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alexdelaforest
38 abonnés
206 critiques
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3,0
Publiée le 26 janvier 2013
Il y a des films qu'on aimerait aimer plus parce qu'on se sent tout à fait en phase avec le propos, mais la forme trop convenu l’empêche au final d'atteindre son but. C'est le cas ici, puisque le film nous parle plutôt bien d'une période sympathique issue des radios libres et de "télé bocale". Les personnages sont attachants mais la mise en scène à l'opposé presque du foutoir de créativité qu'évoque le film : le résultat est aseptisé presque comme une série de TF1 l’ennemi juré. Sans doute est-ce dû au système de production mais au final on perd l'idée première de révolte et cela fini presque par nous déprimer.
Au début le titre ne m'inspirait pas trop: j'avais peur que ce soit un film pour bobos parisiens. Mais j'ai adoré ! C'est une bouffée d'oxygène, et on s'attache immédiatement aux personnages. Beaucoup de tendresse et d'émotion, aussi. ça fait du bien.
Télé Gaucho est une comédie où tout se frôle et explose de concert, le drame et la joie, les affaires privées et les affaires publiques, le passé résonne dans le présent et le personnage principal, Victor est là comme la promesse d'un futur, peut-être dur mais capable de part sa joie de vivre à ouvrir toutes les portes du bonheur. Merde, ça fait du bien ce coup de pied au cul de la morosité !
“télé gaucho” c’est une comédie énergique et profonde. Sans prétention d’être un chef d’oeuvre du 7ème art, “télé gaucho” rempli son rôle, on s’amuse sans idiotie et ça fait du bien! A consommer sans modération, pour les grands et les petits, ceux de droite et de gauche!
La critique complète: http://etudiantcinephile.wordpress.com/2012/12/14/critique-de-tele-gaucho-45/
Après Le Nom des gens, comment ne pas être déçu par ce film brouillon, bruyant et usant? Malgré un second degré revendiqué, le film donne une mauvaise image de la gauche, braillarde et agressive. Le personnage de Sara Forestier est pathétique, passant plus pour une idiote que pour une excentrique. Ne parlons pas du héros, antipathique à souhait. Les rôles secondaires passent leur temps à se hurler dessus, ce qui est très désagréable.
et quand le films se termine (à ces cinéastes français et ces fins ouvertes!) on se dit: qu'est que cela m'a aporté? la réponse est rien. Voilà un film dans la lignée des discours de tous ces bobos intellos qui sont convaincus que leur vie est si merveilleuse qu'il faut la raconter à tout le monde. on avait eu Après mai, on vient d'avoir mauvaise fille,et maintenant tele gaucho! ah! on sent l'inspiration puisée dans ses propres souvenirs! mais que tout cela est plat, creux et insipide. L'auto dérision trouve hélas très vite ses limites.Décidément, ce type de cinéma nombriliste n'est pas ma tasse de thé et le jeu des acteurs ne sauve rien...
Une fois en salle on apprécie vraiment plus le film. Il y a une excellente énergie de groupe et on se prend au jeu avec eux avec leurs galères ou les événements heureux.
spoiler: Et la scène du piratage de l'allocution présidentielle est tout simplement hilarante
Franchement, il faisait super froid, le ciel était plombé, j'avais envie de changer d'air et de rigoler. J'y suis allée sans trop savoir, et ben, j'ai changé d'air et j'ai super rigolé.
J'ai trouvé ce film très frais, 2h qui passe rapidement. On trouve enfin une france d'en bas qui emm**** celle d'en haut. Le casting est éclectique se qui donne un beau mélange des genres, c'est un film de groupe comme on voudrait en voir plus souvent.
Dans une veine autobiographique et, cette fois, chorale, Michel Leclerc poursuit son petit bonhomme de chemin nostalgique. Mais autant Le nom des gens avait un charme fou et une vraie écriture, autant Télé Gaucho semble seulement porté par une énergie et un désir de liberté qui ne parviennent pas à être communicatifs. L'histoire de ce phalanstère invraisemblable, qui oscille entre l'anarchie et la dictature, est montrée de façon loufoque dans un désordre très désorganisé qui rappelle feu les happenings télévisuels de Michel Polac. Ca part dans tous les sens, ça tape sur la télé dominante de l'époque (qui n'a pas changé depuis), c'est plus démagogique que gonflé en fin de compte et, dans cette confusion permanente, la mise en scène est hélas totalement absente. On y trouve quand même une révélation : Félix Moati ; et une confirmation : Eric Elmosnino, dont la gouaille fait merveille. En revanche, Sara Forestier fait peine à voir, elle semble irrémédiablement hors cadre dans cette comédie dissonante (bordélique est un mot plus juste) qui n'arrache que quelques sourires. La cacophonie peut éventuellement donner des émissions de télé roboratives. Au cinéma, l'exercice se révèle le plus souvent vain et épuisant à regarder. La preuve avec ce Télé Gaucho.
Hier soir je voulais aller le hobbit, mais ma copine m'a traîné voir télégaucho (les hobbits c'est pas son truc), et sincèrement j'ai été agréablement surpris ! C'est la première fois que je poste quelque chose, mais ce matin je rigolais encore pour ce film. Je suis super emballé par télégaucho, c'est chaleureux, c'est drôle, c'est émouvant, ça m'a fait tellement plaisir de le voir ! Je ne suis pas un grand cinéphile, ni un amateur de films français, mais là c'est ma GROSSE surprise de l'année. Voilà, allez le voir, amusez vous, je voulais juste partager ce petit bonheur que j'ai ressenti hier soir ! Bonne journée !
Une des meilleures comédies de l'année pour moi. A tout point de vue. C'est original, c'est drôle, c'est engagé, c'est irrévérencieux. Ca fait déjà pas mal.
J'y suis allé avec mes parents... Et on a trouvé ça hyper drôle! Elmosnino m'a paru vraiment très bon comme les autres acteurs d'ailleurs. Y a mille trouvailles à la minute. C'est un peu le bordel mais moi j'ai kiffé, mes parents aussi.
Le nom des gens est regardable sans plus. Mais alors là c'est indigent. Vaut même pas un très mauvais téléfilm: très mal écrit, pas mis en scène, jeu des acteurs très faux. Rien à sauver là-dedans, c'est pas du cinéma.