Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Les êtres fantômes qu'elle [Michale Boganim] fait vivre à l'écran hantent durablement par leur humanité et leur désespoir.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Critikat.com
par Clément Graminiès
Sans excès de pathos et avec une économie remarquable du spectaculaire, "La Terre outragée" ressuscite de manière troublante les vestiges d'un paradis perdu.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Paris Match
par Alain Spira
Évitant la route balisée du film catastrophe, la réalisatrice Michale Boganim emprunte les chemins de l'intime, du ressenti plutôt que du démonstratif.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
TéléCinéObs
par Florence Raillard
Une terre définitivement souillée que des tour-opérateurs font visiter à grands frais. C'est ce manque aussi invisible que la radioactivité que Michale Boganim a magnifiquement filmé dans les décombres du communisme.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Florent Guézenguar
De façon étonnante et sans doute involontaire, le réalisme précis de ce film offre même un écho profond aux plus grands films fantastiques ou d'horreur.
Elle
par Anne Diatkine
Il fallait un talent exceptionnel pour réussir une fiction sur une catastrophe aussi emblématique (...). Michale Boganim (...) a le sens des détails qui disent tout et prouve, avec ce premier long-métrage, qu'elle est pourvue du don unique d'inventer le vrai.
La critique complète est disponible sur le site Elle
La Croix
par Arnaud Schwartz
"La Terre outragée" est un film au registre singulier, qui ne cherche pas à faire le récit spectaculaire d'une catastrophe (...). Michale Boganim signe une oeuvre forte et surprenante.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Une première oeuvre forte et intimiste sur la catastrophe de Tchernobyl.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Cette manière d'englober dans un même geste le passé, le présent, et le futur n'est pas la moindre des qualités de ce film romantique et tragique, qui a un sens aigu du détail juste et saisissant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Laure Noualhat
Dans la "Terre outragée" [...] l'accident nucléaire n'est qu'un prétexte pour évoquer sans pathos les exils intérieurs [...] de personnages cramés par un terrible passé, puis lentement contaminés par la solitude.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Elise Domenach
(...) film romanesque et courageux sur les effets du Tchernobyl.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
L'Express
par Christophe Carrière
L'horreur de la réalité côtoie la poésie désenchantée. La Terre outragée, premier film sur la tragédie de Tchernobyl (...) raconte la vaine obsession d'une survivante en quête de sens. Celle-ci est dignement interprétée par Olga Kurylenko (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Jean Roy
On aime l'atmosphère pesante du film. On aime moins (...) la connotation psychologique qui pousse Anya dans les bras de deux hommes, l'un incarnant la réminiscence du bonheur perdu, et l'autre, la difficulté de tourner la page du passé pour aborder celle d'un éventuel futur. La nuance tourne au cliché, la subtilité au lieu commun.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Jean-Pierre Lacôme
Plus qu'à une reconstitution spectaculaire, le cinéaste, qui a dû ruser avec les autorités locales pour avoir le droit de tourner, s'attache aux pas de cette femme pour mieux faire ressentir l'insidieux poison de la catastrophe.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Alain Grasset
C'est dans son pays d'origine qu'Olga Kurylenko a tourné sous la direction de la réalisatrice israélo-française Michale Boganim le long-métrage qui sort aujourd'hui. En toile de fond, la catastrophe de la centrale nucléaire de Tchernobyl, le 26 avril 1986.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Sélim Ammouche
Assumant la fiction, reléguant au loin l'ombre inquiétantes des réacteurs de Tchernobyl, "La Terre outragée" rappelle avec âpreté l'impact, entre mémoire et oubli, de cette tragédie sur les habitants de Pripiat.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Isabelle Danel
Rien que pour cette visite guidée [à Tchernobyl], qui relève du documentaire, le film vaut le détour. En montrant l'instantané bouleversant de ce qu'est le bonheur quand on ignore qu'on va le perdre, le scénario approche de l'indicible.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
(...) Si les personnages ne s'imposent pas vraiment dans ce cinéma plus doué pour l'ambiance que la fiction, c'est qu'ils sont emportés dans une histoire qui détruit les destinées individuelles, qui les fait devenir fantômes eux-mêmes. Le film doit beaucoup à la présence d'Olga Kurylenko (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Excessif
par Nicolas Schiavi
La réalisatrice Michale Boganim retourne sur les lieux du drame de Tchernobyl avec un long-métrage produit dans la douleur et les pressions politiques dont on ne ressent ni la puissance évocatrice ni l'émotion brute.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le Monde
par Thomas Sotinel
(...) le film n'est beau et fort que par bribes (...). Non que la primauté de la fiction sur le documentaire en soit véritablement responsable. Ce qui pèse, c'est cette ignorance naïve de la vraie nature de l'objet, de Tchernobyl, puissante et hypnotique au point de faire du film un documentaire malgré lui.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
20 Minutes
Les êtres fantômes qu'elle [Michale Boganim] fait vivre à l'écran hantent durablement par leur humanité et leur désespoir.
Critikat.com
Sans excès de pathos et avec une économie remarquable du spectaculaire, "La Terre outragée" ressuscite de manière troublante les vestiges d'un paradis perdu.
Paris Match
Évitant la route balisée du film catastrophe, la réalisatrice Michale Boganim emprunte les chemins de l'intime, du ressenti plutôt que du démonstratif.
TéléCinéObs
Une terre définitivement souillée que des tour-opérateurs font visiter à grands frais. C'est ce manque aussi invisible que la radioactivité que Michale Boganim a magnifiquement filmé dans les décombres du communisme.
Cahiers du Cinéma
De façon étonnante et sans doute involontaire, le réalisme précis de ce film offre même un écho profond aux plus grands films fantastiques ou d'horreur.
Elle
Il fallait un talent exceptionnel pour réussir une fiction sur une catastrophe aussi emblématique (...). Michale Boganim (...) a le sens des détails qui disent tout et prouve, avec ce premier long-métrage, qu'elle est pourvue du don unique d'inventer le vrai.
La Croix
"La Terre outragée" est un film au registre singulier, qui ne cherche pas à faire le récit spectaculaire d'une catastrophe (...). Michale Boganim signe une oeuvre forte et surprenante.
Le Figaroscope
Une première oeuvre forte et intimiste sur la catastrophe de Tchernobyl.
Les Inrockuptibles
Cette manière d'englober dans un même geste le passé, le présent, et le futur n'est pas la moindre des qualités de ce film romantique et tragique, qui a un sens aigu du détail juste et saisissant.
Libération
Dans la "Terre outragée" [...] l'accident nucléaire n'est qu'un prétexte pour évoquer sans pathos les exils intérieurs [...] de personnages cramés par un terrible passé, puis lentement contaminés par la solitude.
Positif
(...) film romanesque et courageux sur les effets du Tchernobyl.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
L'Express
L'horreur de la réalité côtoie la poésie désenchantée. La Terre outragée, premier film sur la tragédie de Tchernobyl (...) raconte la vaine obsession d'une survivante en quête de sens. Celle-ci est dignement interprétée par Olga Kurylenko (...).
L'Humanité
On aime l'atmosphère pesante du film. On aime moins (...) la connotation psychologique qui pousse Anya dans les bras de deux hommes, l'un incarnant la réminiscence du bonheur perdu, et l'autre, la difficulté de tourner la page du passé pour aborder celle d'un éventuel futur. La nuance tourne au cliché, la subtilité au lieu commun.
Le Journal du Dimanche
Plus qu'à une reconstitution spectaculaire, le cinéaste, qui a dû ruser avec les autorités locales pour avoir le droit de tourner, s'attache aux pas de cette femme pour mieux faire ressentir l'insidieux poison de la catastrophe.
Le Parisien
C'est dans son pays d'origine qu'Olga Kurylenko a tourné sous la direction de la réalisatrice israélo-française Michale Boganim le long-métrage qui sort aujourd'hui. En toile de fond, la catastrophe de la centrale nucléaire de Tchernobyl, le 26 avril 1986.
Les Fiches du Cinéma
Assumant la fiction, reléguant au loin l'ombre inquiétantes des réacteurs de Tchernobyl, "La Terre outragée" rappelle avec âpreté l'impact, entre mémoire et oubli, de cette tragédie sur les habitants de Pripiat.
Première
Rien que pour cette visite guidée [à Tchernobyl], qui relève du documentaire, le film vaut le détour. En montrant l'instantané bouleversant de ce qu'est le bonheur quand on ignore qu'on va le perdre, le scénario approche de l'indicible.
Télérama
(...) Si les personnages ne s'imposent pas vraiment dans ce cinéma plus doué pour l'ambiance que la fiction, c'est qu'ils sont emportés dans une histoire qui détruit les destinées individuelles, qui les fait devenir fantômes eux-mêmes. Le film doit beaucoup à la présence d'Olga Kurylenko (...).
Excessif
La réalisatrice Michale Boganim retourne sur les lieux du drame de Tchernobyl avec un long-métrage produit dans la douleur et les pressions politiques dont on ne ressent ni la puissance évocatrice ni l'émotion brute.
Le Monde
(...) le film n'est beau et fort que par bribes (...). Non que la primauté de la fiction sur le documentaire en soit véritablement responsable. Ce qui pèse, c'est cette ignorance naïve de la vraie nature de l'objet, de Tchernobyl, puissante et hypnotique au point de faire du film un documentaire malgré lui.