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VOSTTL
100 abonnés
1 955 critiques
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3,5
Publiée le 17 novembre 2013
Sympahique, foutraque, décalé par moments. Une bande de jeunes gauchos, quoi ! Faut que jeunesse se passe, et mieux vaut qu’elle se défoule pour des sujets de société que de glander dans les cités... Sara Forestier est pétéradante de maladresse et de douce folie, Eric Elmosnino est sympathique de roublardise, Félix Moati entame bien son métier de comédien, Maïwenn douce révoltée, et Samir Guesmi étonnement muet. Quant à Emmanuelle Béart, elle fait le job plutôt bien. Certes, rien de révolutionnaire, nettement moins captivant que le « Nom des gens » mais cette comédie est à l’image de ces jeunes, particules insaisissables, désordonnées mais de bonne volonté.
Qu'est ce qui s'est passé ? Michel Leclerc qu'est ce qui t'es arrivé ? Un film très bof avec un scénario trop simple.
Je m'en veux d'écrire cela, mais l'excellent réalisateur du "Nom des gens" est tombé de haut avec ce film qui n'est pas une comédie, qui n'a rien pour le qualifier, il n'est pas drôle, ce n'est pas un drame, il n'y a pas d'intrigue.. rien Les acteurs (Félix Moati, Sara Forestier, Eric Elmosnino, Maïwenn) sont très bons mais comment peuvent ils être au meilleur de leur forme sur un scénario comme celui-là ? Pour le coté technique rien de spécial, aucune trouvaille, des plans utilisés déjà vu, pourtant il y avait des choses à faire !
Un film vide tout juste distrayant...
Histoire: 2/5 Acteurs: 4/5 Caméra: 1.5/3 Mise en scène: 1/2 Son: 1/2 Musique: 0.5/1 Montage: 0/1 Originalité: 1/1
Un bon film français sur les manifestations sociales. Eric Elmosnino incarne un journaliste. Félix Moati interprète un jeune intellectuel . Une bonne fiction engagée.
Un peu trop léger, utopiste, et sans réel fond, en plus d'être certainement trop long pour une comédie de ce genre ... C'est moyen, on à du mal à s'accrocher.
Une belle surprise pour cloturer cette année ! Tele Gaucho, inspiré de Télé Bocal, nous raconte comment un jeune homme, Felix, au départ timide et sans repère mais passionné de cinéma, s'intègre dans ce groupe révolutionnaire de Tele Gaucho tout en travaillant pour une l'émission de télévision sur la chaîne HT1, de droite . Felix Moati est très bon. Passant de LOL à Tele Gaucho, deux films vraiment opposés, cela ne peut que booster sa carrière. Maïwenne est tout simplement géniale, tellement impliquée et radicale qu'elle s'énerve de nombreuses fois dans ce film et on ne peut que en rire. Humour, émotion, énervement, sujets parfois délicats à traiter, bagarres, politique, joie... On y trouve de tout pour tout le monde, et on y voit la société d'un nouvel oeil. Une très bonne comédie pleine de peps, à voir. Toutes mes autres critiques sur cinephile-critique.over-blog.com
Après "Le nom des gens", on est obligé de reprendre la route vers son cinéma le plus proche afin d'aller voir "Télé Gaucho". Malheureusement le nouveau film de Michel Leclerc ne n'offre pas la même sensation. L'idée est intéressante et encore une fois la bande-annonce est alléchante. Le problème est dans la réalisation. Le film ne fait que survoler la vie du protagoniste. Tout va trop vite, et du coup on a pas le temps de s'attacher au personnage. Le problème réside dans le fait que tous les personnages sont tous trop. Jean-loup est trop imprévisible et menteur, Clara est trop folle et excentrique, Yasmina est trop chiante et ultra-féministe, Etienne est trop Coco force rouge. Et pendant ce temps là, Victor se ballade. On ne voit pas où il veut aller, ce qu'il cherche, et du coup on décroche. Un film trop stéréotypé passant les deux univers pour des mondes soit sans gout, soit au contraire bien trop épicé. Les acteurs surjouent, on a l'impression qu'ils ont jouer sans être diriger : "Faites comme vous le sentez, on travaillera au montage !". L'impro ne marche pas à tous les coups. Un film "pschitt" qui part d'une bonne intention mais qui laisse partir les bulle trop vite.
et quand le films se termine (à ces cinéastes français et ces fins ouvertes!) on se dit: qu'est que cela m'a aporté? la réponse est rien. Voilà un film dans la lignée des discours de tous ces bobos intellos qui sont convaincus que leur vie est si merveilleuse qu'il faut la raconter à tout le monde. on avait eu Après mai, on vient d'avoir mauvaise fille,et maintenant tele gaucho! ah! on sent l'inspiration puisée dans ses propres souvenirs! mais que tout cela est plat, creux et insipide. L'auto dérision trouve hélas très vite ses limites.Décidément, ce type de cinéma nombriliste n'est pas ma tasse de thé et le jeu des acteurs ne sauve rien...
ce qui m' a surtout amusé dans ce bon film au rythme soutenu et aux dialogues bien agréables et drôles ainsi que l'interprétation excellente de tout le monde ( sans en faire trop en cabotinage ) , c'est que j'ai moi-même vécu pas mal d'instants en ce lieu qu'était Goumen rue de Bagnolet entre 1998 et 2004) ou dans la cour intérieure nous avions donné les premières représentations des Gnun's , nous qui venions de la rue du dragon .C'est comme si on ouvrait un album de famille ou de copains et qu'on y retrouvait non sans nostalgie des êtres qui nous ont apporté et qui depuis ont disparu ou sont partis vers d'autres aventures ... alors rien que pour ça on y court , c'est culte !
Râté mais alors complètement. On ne peut pas s'empêcher de comparer ce film avec le précédent, Le nom des gens puisque Michel Leclerc a décidé de tirer sur la corde en restant dans le même état d'esprit. Et ouais mais ça marche pas. Fini la magie, l'originalité et la fraîcheur, y a plus rien. C'est pesant, mauvais, surjoué. Forestier et Le besco sont respectivement crispante et lourdingue. Elmosnino étant passable. C'est fatiguant ces singeries bref j'irai certainement pas voir le prochain film de monsieur Leclerc si toutefois prochain il y a...
Quelques - légers - sourires malgré son approche confuse et parfois lourdingue. Difficile de voir ou ce film veut en venir, une comédie bancal, un symptôme partagé avec les comédiens trop peu inspirée. Maïwenn et Eric Elmosnino parviennent à de rares instants à rehaussé le niveau, insuffisant dans l'ensemble. J'avais bien aimé le précédent long métrage de Michel Leclerc, dommage ...
Vraiment un excellent film. Rafraîchissant et d'actualité. Un réel moment de plaisir. Les acteurs sont bons et chaque personnage joue son rôle. Pas de surplus.
Une télévision de quartier est mise en place par des sympatisants de gauche. Le film décrit adroitement et sans sectarisme, une expérience de groupe un peu alternative. La rapports entre les personnages sont très finement rendus. Il faut féliciter le scénariste et le cinéaste qui sont une et même personne de ne pas donner dans la leçon politique ou de morale. Un film qui montre aussi les limites d'une utopie trop longtemps suivie sans regarder autour de soi. Un film bien plus subtil qu'il n'y parait. Une véritable réussite.
Le film met assez bien en scène les déboires auxquels ce groupe de gauchistes engagés fait face et déroule en parallèle plusieurs histoires plus personnelles qui rendent le film plutôt touchant par moments.
Beaucoup trop brouillon, ce long-métrage se caractérise surtout par son aspect étonnamment braillard et bordélique. Les acteurs en font tellement que ça devient plus agaçant qu’autre chose. Grosse déception.
J'y ai cru, vraiment j'y ai cru. Je suis allé voir ce film aujourd'hui à reculons, vu le nombre important d'avis négatifs laissés sur le site. Pour en rajouter une couche, je ne suis pas un grand fan d'Elmosnino et de Maïwenn et la B.A. présageait une énorme daube en perspective. Bref, rien ne m'emballait. Pourtant, une fois assis j'ai été accroché tout de suite par le charisme jeunet de Moati et l'ambiance délirante du film. J'ai adoré ce grand bordel chaotique et tous ces personnages guidés par la spontanéité, Elmosnino et Maïwenn inclus. Pendant une heure j'ai ri de leurs mésaventures, de leurs délires à deux centimes et j'ai trouvé très mimi le duo formé par Moati et Forestier. J'étais très agréablement surpris. Puis, est arrivé le démon de la comédie française : le final en forme de leçon de vie. Parce qu'en France on veut bien rire mais pas trop. Le plaisir doit faire place à la désillusion. Auguste doit tirer sa révérence et laisser entrer le clown blanc.... ça fait intelligent!!!!!Résultat 30 dernières minutes plombantes qui laissent un goût assez déplaisant et qui ont foutu en l'air le plaisir que j'avais eu pendant les deux tiers du film. Pourquoi tomber quasi systématiquement dans ce vice en France? Même en tant que récit initiatique, la fin de ce film n'en reste pas moins ennuyeuse et prout-prout. En plus, ce trop plein de sérieux génère un réel cataclysme! Ce qui était excessif chez ces personnages les rendait dans la première partie drôlement touchant mais dans ce passage de "pseudo prise de conscience de la dure réalité de la vie" qu'est l'épilogue, ils deviennent minables ou pathétiques. Klapisch avait réussi un truc pas mal au milieu des 90's avec le Péril Jeune. Drôle et dramatique, on devinait dès le début comment tout allait se finir. Son film annonçait de suite la fin d'une époque, un certain désenchantement. Il manque à Télé Gaucho la force métaphorique du Péril Jeune et les 90's ne sont pas aussi chargées symboliquement que les 60's ou les 70's dans l'inconscient collectif. Si le film avait gardé la même veine du début à la fin j'aurais mis 4 étoiles mais pour ce mauvais moment qui confond emmerdement et intelligence je n'en mets que 3.