Les acteurs sont bons, c'est bien filmé mais, franchement, c'est assez ennuyeux. Probablement parce que les scénaristes ont voulu trop en faire. Quand on n'avait pas d'empathie particulière ce film n'en crée pas davantage. Voire même moins car il présente DALIDA comme une pauvre femme perdue dans une quête "d'amour" auprès d'hommes tous un peu étonnants pour ne pas dire bizarres. On peu l'éviter car ça n'a pas beaucoup d'intérêt.
L''émotion tiend essentiellement à la musique et aux tubes devenus intemporels. Et à l'ambiance des années 60 à 75 du show biz assez bien rendue.Le film ne fait qu'entrevoir la vie dramatique voire triste sur le plan personnel alors que la star atteignait les sommets sur le plan professionnel . Pour autant et c'est bien dommage, peu d'émotion . Certains acteurs jouent même limite sans trop y croire!
« Je suis MALADE ! » Il y a eu beaucoup de grandes stars qui ont bougé le monde de la musique dans les années 70 - Serge Gainsbourg, Claude François - et puis nous avons Dalida ! Les documentaires et les téléfilms ont été nombreux sur cette chanteuse. Le destin malheureux, ce parcours tragique de la jeune italienne et victime de son succès et des hommes qui l'entourent... Une âme perdue qui a su marquer son époque ! A la réalisation, Lisa Azuelos qui revient après trois ans d'absence de son précédent film : Une rencontre. Ce qui dérange dans Dalida est qu'il n'ait pas réellement d'épaisseur, ni de complexité. On est très loin du chef d'oeuvre qu'était Cloclo de Florent Siri ! Les moments dans la vie de Dalida sont vite expédiés spoiler: par une succession de relations amoureuses pauvres. La mort se rapproche autour d'elle spoiler: puisque ces trois amants ont fini par se suicider. Un solide casting vient sauver le film du mélo... Incluant Riccardo Scamarcio qui dégage beaucoup de contribution pour sa soeur, Jean-Paul Rouve s'avère étonnant et toujours à l'aise dans les drames, Vincent Perez demeure discret mais tout en élégance et Nicolas Duvauchelle s'impose spoiler: à plus de la moitié du récit. La mannequin italienne, Sveva Alviti a dû apprendre le français pour l'occasion et elle offre une composition touchante dans la peau de cette femme malheureuse. Ce rôle iconique était très casse-gueule et l'actrice s'en sort haut la main ! La première partie regorge d'ellipses agaçantes alors que le second segment plus traditionnel. On reconnaît la touche de la cinéaste après son LOL français et son remake américain avec son univers intime et propre. La reconstitution d'époque ne manque pas de glamour et un montage cohérent avec le son et l'image. Mais ce n'est pas suffisant pour cause d'une mise en scène assez molle qui finit par lasser le spectateur. Reste une musique de Dalida magnifique ! Pour finir, Dalida est un biopic qui ne va pas dans la grande originalité mais qui fait le travail nécessaire pour nous divertir sur le parcours de cette artiste. Une mention spéciale pour l'actrice Sveva Alviti et à voir pour les fans de l'époque !
Icône de la chanson populaire pendant presque trois décennies, Dalida obtient enfin son biopic. Pour être franc, si vous êtes fan, je doute que vous appreniez vraiment quelque chose. Si comme moi, vous connaissez ses succès sans être très au fait de sa vie, les informations inédites ne seront pas non plus très nombreuses. Parce qu’il faut le dire le film s’articule autour de toutes ses tragédies qui ont marqué la vie de la star et que les journaux people et la télévision ont racontées en long et en large. Du coup, c’est un long article de presse en images mouvantes qui raconte les amours déçus, les suicides et les dépressions de Dalida au long de sa carrière musicale, par ailleurs elle sans faute. C’est d’ailleurs une des seules vraies révélations de ce film que cette mise en perspective qui s’offre à nous d’une star dont tous les rêves de gloire et de succès ont été comblés et qui pourtant ont laissé la femme toujours malheureuse, incapable de trouver l’amour et le bonheur dans sa vie privée. Le film offre une réalisation soignée, mais désespérément classique avec sa farandole de personnages connus incarnés par des acteurs eux aussi connus et une actrice interprétant la chanteuse avec un beaucoup de sérieux, mais sans éclat non plus. En somme un biopic solide, mais qui efface totalement toute forme d’émotion au profit d’une mise en images de toutes ses photos et autres paparazzades de la star vues dix mille fois dans les journaux. A réserver aux fans inconditionnels de la diva, les autres n’en garderont pas un souvenir très prégnant.
Interminable! La chanteuse italienne mériterait certainement mieux que ce film plat, monotone ..... Même si Sveva Alviti incarne parfaitement la star, que les autres acteurs sont aussi bien dans leur truc (Rouve notamment ) le film ne décolle jamais vraiment, tourne en rond, et devient vite ennuyeux d'autant plus que le récit est très linéaire.... Azulos et son scénariste se sont principalement intéressés à la vie sentimentale chaotique de la chanteuse sans creuser plus loin sans chercher à nous faire comprendre les raisons de ce mal-être et sans s'intéresser suffisamment à la façon dont la jeune fille devient une star. Du coup je suis ressorti sans avoir l'impression d'en avoir beaucoup appris.... Mais c'est surtout le manque de passion qui m' aura manqué dans ce biopic où il devait y en avoir un minimum.... Vraiment dommage parce que tout n'est pas à jeter, loin de là.... On sent bien l'ambiance de l'époque avec les costumes, et celle des concerts de l'époque avec Barclay la photo est aussi très chouette... Bref, je pense que beaucoup y trouveront leur compte rien qu'avec ces aspects particulièrement réussis du film.
Il est difficile de critiquer un biopic d'une star qu'on ne connait pas. Côté positif, je peux dire que j'ai un aperçu global de la vie de Dalida et de ses chansons (contrairement à certains autres qui choisissent une brève période). Côté négatif, c'est pas facile à condenser (en gardant la même actrice traverser toutes ces années). Le casting est bon, ça me semble bien raconté, mais mineur par rapport à "La Môme" devenue une vrai référence dans le domaine.
La via d'une artiste, d'une icône disco et pop d'une génération disparue bien trop tôt mais tuée par son succès propre et ses accumulations de tragédies digne des récits grecques. Un biopic qui ne parle pas directement d'elle étant jeune puisque c'est de la part de ses proches face à un médecin, que ces derniers là décrive en tant que tel. Une enfance peu joyeuse suivit d'une adolescence pas forcément mieux vécu. Puis les premiers succès vinrent avec ses premières chansons et son premier mari, un mari dans la peau de Jean Paul Rouve incarnant le parfait capitaliste ne pensant qu'au succès, aux ventes et aux promos sans pause. Un Mari qui ne cherchera pas de vie intime mais une seule vie de gros sous sans se soucier de sa belle femme. Une jeune incarnée avec talent par la sublime italienne Sveva Alviti dans un caractère, posture et talent fou. Mais le gros problème de ce biopic, c'est le contenu en lui même, il s'avère qu'il ne traite que du grand relationnel personnel de la star, mais pas de sa carrière en elle même, pas de la naissance de ses tubes ou de ses tournées. Même le final musical sur "Laisser moi danser" m'à dessus en raison d'une attente explosif, mais la mise en scène globale m'à laisser sur ma faim. Visuellement sinon, le film reste très bien avec des décors géniaux, des costumes d'époque hyper bien et une ambiance de polar américain à chaque scène montrant les hommes dans les bars ou restos. Un envers de décors pas assez exploiter pour le côté show-biz, et c'est çà qui est la cause d'un manque profond laissant place à de bien nombreuses longueurs. Une rétro-disco pas suffisamment endiablée qui aurait dû bénéficier d'un élan bien plus dynamique, mais j'en retiens la prestation de l'actrice.
Indéniablement, j'attendais mieux. L'actrice est pourtant impeccable, mais le film ne touche pas... la faute à une mise en scène peut être un peu plate.
Loin d'être un mauvais film, "Dalida" est un biopic classique qui mérite d'être vu une fois, mais tout du long en mode pilotage automatique où se succèdent de manière redondante morceaux de vie de l'artiste et séquences clippesques de chant et/ou de danse. Bien que Lisa Azuelos fasse le job, un/une metteur en scène plus expérimenté(e) aurait ajouté une grosse plus-value à un film qui en manque cruellement. Néanmoins, les acteurs s'en sortent avec les honneurs.
Je n'ai jamais été sensible à la voix de Dalida, peu à ses chansons et pas du tout à son physique. Quant on m'a proposé d'aller voir à l'époque son biopic au ciné, cela a été un non catégorique. Surtout que le cinema de Azuelos ne m'a, jusqu'ici, jamais transcendé. Je me suis forcé à le regrader lors de son passage TV pour me faire quand même une idée. Peut-être ne suis-je pas bon juge, n'étant pas sensible à l'univers musical de Dalida mais il est clair que je n'ai pas regretté d'avoir économisé 12 euros lors de sa sortie en salle. Le gros point positif du film reste Sveva Alviti, qui incarne hors scène Dalida de façon troublante et surtout touchante. j'ai dit hors scène car tous les numéros chantés "sonnent" tellement playback que du coup, je ne croyais plus avoir Dalida devant moi. Mais surtout, pour moi, le film a bien npeu d'intérêts : il est juste un enchainement d'amants (et de suicides) qui , à part définir la chanteuse comme une Cougar, ne développe guère sa psychologie. De même, on ne ressent jamais son point de vue artistique et ses chansons ne sont qu'habillage de ce qu'lle vo-it ou bien témoigne de l'époque. En fait, je n'ai rien appris de Dalida que je ne savais déjà, je n'ai pas retrouvé l'intensité et la complexité du personnage , tel que je l'ai vécu par exemple dans Cloclo. Peut-être que le fait que le film ait été largement rogné en a enlevé toute la partie introspective. Visuellement, le film est parfois très réussi. Par contre, certaines scènes doublées (visiblement tournées à l'origine en italien) pèsent lourdement sur la fluidité sonore du film et m'ont donc régulièrement sorti du film
L'impression que j'avais de Dalida c'est celle d'une personne très sensible. Et pourtant ça ne se ressent pas dans ce film qui ressemble plus à un documentaire qu'autre chose
Un biopic ou bien un film sur son frère aîné, cadet, Orlando, Bruno, producteur, confident, manager, témoin, légataire, admirateur, administrateur, propriétaire, geôlier, cuisinier, garagiste, tour operator ? Présent, omniprésent, il est de toutes les scènes jusqu’à figurer à plusieurs reprises au générique. On salue néanmoins le travail de réalisation générale, de la mise en scène. Et si la ressemblance physique de la comédienne Sveva Alviti a été travaillée avec soin, la diction pour le français résonne comme un texte récité phonétiquement générant par là même des difficultés de compréhension des dialogues. Bien que « Dalida » ne nous apprenne rien de plus que nous ne sachions déjà sur Dalida, ce film-hommage ne sera pas de trop puisqu’on l’aime… Dalida !
Très belle réalisation. Film très esthétique. Le talent de l actrice est à la hauteur de sa beauté. Cependant, un gros raté sur les doublages des chansons ampute considérablement la qualité du film.
Un film léger qui ne fait qu'effleurer la personne de Dalida. L'actrice principale n'arrive jamais à totalement incarner la chanteuse et le spectateur se détourne de ce qu'il se passe (la suite des suicides des hommes de Dalida n'arrive pas à émouvoir).
C'est dommage car je me souviens d'un téléfilm en deux parties qui avait magistralement mené la chose... On est très loin de ce qu'on aurait pu espérer d'une version cinéma.