Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
L'enthousiasme et la nervosité de ce pavé font un joyeux plouf dans le PAF.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Journal du Dimanche
par Jean-Pierre Lacomme
La politique sert de toile de fond mais ce qui domine ici, c'est l'amour des personnages, la générosité et le rire, qui valent bien toutes les banderoles.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Marianne
par Danièle Heymann
Ah ! Quel joyeux bordel ! Quel sympathique foutoir ! Michel Leclerc n'a pas raté son coup d'après ["Le nom des gens"].
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Metro
par Marilyne Letertre
Si "Télé Gaucho", à vouloir exploiter de trop nombreuses pistes, souffre de baisses de régime, les personnages, attachants, marginaux et franchement cocasses, compensent aisément ce léger bémol.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Télé 7 Jours
par Viviane Pescheux
(...) le réalisateur du "Nom des gens" trouve, une fois encore, le ton juste, entre situations cocasses et personnages hauts en couleur.
TéléCinéObs
par Marie-Elisabeth Rouchy
Il flotte dans ce film un joli et doux parfum de nostalgie, beaucoup de dérision, et un zeste (pas désagréable) de méchanceté pour une utopie un peu passée de mode.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Ecran Large
par Damien Leblanc
"Télé Gaucho" porte sur sa bande de pieds nickelés un regard inconstant et mal identifié, entre la moquerie cossarde et l'attendrissement surjoué.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un hédonisme festif qui ne mange pas de pain, mais frise la démagogie.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Isabelle Regnier
Avec "Télé Gaucho", Michel Leclerc confirme qu'il est une voix à part dans le paysage de la comédie française contemporaine.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir le site du Point.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Par quelque bout qu'on la prenne, cette comédie ne dérange rien (...) Un joyeux foutoir vaguement coluchien (...) entre attendrissement benêt et satire inoffensive.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Adrien Gombeaud
(...) un projet foutrac et sympa, comme l'étaient les programmes libertaires dont il s'inspire. (...) Il reste soulevé par des bouffées de romantisme acharné, par l'humour et la sensualité candide de Sara Forestier.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Antoine Prioul
Choper le rire comme il vient, à savoir par la bande, c'est un peu la marque de fabrique de Michel Leclerc (...) l'ennui, c'est que cette mécanique du hasard provoqué s'avère un rien prévisible.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Cécile Mury
(...) [un] film choral attachant, mais trop souvent en équilibre précaire au bord de la caricature.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Elise Lépine
Voir le site de l'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Croix
par Arnaud Schwartz
Le charme et la douce folie du "Nom des gens" semblent bien loin. C'est dommage.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Danel
Sympathique, mais trop foutraque, le film laisse une impression de brouhaha auquel il manque le rythme et les rires. Mais il révèle le jeune Félix Moati.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Chronic'art.com
par Yal Sadat
Jamais drôle, le film passe en revue les différentes familles d'encartés, brandit les plus beaux cas sans dépasser le simple cliché à sketch. Derrière les diapos se cache bien un autre projet, celui d'interroger la partisanerie quasi maladive déjà incarnée par le personnage de Sara Forestier dans "Le Nom des gens", autrement mieux réussi.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Critikat.com
par Benoît Smith
L'usage de la comédie apparaît comme un choix par défaut, un choix opportuniste d'amuser la galerie pour donner le change d'un point de vue tristement absent sur ce autour de quoi s'agite cette machine à rire facilement.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Séquences brouillonnes ou idiotes, scénario crypté, seconds rôles décoratifs, mise en scène aux abonnés absents : Leclerc livre une tambouille volontairement anarchique.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Transfuge
par Romain Blondeau
Sans jamais retrouver ni l'habileté ni la drôlerie du "Nom des gens", Michel Leclerc décline les vannes paresseuses et inopérantes dans l'hystérie générale.
La critique complète est disponible sur le site Transfuge
20 Minutes
L'enthousiasme et la nervosité de ce pavé font un joyeux plouf dans le PAF.
Le Journal du Dimanche
La politique sert de toile de fond mais ce qui domine ici, c'est l'amour des personnages, la générosité et le rire, qui valent bien toutes les banderoles.
Marianne
Ah ! Quel joyeux bordel ! Quel sympathique foutoir ! Michel Leclerc n'a pas raté son coup d'après ["Le nom des gens"].
Metro
Si "Télé Gaucho", à vouloir exploiter de trop nombreuses pistes, souffre de baisses de régime, les personnages, attachants, marginaux et franchement cocasses, compensent aisément ce léger bémol.
Télé 7 Jours
(...) le réalisateur du "Nom des gens" trouve, une fois encore, le ton juste, entre situations cocasses et personnages hauts en couleur.
TéléCinéObs
Il flotte dans ce film un joli et doux parfum de nostalgie, beaucoup de dérision, et un zeste (pas désagréable) de méchanceté pour une utopie un peu passée de mode.
Ecran Large
"Télé Gaucho" porte sur sa bande de pieds nickelés un regard inconstant et mal identifié, entre la moquerie cossarde et l'attendrissement surjoué.
L'Humanité
Un hédonisme festif qui ne mange pas de pain, mais frise la démagogie.
Le Monde
Avec "Télé Gaucho", Michel Leclerc confirme qu'il est une voix à part dans le paysage de la comédie française contemporaine.
Le Point
Voir le site du Point.
Les Inrockuptibles
Par quelque bout qu'on la prenne, cette comédie ne dérange rien (...) Un joyeux foutoir vaguement coluchien (...) entre attendrissement benêt et satire inoffensive.
Positif
(...) un projet foutrac et sympa, comme l'étaient les programmes libertaires dont il s'inspire. (...) Il reste soulevé par des bouffées de romantisme acharné, par l'humour et la sensualité candide de Sara Forestier.
Première
Choper le rire comme il vient, à savoir par la bande, c'est un peu la marque de fabrique de Michel Leclerc (...) l'ennui, c'est que cette mécanique du hasard provoqué s'avère un rien prévisible.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Télérama
(...) [un] film choral attachant, mais trop souvent en équilibre précaire au bord de la caricature.
L'Express
Voir le site de l'Express.
La Croix
Le charme et la douce folie du "Nom des gens" semblent bien loin. C'est dommage.
Les Fiches du Cinéma
Sympathique, mais trop foutraque, le film laisse une impression de brouhaha auquel il manque le rythme et les rires. Mais il révèle le jeune Félix Moati.
Chronic'art.com
Jamais drôle, le film passe en revue les différentes familles d'encartés, brandit les plus beaux cas sans dépasser le simple cliché à sketch. Derrière les diapos se cache bien un autre projet, celui d'interroger la partisanerie quasi maladive déjà incarnée par le personnage de Sara Forestier dans "Le Nom des gens", autrement mieux réussi.
Critikat.com
L'usage de la comédie apparaît comme un choix par défaut, un choix opportuniste d'amuser la galerie pour donner le change d'un point de vue tristement absent sur ce autour de quoi s'agite cette machine à rire facilement.
Le Parisien
Séquences brouillonnes ou idiotes, scénario crypté, seconds rôles décoratifs, mise en scène aux abonnés absents : Leclerc livre une tambouille volontairement anarchique.
Transfuge
Sans jamais retrouver ni l'habileté ni la drôlerie du "Nom des gens", Michel Leclerc décline les vannes paresseuses et inopérantes dans l'hystérie générale.