathos ni scories. Et le duo Vincent Lindon / Hélène Vincent est tout simplement magistral. On tient là certainement nos César 2013...
L'Express
La seule présence de [l'immense Hélène Vincent] devrait inciter chacun à aller voir "Quelques heures de printemps". Il est rare de voir une comédienne élever à ce point son niveau de jeu. (...) Un bonheur, un miracle, un César.
L'Obs
Il est de nos jours peu de cinémas qui soient aussi rugueux que celui de Stéphane Brizé. Qui taille, supprime, élague, au service de son ambition: toucher à l'os.
La Croix
Vincent Lindon, alliage de fragilité, de mélancolie et de colère, et Hélène Vincent, en Yvette rugueuse et maniaque, interprètent avec sobriété deux êtres acculés par la mort à dépasser leurs rancoeurs.
Le Journal du Dimanche
On lit le désarroi dans les yeux de Vincent Lindon, formidable de rugosité et tout en sentiments paralysés (...) Hélène Vincent offre un émouvant mélange de fatalisme courageux et de regrets ravalés.
Le Monde
Beau et terrible, à l'image d'une histoire dont on ressort le coeur lourd, et la lumière aux yeux.
Marianne
"Quelques heures de printemps", splendide suspense affectif, n'est pas un film triste, ni morbide, ni complaisant, ni militant. Seulement, dans sa lumineuse simplicité, un film bouleversant où une femme apprivoise sa mort, comme elle peut, comme elle veut.
Metro
Un drame subtil qui a été projeté au chef de l'État.
Positif
Si la mort est traitée d'un point de vue réaliste, elle n'en reste pas moins accompagnée de quelques notes poétiques qui adoucissent la noirceur du propos.
Première
Son film défend le libre arbitre et invite au respect. On en sort apaisé.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Les acteurs, tous formidables, servent avec éclat cet éloge du libre-arbitre dont on sort calciné.
Télérama
Stéphane Brizé filme (...) avec pudeur, rigueur, au moyen de plans-séquences discrets, presque invisibles.
Critikat.com
La longueur des plans [...] laisse le temps aux acteurs de distiller d'infimes nuances qui font la richesse essentielle de ce long-métrage.
Les Fiches du Cinéma
Stéphane Brizé confronte ses personnages, toujours incapables de communiquer leurs sentiments, à la mort. Des scènes bouleversantes, malgré une mise en scène à la sobriété trop maîtrisée.
Libération
Le choix de ce vocable infantile et l'expressivité qui l'accompagne trahissent la commisération dont le film est constamment baigné.
Ouest France
C'est d'abord une histoire d'incommunicabilité. Mais à ce premier sujet le cinéaste et sa coscénariste en rajoutent un deuxième. (...) Si son approche est très documentée, Stéphane Brizé en fait une restitution assez simpliste, dans une étrange démarche qui se veut sereine et apaisée.
Paris Match
Se situant dans la grande tradition du cinéma vérité quasi ethnologique, ce drame est, avant tout, un bouleversant film d'amour indicible entre un fils et sa mère (Hélène Vincent, saisissante).
Cahiers du Cinéma
Les principes de mise en scène (...) virent tellement au système qu'ils autoalimentent un regard finalement dénué de toute empathie, et où la promesse de printemps se borne à quelques miettes de tendresse lâchées dans un océan de misanthropie.
Les Inrockuptibles
(...) film pas possible et sans qualités cinématographiques.