Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Elle
par Héléna Villovitch
Pour son premier long métrage, Elise Girard fait preuve d'une finesse enthousiasmante. Encore!
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) Elise Girard a réussi son passage à la fiction (autofiction ?), grâce également aux compositions très énergiques de Valérie Donzelli et Jérémie Elkaïm.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaroscope
par Isabelle Fargette
Une analyse fine et finement interprétée de sentiments incompréhensibles, voire inavouables.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Isabelle Regnier
Avec une économie de moyens sans doute plus subie que voulue, mais dont elle s'accommode bien, Elise Girard explore l'imaginaire cinéphile en le confrontant à sa négation absolue : le réel, implacablement matérialisé par la future maternité du personnage principal.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Une rupture amoureuse auscultée avec cruauté et finesse, tristesse et drôlerie, distance et tendresse.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par P. Bi.
Pour éviter le pathos, Elise Girard privilégie la distance, le plan fixe et le plan-séquence. Renato Berta, au cadre et à la lumière, a su décliner une palette de couleurs hivernales qui s'accordent aux sentiments des personnages et installent une douceur trompeuse.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Une douce fantaisie, à la mélancolie taraudante.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
De forme très humble, pas toujours très adroit, "Belleville Tokyo" réussit pourtant un pari assez acrobatique, qui mène un film presque anecdotique jusqu'à une étrange méditation amoureuse.
Critikat.com
par Arnaud Hée
Une grande fragilité préside à l'ensemble, restent quelques percées réussies et la présence de Valérie Donzelli, grand atout du film.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Excessif
par Jérôme Beales
Cet amour clamé haut et fort pour le Septième Art fait à la fois la force et la faiblesse d'un film auto-centré dans un microcosme quelque peu coupé de la réalité. "Belleville Tokyo" est donc à voir principalement pour son couple d'acteurs, ainsi que pour son excellente galerie de seconds-rôles emmenée par le grand Philippe Nahon.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Libération
par Bruno Icher
La part autobiographique (...) s'efface peu à peu derrière la grâce d'un couple (Donzelli et Jérémie Elkaïm) qui ne parvient jamais ni à s'aimer comme il le voudrait ni à se haïr tout à fait. Une forme de déséquilibre permanent, touchant, qui finit par étouffer le propos, réduisant le rapport ambigu de l'auteure au cinéma à une fonction de décor abritant un drame intime.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Philippe Jambet
La plus belle idée du film consiste à montrer le cinéma comme un cocon. (...) Une réalisatrice novice qui ne semble pourtant pas faire totalement confiance à son talent, certaines séquences manquent étrangement de personnalités.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
Dans ce premier long métrage à forte teneur autobiographique, Elise Girard filme les atermoiements et les revirements amoureux avec humour et une distance salutaire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Elle
Pour son premier long métrage, Elise Girard fait preuve d'une finesse enthousiasmante. Encore!
L'Obs
(...) Elise Girard a réussi son passage à la fiction (autofiction ?), grâce également aux compositions très énergiques de Valérie Donzelli et Jérémie Elkaïm.
Le Figaroscope
Une analyse fine et finement interprétée de sentiments incompréhensibles, voire inavouables.
Le Monde
Avec une économie de moyens sans doute plus subie que voulue, mais dont elle s'accommode bien, Elise Girard explore l'imaginaire cinéphile en le confrontant à sa négation absolue : le réel, implacablement matérialisé par la future maternité du personnage principal.
Les Inrockuptibles
Une rupture amoureuse auscultée avec cruauté et finesse, tristesse et drôlerie, distance et tendresse.
Positif
Pour éviter le pathos, Elise Girard privilégie la distance, le plan fixe et le plan-séquence. Renato Berta, au cadre et à la lumière, a su décliner une palette de couleurs hivernales qui s'accordent aux sentiments des personnages et installent une douceur trompeuse.
TéléCinéObs
Une douce fantaisie, à la mélancolie taraudante.
Cahiers du Cinéma
De forme très humble, pas toujours très adroit, "Belleville Tokyo" réussit pourtant un pari assez acrobatique, qui mène un film presque anecdotique jusqu'à une étrange méditation amoureuse.
Critikat.com
Une grande fragilité préside à l'ensemble, restent quelques percées réussies et la présence de Valérie Donzelli, grand atout du film.
Excessif
Cet amour clamé haut et fort pour le Septième Art fait à la fois la force et la faiblesse d'un film auto-centré dans un microcosme quelque peu coupé de la réalité. "Belleville Tokyo" est donc à voir principalement pour son couple d'acteurs, ainsi que pour son excellente galerie de seconds-rôles emmenée par le grand Philippe Nahon.
Libération
La part autobiographique (...) s'efface peu à peu derrière la grâce d'un couple (Donzelli et Jérémie Elkaïm) qui ne parvient jamais ni à s'aimer comme il le voudrait ni à se haïr tout à fait. Une forme de déséquilibre permanent, touchant, qui finit par étouffer le propos, réduisant le rapport ambigu de l'auteure au cinéma à une fonction de décor abritant un drame intime.
Première
La plus belle idée du film consiste à montrer le cinéma comme un cocon. (...) Une réalisatrice novice qui ne semble pourtant pas faire totalement confiance à son talent, certaines séquences manquent étrangement de personnalités.
Télérama
Dans ce premier long métrage à forte teneur autobiographique, Elise Girard filme les atermoiements et les revirements amoureux avec humour et une distance salutaire.