Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
30 critiques presse
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Servi par un casting sur mesure, ce film envoûtant et bouleversant est sans doute ce que l'on a fait de mieux en France en matière de biopic.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
20 Minutes
par Caroline Vié
Dans "Dalida", Lisa Azuelos et l’extraordinaire découverte Sveva Alviti redonnent vie à la chanteuse qui a mis fin à ses jours en 1987. La réalisatrice et la comédienne ont mis l’accent sur les drames intimes d’une femme qui a été marquée par de nombreux drames dans sa vie privée, en marge de son triomphe professionnel.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La Rédaction
Le casting a été peaufiné. Jean- Paul Rouve, Nicolas Duvauchelle, Niels Schneider, Ricardo Scamarcio, et enfin Sveva Alviti dans la peau de la chanteuse, sont assez remarquables
Elle
par Khadija Moussou
Un biopic aussi flamboyant que triste sur la vie chaotique de la chanteuse.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Femme Actuelle
par Valérie Beck
Un portrait touchant de cette femme libre, très entourée et pourtant si solitaire.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Liza Azuelos a l’élégance de ne pas mettre bout à bout les étapes d’une vie, faisant fi de la chronologie au profit de l’enchevêtrement des époques, magnifiquement évoquées, dans une ordonnance signifiante. L’artiste se confond avec sa vie privée au dépend d’elle-même, comme sacrifiée. Beau comme une tragédie.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
GQ
par Jacques Braunstein
La magnifique actrice italienne Sveva Alviti se glisse dans le fourreau lamé de Dalida pour un biopic réussi de la chanteuse.
La critique complète est disponible sur le site GQ
LCI
par Mehdi Omaïs
Qu'on se le dise : il nous a sûrement été donné de voir des biopics plus assurés, plus viscéraux. Mais ce Dalida a le double mérite de divertir et de toucher les coeurs.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Ouest France
par Vanina Arrighi de Casanova
La cinéaste se repose peut-être un peu trop sur ce répertoire - l'un des plus populaires de la chanson française - pour bâtir son long métrage. Mais l'incroyable puissance nostalgique des chansons de Dalida et la manière dont elles dialoguent sans cesse avec sa vie, sont deux des grandes forces du film.
Positif
par Philippe Rouyer
Les chansons se succèdent, mais toujours avec un enjeu dramatique, car la réalisatrice sait mettre en avant les correspondances des paroles de ces chansons avec la vie de la chanteuse, à la fois solaire et ravagée par ses démons intérieurs.
Télé 2 semaines
par Claire Picard
Les fans de la première heure qui connaissent déjà les grandes étapes de sa vie n’apprendront pas grand chose de plus. Mais rythmé par les tubes intemporels de Dalida, on éprouve un plaisir nostalgique à voir revivre le temps d’un film, cette artiste attachante et émouvante.
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
Bande à part
par Fadette Drouard
Il fallait une actrice unique pour pouvoir incarner Dalida. C’est donc Sveva Alviti, longiligne Italienne, qui s’y colle. Quelques heures de maquillage chaque matin lui donnent le profil caractéristique de la chanteuse, certes. Mais c’est bien son regard et sa voix qui en font le sel. Elle est bluffante, touchante… Une vraie révélation.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Si le biopic réussi d’un artiste est celui qui donne envie de se (re)plonger dans son œuvre, alors le film de Lisa Azuelos a atteint son but.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un biopic appliqué et un peu lisse, qui peine à incarner cette existence en destin, mais qui révèle une interprète qui a la grâce, Sveva Alviti.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
La jeune comédienne Sveva Alviti démontre un mimétisme stupéfiant. La mise en scène est dévolue à un récit non chronologique qui aligne les tubes dont les paroles illustrent les temps forts de la courte existence de la chanteuse. On sort de là avec la furieuse envie de réécouter tout son répertoire.
Les Fiches du Cinéma
par Elsa Badenelli
Ce biopic illustratif est porté par une jeune actrice confondante : Sveva Alviti.
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Sans renoncer aux sirènes du biopic laudateur, Azuelos en profite pour glisser une charge remarquable et très bien vue sur l'ingénieuse tyrannie (violence, paternalisme) des hommes sur les femmes.
Première
par Vanina Arrighi de Casanova
"Dalida", c'est la veine Wikipédia du biopic. Linéaire, illustratif et attendu, le film de Lisa Azuelos n'est pourtant pas dénué de charme : celui des chansons et, surtout, de l'actrice qui les interprète (en playback).
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Son destin, tragique, devrait déchirer nos coeurs. Mais le biopic, à vouloir condenser trente ans d'histoire en deux heures, reste en surface des situations et des personnages. La réalisation mise tout sur la déco vintage et finit par manquer d'intensité. Reste la révélation Sveva Alviti, qui illumine l'écran (...).
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
À défaut d'être original, voilà un portrait sensible, rythmé par les tubes de cette grande star populaire.
Télérama
par Guillemette Odicino
Surprise : même si elle obéit aux lois du genre (toute une vie hachée menu en deux heures), Lisa Azuelos nous happe, peu à peu, en assumant pleinement la tragédie, le mélo au féminin éclaboussé par les lumières de la rampe.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Une reconstitution soignée, le relatif plaisir des tubes qui jalonnent le film, de solides seconds rôles, et l'implication convaincante de la belle débutante Svena Alviti, n'empêchent pas le film de manquer un peu de souffle, d'émotion.
L'Express
par Christophe Carrière
Dalida, sa vie, son oeuvre, ses amours tragiques, surtout. Tous ses hommes se sont suicidés, à l'exception d'un, Arnaud Desjardins, coupé au montage ! Un détail, certes, mais qui traduit un manque de profondeur et d'ampleur scénaristique. Ce qui n'est pas le cas du casting, absolument impeccable.
Le Figaroscope
par La Rédaction
Paroles Paroles... donne une juste idée du biopic consacré à la chanteuse. Le long-métrage de Lisa Azuelos n'aura pas plus d'effet qu'une fenêtre brusquement fermée par un courant d'air. Il se résume à une compilation de clips sur les amours de Dalida. Dénuée d'émotion.
Le Monde
par Isabelle Regnier
(...) la réalisatrice dénie à son personnage le statut de sujet pour le réduire à celui de pure image – femme sensuelle, en proie à des fantasmes de contes de fées et à l’acharnement du destin, dont la seule histoire d’amour heureuse sera celle qui la lia à son public. L’idée aurait pu être riche, si elle avait produit autre chose que ce long clip tout lisse.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Lisa Azuelos avance dans ce parcours sans omettre grand-chose mais sans parvenir non plus à trouver l’épaisseur nécessaire à la construction d’un personnage, aussi célèbre fut-il. On se promène à la surface des choses, les chansons illustrent les épisodes successifs et les clefs psychologiques pèsent des tonnes. Sveva Alviti, seule, tire son épingle du jeu (...).
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
VSD
par Olivier Bousquet
La nouvelle venue Sveva Alviti a beau y mettre tout son cœur, rien ne semble respirer sous une -reconstitution aussi luxueuse que - factice. Un voyage au musée Grévin, en somme.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Tous les éléments sont (...) réunis pour donner naissance à une œuvre follement romanesque. Pourtant, malgré quelques atouts, il ne subsiste que le sentiment d’être passé à côté de l’essentiel.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Fabien Reyre
Il ne sera donc jamais question de cinéma dans "Dalida", ni sur le fond, ni sur la forme.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par Olivier Lamm
(...) programmatique à mort, conçu dans les clous pour vendre un maximum de compilations, et finalement fêlé de partout.
Le Parisien
Servi par un casting sur mesure, ce film envoûtant et bouleversant est sans doute ce que l'on a fait de mieux en France en matière de biopic.
20 Minutes
Dans "Dalida", Lisa Azuelos et l’extraordinaire découverte Sveva Alviti redonnent vie à la chanteuse qui a mis fin à ses jours en 1987. La réalisatrice et la comédienne ont mis l’accent sur les drames intimes d’une femme qui a été marquée par de nombreux drames dans sa vie privée, en marge de son triomphe professionnel.
CNews
Le casting a été peaufiné. Jean- Paul Rouve, Nicolas Duvauchelle, Niels Schneider, Ricardo Scamarcio, et enfin Sveva Alviti dans la peau de la chanteuse, sont assez remarquables
Elle
Un biopic aussi flamboyant que triste sur la vie chaotique de la chanteuse.
Femme Actuelle
Un portrait touchant de cette femme libre, très entourée et pourtant si solitaire.
Franceinfo Culture
Liza Azuelos a l’élégance de ne pas mettre bout à bout les étapes d’une vie, faisant fi de la chronologie au profit de l’enchevêtrement des époques, magnifiquement évoquées, dans une ordonnance signifiante. L’artiste se confond avec sa vie privée au dépend d’elle-même, comme sacrifiée. Beau comme une tragédie.
GQ
La magnifique actrice italienne Sveva Alviti se glisse dans le fourreau lamé de Dalida pour un biopic réussi de la chanteuse.
LCI
Qu'on se le dise : il nous a sûrement été donné de voir des biopics plus assurés, plus viscéraux. Mais ce Dalida a le double mérite de divertir et de toucher les coeurs.
Ouest France
La cinéaste se repose peut-être un peu trop sur ce répertoire - l'un des plus populaires de la chanson française - pour bâtir son long métrage. Mais l'incroyable puissance nostalgique des chansons de Dalida et la manière dont elles dialoguent sans cesse avec sa vie, sont deux des grandes forces du film.
Positif
Les chansons se succèdent, mais toujours avec un enjeu dramatique, car la réalisatrice sait mettre en avant les correspondances des paroles de ces chansons avec la vie de la chanteuse, à la fois solaire et ravagée par ses démons intérieurs.
Télé 2 semaines
Les fans de la première heure qui connaissent déjà les grandes étapes de sa vie n’apprendront pas grand chose de plus. Mais rythmé par les tubes intemporels de Dalida, on éprouve un plaisir nostalgique à voir revivre le temps d’un film, cette artiste attachante et émouvante.
Bande à part
Il fallait une actrice unique pour pouvoir incarner Dalida. C’est donc Sveva Alviti, longiligne Italienne, qui s’y colle. Quelques heures de maquillage chaque matin lui donnent le profil caractéristique de la chanteuse, certes. Mais c’est bien son regard et sa voix qui en font le sel. Elle est bluffante, touchante… Une vraie révélation.
La Croix
Si le biopic réussi d’un artiste est celui qui donne envie de se (re)plonger dans son œuvre, alors le film de Lisa Azuelos a atteint son but.
Le Dauphiné Libéré
Un biopic appliqué et un peu lisse, qui peine à incarner cette existence en destin, mais qui révèle une interprète qui a la grâce, Sveva Alviti.
Le Journal du Dimanche
La jeune comédienne Sveva Alviti démontre un mimétisme stupéfiant. La mise en scène est dévolue à un récit non chronologique qui aligne les tubes dont les paroles illustrent les temps forts de la courte existence de la chanteuse. On sort de là avec la furieuse envie de réécouter tout son répertoire.
Les Fiches du Cinéma
Ce biopic illustratif est porté par une jeune actrice confondante : Sveva Alviti.
Les Inrockuptibles
Sans renoncer aux sirènes du biopic laudateur, Azuelos en profite pour glisser une charge remarquable et très bien vue sur l'ingénieuse tyrannie (violence, paternalisme) des hommes sur les femmes.
Première
"Dalida", c'est la veine Wikipédia du biopic. Linéaire, illustratif et attendu, le film de Lisa Azuelos n'est pourtant pas dénué de charme : celui des chansons et, surtout, de l'actrice qui les interprète (en playback).
Studio Ciné Live
Son destin, tragique, devrait déchirer nos coeurs. Mais le biopic, à vouloir condenser trente ans d'histoire en deux heures, reste en surface des situations et des personnages. La réalisation mise tout sur la déco vintage et finit par manquer d'intensité. Reste la révélation Sveva Alviti, qui illumine l'écran (...).
Télé 7 Jours
À défaut d'être original, voilà un portrait sensible, rythmé par les tubes de cette grande star populaire.
Télérama
Surprise : même si elle obéit aux lois du genre (toute une vie hachée menu en deux heures), Lisa Azuelos nous happe, peu à peu, en assumant pleinement la tragédie, le mélo au féminin éclaboussé par les lumières de la rampe.
Voici
Une reconstitution soignée, le relatif plaisir des tubes qui jalonnent le film, de solides seconds rôles, et l'implication convaincante de la belle débutante Svena Alviti, n'empêchent pas le film de manquer un peu de souffle, d'émotion.
L'Express
Dalida, sa vie, son oeuvre, ses amours tragiques, surtout. Tous ses hommes se sont suicidés, à l'exception d'un, Arnaud Desjardins, coupé au montage ! Un détail, certes, mais qui traduit un manque de profondeur et d'ampleur scénaristique. Ce qui n'est pas le cas du casting, absolument impeccable.
Le Figaroscope
Paroles Paroles... donne une juste idée du biopic consacré à la chanteuse. Le long-métrage de Lisa Azuelos n'aura pas plus d'effet qu'une fenêtre brusquement fermée par un courant d'air. Il se résume à une compilation de clips sur les amours de Dalida. Dénuée d'émotion.
Le Monde
(...) la réalisatrice dénie à son personnage le statut de sujet pour le réduire à celui de pure image – femme sensuelle, en proie à des fantasmes de contes de fées et à l’acharnement du destin, dont la seule histoire d’amour heureuse sera celle qui la lia à son public. L’idée aurait pu être riche, si elle avait produit autre chose que ce long clip tout lisse.
Sud Ouest
Lisa Azuelos avance dans ce parcours sans omettre grand-chose mais sans parvenir non plus à trouver l’épaisseur nécessaire à la construction d’un personnage, aussi célèbre fut-il. On se promène à la surface des choses, les chansons illustrent les épisodes successifs et les clefs psychologiques pèsent des tonnes. Sveva Alviti, seule, tire son épingle du jeu (...).
VSD
La nouvelle venue Sveva Alviti a beau y mettre tout son cœur, rien ne semble respirer sous une -reconstitution aussi luxueuse que - factice. Un voyage au musée Grévin, en somme.
aVoir-aLire.com
Tous les éléments sont (...) réunis pour donner naissance à une œuvre follement romanesque. Pourtant, malgré quelques atouts, il ne subsiste que le sentiment d’être passé à côté de l’essentiel.
Critikat.com
Il ne sera donc jamais question de cinéma dans "Dalida", ni sur le fond, ni sur la forme.
Libération
(...) programmatique à mort, conçu dans les clous pour vendre un maximum de compilations, et finalement fêlé de partout.