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"J'aime regarder les filles" est mis en scène finement, avec une sobriété bienvenue, un sens aigu de la situation et ce goût du détail qui installe une atmosphère. L'humour et l'émotion, équilibre toujours délicat, sont au rendez-vous. Pour ne rien gâcher, les acteurs sont formidables, à commencer par Pierre Niney (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Pour sa première réalisation, Frédéric Louf, qui emprunte le titre de son film à la chanson de Patrick Coutin, réussit une sorte d'"éducation sentimentale" très enlevée, pleine de charme et émouvante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le film vaut autant pour son ton singulier, l'originalité de son thème, que pour l'énergie de ses jeunes (Lou de Laâge, Audrey Bastien, Ali Marhyar) et moins jeunes (Michel Vuillermoz, dans le rôle du père) comédiens.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Frédéric Louf navigue avec aisance entre comédie et lucidité jusqu'à, une certaine cruauté. Mais ici, la réalité des sentiments peine à s'imposer derrière les pesanteurs sociologiques.
Sans esprit militant, il nous livre une jolie morale politique : contre la société et surtout contre les adultes, il n'y a de vrai que la fantaisie, l'art et l'amour.
Louf filme des élans, des courses et des chutes avec appétit. Pierre Niney, physique à la Louis Garrel en plus lunaire, est l'interprète idéal de ce héros qui n'est pas le dernier des romantiques.
La critique complète est disponible sur le site Première
Bonne surprise que cette comédie d'initiation sentimentale au temps de l'arrivée de Mitterrand au pouvoir. L'auteur n'en rajoute pas dans le vintage ou la reconstitution à clins d'oeil. Mais il retrouve, à sa manière impressionniste, l'élan et les illusions d'une époque.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Rien de vraiment raté, rien de réussi : du cinéma sans qualité avec léger coup de patine à l'image pour faire rétro et petit emballement final pour une variation eighties de Roméo et Juliette.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Malgré quelques touches comiques, cette série d'épisodes disjoints, intitulée d'après le tube de l'époque, livre un bain nostalgique trop peu distancié et par conséquent complaisant.
La critique complète est disponible sur le site Positif
On y cherche en vain le mordant visuel et politique qui en aurait fait autre chose qu'une chronique privée des nuances et de la mélancolie qu'elle semble viser de la première à la dernière image.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Qui souhaite faire du cinéma, signe un contrat d'exigence et de qualité avec le public. Ici, et s'il a jamais existé, le contrat est rompu après seulement 10 minutes tant la proposition faite par le film s'affirme abscons et à aucun moment véritablement digne d'intérêt.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le Monde
"J'aime regarder les filles" est mis en scène finement, avec une sobriété bienvenue, un sens aigu de la situation et ce goût du détail qui installe une atmosphère. L'humour et l'émotion, équilibre toujours délicat, sont au rendez-vous. Pour ne rien gâcher, les acteurs sont formidables, à commencer par Pierre Niney (...).
Le Parisien
Pour sa première réalisation, Frédéric Louf, qui emprunte le titre de son film à la chanson de Patrick Coutin, réussit une sorte d'"éducation sentimentale" très enlevée, pleine de charme et émouvante.
Le Point
voir lepoint.fr
Libération
C'est désenchanté, délicieux et, au bout du compte, drôle.
Paris Match
Drôle, multipliant les loopings comme un ange qui bat de l'aile, ce film aime couper l'eau de rose avec du vitriol.
La Croix
Le film vaut autant pour son ton singulier, l'originalité de son thème, que pour l'énergie de ses jeunes (Lou de Laâge, Audrey Bastien, Ali Marhyar) et moins jeunes (Michel Vuillermoz, dans le rôle du père) comédiens.
Le Journal du Dimanche
Frédéric Louf navigue avec aisance entre comédie et lucidité jusqu'à, une certaine cruauté. Mais ici, la réalité des sentiments peine à s'imposer derrière les pesanteurs sociologiques.
Les Inrockuptibles
Sans esprit militant, il nous livre une jolie morale politique : contre la société et surtout contre les adultes, il n'y a de vrai que la fantaisie, l'art et l'amour.
Première
Louf filme des élans, des courses et des chutes avec appétit. Pierre Niney, physique à la Louis Garrel en plus lunaire, est l'interprète idéal de ce héros qui n'est pas le dernier des romantiques.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio CinéLive
Télérama
Bonne surprise que cette comédie d'initiation sentimentale au temps de l'arrivée de Mitterrand au pouvoir. L'auteur n'en rajoute pas dans le vintage ou la reconstitution à clins d'oeil. Mais il retrouve, à sa manière impressionniste, l'élan et les illusions d'une époque.
Critikat.com
Rien de vraiment raté, rien de réussi : du cinéma sans qualité avec léger coup de patine à l'image pour faire rétro et petit emballement final pour une variation eighties de Roméo et Juliette.
Positif
Malgré quelques touches comiques, cette série d'épisodes disjoints, intitulée d'après le tube de l'époque, livre un bain nostalgique trop peu distancié et par conséquent complaisant.
TéléCinéObs
On y cherche en vain le mordant visuel et politique qui en aurait fait autre chose qu'une chronique privée des nuances et de la mélancolie qu'elle semble viser de la première à la dernière image.
Cahiers du Cinéma
Comme quoi, il faut toujours se méfier des titres égrillards. Ils cachent souvent des films bien peu entreprenants.
Excessif
Qui souhaite faire du cinéma, signe un contrat d'exigence et de qualité avec le public. Ici, et s'il a jamais existé, le contrat est rompu après seulement 10 minutes tant la proposition faite par le film s'affirme abscons et à aucun moment véritablement digne d'intérêt.