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    Télé Gaucho
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    198 critiques spectateurs

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    Cinematraque
    Cinematraque

    81 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 novembre 2013
    très très mauvais. Affligeant. je ne comprends pas.
    Gregory M
    Gregory M

    12 abonnés 187 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 décembre 2012
    super sympa plus proche du documentaire que du film, cible un public plutot parisien et nostalgique ...
    avec de supers acteurs ... on passe un bon moment...a voir
    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    196 abonnés 2 830 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 octobre 2013
    Télé poubelle ou Télé bordel? Le sujet devient vite à son tour un grand foutoir; Et c'est bien dommage, car qu'est-ce qu'on s'amuse.
    Yves G.
    Yves G.

    1 417 abonnés 3 443 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 février 2013
    Comme tout le monde j'avais beaucoup aimé le charme exubérant de Sara Forestier dans "Le nom des gens".
    Aussi je me faisais une fête de voir le nouveau film de Michel Leclerc et de l''y retrouver dans le rôle d'une fille un peu paumée, un peu fofolle, et très désinhibée avec les choses du sexe, en bref très proche de celui qu'elle tenait dans "Le nom des gens".
    Largement autobiographique, "Télé gaucho" raconte l'expérience vécue par le jeune réalisateur dans une télé pirate.
    Il parvient à capter l'esprit gentiment foutraque de cette bande d'anarchistes aux profils stéréotypés : le patron fumiste (Eric Elmosino), l'idéologue engagée (Maïwenn), le régisseur ahuri (Samir Guesmi) ....
    Mais, de peur de manquer d'un fil directeur il se focalise sur le parcours d'un jeune cinéphile, double revendiqué d'Antoine Doisnel, obligé de choisir entre son engagement militant et les compromissions de la télé commerciale. Du coup, malgré une Emmanuelle Béart plus convaincante qu'elle ne l'avait été depuis longtemps, le film emprunte une ornière déjà toute tracée sans grand intérêt : celle du film initiatique.
    C'est dommage car on aurait aimé passé plus de temps avec la petite bande sympathique de Télé Gaucho
    Kapp Pacino B.
    Kapp Pacino B.

    11 abonnés 148 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 janvier 2013
    Certes bien moins bon que le Nom des gens! Mais pas facile de faire aussi bien apres un tel succès precedent. Les jeunes acteurs sont remarquables: sarah forestier dingue mais touchante! Elle ne peut pas plaire à tt le monde c'est claire mais quand meme quelle grande actrice!!! Felix moati tres juste aussi. Physique maleureusement assez classique,esperons qu'il se dev
    eloppe un peu avec le temps et l'experience. Maiwenn un peu trop geularde, mais elle geule tres bien faut l'avouer. Eric elmosnino tjs aussi excellent. Les seconds roles sont super bien castés aussi. Bon la bouche d'emmanuelle beart à mal vieillit et l'empeche maintenant de prononcer les mots distinctement, esperons que les progrets de la medecine permettront bientot d'éclater les bulles d'acidialuronique pour quelle quite cette apprence de canard et reprenne forme humaine. Le scenario est bien trouvé. Je suis plus septique sur la fin qui pour moi est baclée, c'est ce qui fait degringoler le film les 10dernieres minutes,dommage!
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 23 avril 2013
    Carbone 14 TV
    La premiére des libertés dans la création, c'est de ne pas être dépendant de l'argent. Mais dans le même temps cette liberté a les limites du principe de réalité. Reste à savoir où on place son ambition. Quel juste milieu existe-t-il, entre liberté créative et liberté financiére? Télé gaucho a le charme de la sincérité. Du premier combat "fleur au fusil", l'ambition "immatérielle"... C'est l'histoire de télé bocal, unique chaîne associative diffusée essentiellement dans les cafés du nord-est parisien. C'est comparable à l'histoire des radios libres, sauf que dans ce cas précis les chaines libres n'ont jamais vu le jour. Pour des raisons politiques et financiéres, on imagine...

    C'est un symphatique film de bande, Maiwenn est à gifler comme d'habitude et Elmosino impeccable. Dans la "gauche" lignée du nom des gens, leclerc signe un film un peu convenu et surtout trop proche me semble-t-il de son précédent... Le filon gauche nostalgique, gauche oeuf de lampe, est un filon qui s'épuise très vite... Hollande, hélas nous le prouve, le néo-romantisme de gauche aboutit au pire: stagnation et corruption. Le probléme de cette gauche, celle de Leclerc, c'est qu'elle croit non seulement avoir le "monopole du coeur", mais aussi celui de la morale!!! En peu plus de réalisme social et beaucoup plus d'imagination politique...

    Ca se regarde avec la nostalgie de celui qui n'existe qu'en étant dans l'opposition. Une question structurelle!
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 10 mai 2013
    Malgré un bon début de film , le film s'enferme sur lui même , le scénario est plutôt plan plan et sans enjeu réel. Je pense aussi que les personnages sont très mal écrits , ils sont antipathiques et certains moments deviennent assez insupportables. Dommage après le génial "Le nom des gens".
    Uchroniqueur
    Uchroniqueur

    145 abonnés 2 375 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 novembre 2020
    Télé Gaucho est un film français réalisé par Michel Leclerc en 2011. Michel Leclerc est aussi le réalisateur des très bons films : "J'invente rien" et du "Nom des gens" et plus récemment "La lutte des classes" et l'excellent " la vie très privée de Monsieur Sim".
    "Télé Gaucho" s'inspire librement de l'histoire de "Télé Bocal", Michel Leclerc et sa femme, la scénariste Baya Kasmi, sont des anciens de Télé Bocal. Ce film autobiographique raconte l'aventure de cette chaîne de télévision associative qui a bel et bien existé et diffusé ses programmes à la télévision par la TNT. Télé de quartier associative crée en 1995, Télé Bocal a ensuite développée une chaîne YouTube, qui a été censurée en 2018. Télé Bocal existe toujours via son site internet.
    Un univers totalement foutraque, une bonne distribution, avec Félix Moati (fils du réalisateur et journaliste Serge Moati),
    Sara Forestier, pétillante, Éric Elmosnino, Maïwenn, Emmanuelle Béart, Zinedine Soualem, Christiane Millet et
    Lionel Girard, qui effectue une très bonne prestation dans le rôle d' Adonis.
    Lionel Girard a réellement participé à l'aventure Télé Bocal où il fut monteur de 1996 à 2001. Il est comédien et chanteur ; il joue ici son propre rôle.
    Une comédie très sympathique, qui peut paraître, au départ, comme une petite comédie mal filmée avec une addition de scènes gesticulantes, bruyantes et désordonnées filmées caméra sur épaule, cette première impression peut légitimement donner envie de décrocher, mais Télé-Gaucho s'avère être un véritable long métrage, avec une durée généreuse et une réalisation de bonne qualité.
    Un bon moment passé en découvrant l'histoire d'une télé libre ayant réellement existé dans les années 90.
    Julien D
    Julien D

    1 179 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 décembre 2012
    Après son émérite "Le nom des autres", Michel Leclerc continue à mêler de manière très drôle les thèmes antinomiques des revendications politiques et des histoires d’amour. Le cynisme avec lequel sont dépeints les idéaux contestataires des personnages s’accompagne d’une certaine nostalgie tandis que l’humour inhérent à ces individus hauts en couleurs se mêle à un rythme fou lié à des bonnes idées de mise en abime des images. Tout n’est donc fait que subtils mélanges pour faire de cette attaque acerbe du PAF une comédie détonante et fort attachante. Le jeu extravagant des acteurs est également une bonne raison de passer un bon moment devant ce délire autobiographique auquel on ne peut s'empêcher de reprocher moult anachronismes dues à une reconstitution bancale des années 90 et à des faux-raccords criants.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 décembre 2012
    Je m'attendais à trouver avec ce film une ambiance à la Klapisch dans ses grandes heures. Le péril jeune est de mes films cultes car le reflet assez fidèle de mes années lycées, Télé Gaucho est une sorte de suite. L'après lycée dont rêvent beaucoup de ces étudiants parlants philo un brin d'herbe (celle que vous voulez) à la bouche entre un cours de maths et une manif. Une pléiade d'acteurs d'une justesse et d'une drôlerie impeccable, jusqu'au rôles de troisième plan (Samir Guesmi aka Bébé pour exemple). On retrouve effectivement le joyeux bordel, l'humour et les personnages qu'on pouvait apprécier chez Klapisch. Ce dernier a peut être trouvé son digne héritier en Michel Leclerc.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 21 mai 2014
    On sait jamais où on va (c'est tant mieux), ni pourquoi, mais en tout cas on y va et c'est déjà pas mal. Malheureusement plus le film avance, moins on rit et plus on s'ennuie.
    beautifulfreak
    beautifulfreak

    105 abonnés 343 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 décembre 2012
    Le précédent film de Michel Leclerc, "Le nom des gens", était une brillante comédie sociale comme on n'en voit pas si souvent en France. Son nouveau film n'a pas la même rigueur dans l'écriture, mais son aspect foutraque et son ironie envers le milieu associatif gauchiste en font un agréable divertissement décryptant les contradictions des individus et de leurs engagements, plus qu'une comédie révolutionnaire ou militante. Je serai indulgent car malgré son aspect brouillon et gentiment caricatural, le film retranscrit bien l'ambiance libertaire qui règne au sein d'une association contestataire. De plus, le film a été tourné dans mon quartier et à Télé Bocal (la télé du quartier dont s'inspire fortement "Télé Gaucho"), et cela me le rend plus sympathique, un peu comme "Chacun son chat", un autre film de quartier. On passe un moment plaisant, et quelques gags sont vraiment drôles.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 3 janvier 2013
    J'ai bien aimé l'ambiance du film, l'esprit libertaire et amateur du groupe. Moins bien que le nom des gens: un peu brouillon, mais très attachant!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 20 décembre 2012
    Tout comme un 5/5 semble difficilement envisageable, je ne pensais pas utiliser aussi rapidement le 0. Et pourtant, malgré toute ma bonne volonté, il est difficile de trouver des qualités à Télé Gaucho, film que j’ai eu l’occasion de découvrir il y a un peu plus d’un mois en séance Label des Spectateurs UGC. Le Label UGC permet aux films primés de bénéficier d’une campagne marketing renforcée, à la charge de l’exploitant UGC. Le fonctionnement est simple, des abonnés sont conviés à une projection, sans rien savoir du film qui leur sera proposé, et décident ensuite, en répondant à un questionnaire, si oui ou non le film vu mérite de recevoir le label. Le concept est séduisant mais perd toute crédibilité quand on apprend, dès le générique d’ouverture de Télé Gaucho dans le cas présent, que le film est distribué par ce même UGC…

    Le film est partiellement biographique, puisque le parcours de Victor (Félix Moati), le personnage principal, à Télé Gaucho est en fait inspiré de la propre expérience du réalisateur Michel Leclerc. Conséquence directe, ce dernier ne semble pas intéressé par son personnage mais seulement par la possibilité de se remémorer son propre passé. Il bâcle ainsi toute description des personnages et toute tentative de dresser une structure narrative. Tout le premier acte, censé introduire Victor (Félix Moati) n’est qu’une succession de séquences chacune trop rapide, de la relation avec ses parents à son déménagement à Paris pour effectuer son stage. On a vraiment le sentiment que Michel Leclerc se fout totalement de la construction de récit, et les quelques moments de sourires disséminées de manière sporadiques dans le film ne suffisent pas pour laisser passer le reste. Plus le film avance, plus il est fouillis, donnant l’impression que Michel Leclerc ne maitrise rien, volontairement ou pas. On enchaine les scènes de manifestations et les meetings anarchistes durant lesquels Eric Elmosnino et toute la troupe semble totalement à la dérive, livrés à eux-mêmes. Si les acteurs ne sont pas mauvais, chacun fait son boulot correctement, on sent qu’aucun d’entre eux n’a été dirigé par le « metteur en scène ».

    En conclusion, Télé Gaucho représente ce que le cinéma français peu faire de pire aujourd’hui. Absence de scénario, de mise en scène, de direction d’acteur, un film pendant le tournage duquel l’équipe a dû s’amuser mais qui ne présente sinon pas le moindre intérêt. À ignorer.

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    defleppard
    defleppard

    363 abonnés 3 340 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 avril 2013
    Un film de communiste à l'attention des cocos. 1 étoile et demie.
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