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Bande dessinée en noir et blanc, au trait rond et presque naïf, "Couleur de peau : miel" relevait d'une démarche cathartique assumée. Loin du simple calque animé, son adaptation cinématographique déploie une belle inventivité visuelle pour concrétiser l'hybridité identitaire d'un adopté.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Un récit riche en émotion, en humour et en poésie qui s'adresse autant aux petits qu'aux grands. (...) Un kaléidoscope de sensations et d'humeurs dont la poignante mélancolie renvoie au travail d'un Isao Takahata ("Le Tombeau des Lucioles", "Pompoko").
La critique complète est disponible sur le site Première
Le dessin, mélange harmonieux de 2D et de 3D, éclairé de couleurs chaudes, convient parfaitement à la texture du souvenir et du rêve. (...) Par petites touches quotidiennes, Jung raconte son rapport ambivalent à son pays d'origine, du rejet total à la curiosité lancinante. A son éternelle quête d'identité, seule la douceur cuivrée des images apporte un apaisement.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
"Couleur de peau : miel" est davantage qu'un décalque cinématographique de la bande dessinée originelle (...) ce long métrage d'animation singulièrement émouvant mêle allègrement les techniques au gré des souvenirs de Jung.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Une chronique du déracinement, à la délicatesse un rien appuyée dans le trait pictural et l'écriture scénaristique, l'un comme l'autre travaillant la douceur pudique, la mélancolie et l'humour tendre.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
La distance entre la fiction cinématographique et la bande dessinée est trompeuse. L'art de découper un récit en cases n'a finalement que peu de choses à voir avec le montage et on dirait souvent que "Couleur de peau : miel", pâtit d'une confusion entre les deux.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
L'Humanité
Une superbe quête identitaire.
Critikat.com
Bande dessinée en noir et blanc, au trait rond et presque naïf, "Couleur de peau : miel" relevait d'une démarche cathartique assumée. Loin du simple calque animé, son adaptation cinématographique déploie une belle inventivité visuelle pour concrétiser l'hybridité identitaire d'un adopté.
Le Point
Voir le site du Point.
Première
Un récit riche en émotion, en humour et en poésie qui s'adresse autant aux petits qu'aux grands. (...) Un kaléidoscope de sensations et d'humeurs dont la poignante mélancolie renvoie au travail d'un Isao Takahata ("Le Tombeau des Lucioles", "Pompoko").
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télérama
Le dessin, mélange harmonieux de 2D et de 3D, éclairé de couleurs chaudes, convient parfaitement à la texture du souvenir et du rêve. (...) Par petites touches quotidiennes, Jung raconte son rapport ambivalent à son pays d'origine, du rejet total à la curiosité lancinante. A son éternelle quête d'identité, seule la douceur cuivrée des images apporte un apaisement.
La Croix
"Couleur de peau : miel" est davantage qu'un décalque cinématographique de la bande dessinée originelle (...) ce long métrage d'animation singulièrement émouvant mêle allègrement les techniques au gré des souvenirs de Jung.
Les Fiches du Cinéma
Un objet tout à fait singulier, qui évoque les thèmes du déracinement, de l'identité et de l'intégration avec poésie, humour et sensibilité.
Positif
(...) la plus belle et de la plus âpre des aventures, celle de la construction envers et contre tout d'un être humain.
TéléCinéObs
Une chronique du déracinement, à la délicatesse un rien appuyée dans le trait pictural et l'écriture scénaristique, l'un comme l'autre travaillant la douceur pudique, la mélancolie et l'humour tendre.
Le Monde
La distance entre la fiction cinématographique et la bande dessinée est trompeuse. L'art de découper un récit en cases n'a finalement que peu de choses à voir avec le montage et on dirait souvent que "Couleur de peau : miel", pâtit d'une confusion entre les deux.