Derniers Avis : Les Seigneurs - Page 13

Je pensais me fendre la gueule. Bah non. Le casting laissait rêveur, une constellation des meilleurs humoristes en France, mais, qui ne sont pas utilisés comme il se devrait. Un scénario un peut prévisible et bâclé... Vraiment dommage pour un film qui possédait un beau potentiel...

Les seigneurs, malgré un très jolie casting et quelques blagounettes, le tout reste très mauvais, l'inutilité du film se fait ressentir tout le long, on ne s'ennuie pas, mais on ne prend pas forcement de plaisir non plus. Bref à éviter.

Rien à redire. Très bon film.
Cependant le rôle de Gad Elmaleh est d'une stupidité déconcertante.

film assez amusant, vraiment très drôle. c'est un des meilleurs film que j'ai jamais vu sur le football, mais je mets quand même un bémol pour Joeystar que je trouve un peu chiant parfois. Sans lui, j'aurais ajouté 0.5 (0.3 si c'était possible) à ma note.

on rigole peu, les personnages sont tous caricaturaux a l’extrême , on aurai aimé un peu plus de subtilité de la part du réalisateur de la môme.

Une petite ville de Bretagne vivant de la pêche va être racheté par une multinationale si elle ne trouve pas de quoi payer ses dettes en gros....Alors, le maire (je crois) trouve comme solution de faire passer quelques tours à son équipe de foot en coupe de France pour trouver cette somme. Il va alors faire appel à José Garcia ancienne star du football pro pour entrainer l'équipe et recruter des amis à lui... Film, très drôle qui mêle football et histoire de famille...Vraiment un bon film à voir....Décalé....

Un film à prendre comme une comédie (cela tombe bien, c'en est une) plutôt sympa. Les acteurs ont été remplacés par des humoristes qui font leur numéro. On sent le plaisir de tourner ensemble qu'ils ont pu avoir. Les blagues sont classiques, quelques dialogues sont savoureux et les troches des comiques jouent beaucoup dans ce qui n'est pas la comédie du siècle mais qui se laisse regarder sans rougir.

Olivier Dahan est à la réalisation d'un film ce qu'est une bobine de cinéma à une salle de projection, une sorte d'outil indispensable, et l'on sait pourquoi. Plus de dix ans après avoir adapté à l'écran un des contes les plus populaires de Charles Perrault (Le Petit Poucet), ce dernier offre une séduisante comédie à un public qui, aujourd'hui, ne demande plus grande chose au cinéma français. A travers un scénario plus que prévisible, quelques rebondissements assez rares et des décors surprenants, cette petite production qu'est Les Seigneurs se suffit à elle-même, et saura plaire à un certain nombre.

Un divertissement extrême, du rire du début jusqu'à la fin...
Pour les fans du rire, du foot "les seigneurs" est un film pour vous. Un casting de feu.

Le but du film est là, passer un bon moment devant une comédie plutôt bien ficelé avec une équipe d'acteur qui est très agréable étonnament !

Pourquoi, ô grand pourquoi, Oliver Dahan (La Môme, My Own Love Song) s'est-il lancé dans Les Seigneurs ? N'ayons pas d'apriori sur ce film et rappelons le pitch : Orbera, un ancien grand footballeur devenu alcoolique, se voit obligé d'entraîner une petite équipe de Bretagne pour avoir le droit de revoir sa fille.

Le cinéaste n'est pas un fan de foot et cela se sent dès les premières images. Les scènes de match ne sont pas filmées avec passion mais de manière mécanique. Ce n'est pas la stratégie qui compte mais le spectacle, et surtout, ces onze joueurs sur le terrain qui partagent quelque chose : un certain désir de rédemption.
Les Seigneurs est donc ciblé sur ses personnages dont certains font partie des meilleurs comiques de France (Omar, Gad, Dubosc), entraînés par le grand patron : José Garcia. C'est peut-être la plus belle image de ce film, voir toutes ces individualités réunies ensemble pour nous faire rire. Et pour cela, Dahan ne s'est pas creusé la tête puisque chaque humoriste adopte un jeu qu'il connait parfaitement et lui colle à la peau (le branleur, le violent, le terrifié).

Mais comme tout film de foot qui se respecte, Les Seigneurs a une narration type de ce genre cinématographique. Le suspense est de mise et nous tremblons à chaque étape de l'équipe pour sa qualification, qui doit nécessairement passer par une séance de tir au but. Quelques passages ici et là sont drôles par certains gags mais l'ensemble du film ne vole pas à la hauteur des vedettes qui sont à l'affiche. De plus, la romance d'Orbera n'aurait même pas du effleurer l'esprit du scénariste tellement cette dernière est vide de sens.

Alors cette fameuse question reste en suspens. Certains diront que Dahan a choisit de réaliser ce film pour le côté humain de Garcia et son intention de se racheter, mais nous dirons plutôt qu'il s'est trompé de terrain... La volonté de varier les styles est une chose, mais créer une oeuvre réussie en est une autre.

Ouais ... Je suis trop têtu des fois, et ce film me l'a prouvé. On n'a cessé de me dire "mais non regarde le pas, c'est nul etc...". Mais moi, bien sûr, comme tout le monde, j'ai vu écrit "Gad Elmaleh, José Garcia, Le comte de Bouderbala, Omar Sy ..." alors bien évidemment j'ai sauté dessus. Eh ben j'aurais pas dû ! Comment avec un tel casting on peut faire une telle bouse ? La façon de filmer déjà est mauvaise, les plans sont mauvais. Les acteurs sur-jouent trop, ils ont tous un personnage trop cliché et donc forcément ils exagèrent tous trop. Seul Gad Elmaleh est parvenu à me faire rire sur la blague au début quand il dit qu'il a peur quand il marque un but car tout le monde lui court derrière, c'est le seul moment drôle, après plus rien ! Le scénario est absolument mauvais, il faut le dire ... Manque d'originalité énorme, et pourtant niveau originalité avec un film sur le foot il y a de quoi faire. Les gags, si on peut appeler ça comme ça, sont tous mauvais et éculés, des blagues comme ça on les a vues et entendues 15 000 fois à tel point que ça en devient lourd ... Les 2 ou 3 scènes où le réalisateur a essayé de mettre du suspens, eh ben c'est raté aussi. Enfin bon une comédie française comme on en voit beaucoup de nos jours ... "Les Seigneurs", ou comment faire un mauvais film avec un casting de rêve ...

Du beau monde pour un film très moyen même décevant. La seule fois j'ai souri c'est à la fin (Non pas quand le film s'est terminé, mauvaises langues.) sur une réplique de Franck Dusbosc.

Les Seigneurs est un film divertissant mais sans plus. A voir une fois si on a fait le tour de toute sa vidéothèque.

Film sumpatoche sans plus il a pour but de nous divertir mais y arrive difficilement. Dubosc sauve un peu le carnage

Je vais être sympa avec ce film pour la simple et bonne raison que je n'ai pas payé une place de ciné pour le voir, sinon ça m'aurait énervé et l'impitoyable couperet serait tombé. Je dois dire que je m'attendais à pire étant donné que je fuis (malheureusement) ce type de comédie franchouillarde depuis l'arnaque "Les Bronzés 3 : le retour" qui m'avait fait prématurément quitter une salle en 2006 (j'ai, hélas, pris récemment une piqûre de rappel avec "Astérix 4", en "3D-qui-sert-à-rien" qui plus est, mais bon, sur ce coup là, je l'avais bien cherché). Revenons aux "seigneurs", ou plutôt aux "bankables" vu le casting de prestige qui va fouler le gazon et tâter le cuir pendant environ 1h30. Attention, je n'ai rien contre ces types, j'apprécie d'ailleurs beaucoup certains d'entre eux comme Omar Sy ou José Garcia, mais bon, ça attire les foules, certes, chacun apporte sa propre personnalité, certes, mais ça ne fait pas pour autant un bon film. L'idée de départ n' était pas idiote, plutôt originale même, mais certains gags ont la finesse d'une frappe de Taiwo et la classe d'un tacle de Pépé (ce sympathique charcutier de l'équipe du Portugal). On sourit, parfois, on se prend au jeu, de temps en temps, mais ça reste un peu faible sans être totalement pitoyable. Ce que j'ai regretté c'est l'absence de vraies figures du monde du football, joueurs, entraîneurs, journalistes (bon OK il y a Jeanpierre mais j'aurais bien vu un Ménès ou un Paganelli s'en donner à coeur joie), car ça aurait apporté une touche plus réaliste au film ainsi qu'une dose d'auto-dérision au monde du ballon rond qui, disons-le, en manque cruellement parfois.